Œuvres complètes de Ch. Rollin: Histoire romaineLedoux et Tenré, 1818 |
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... suivi dans tous les temps avec une constance admirable , et conduit à sa fiù par des routes qui ne se sont jamais écartées du but ; ouvrage certainement au - dessus de la prudence humaine , comme on le verra dans la suite . Cette ville ...
... suivi dans tous les temps avec une constance admirable , et conduit à sa fiù par des routes qui ne se sont jamais écartées du but ; ouvrage certainement au - dessus de la prudence humaine , comme on le verra dans la suite . Cette ville ...
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... suivi de l'armée victorieuse , qui faisoit retentir toute la ville de louanges non suspectes et juste- ment méritées ! Une si auguste cérémonie sem- bloit élever le triomphateur au - dessus de l'humanité . Sévérité de la discipline ...
... suivi de l'armée victorieuse , qui faisoit retentir toute la ville de louanges non suspectes et juste- ment méritées ! Une si auguste cérémonie sem- bloit élever le triomphateur au - dessus de l'humanité . Sévérité de la discipline ...
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... suivi les mêmes principes . Cette conduite n'est pas ordinaire . Souvent chaque prince suit son goût particulier , ses règles , ses maximes . Quand j'ai rapporté les vertus extraordi- Quelque naires des Romains , je n'ai pas prétendu ...
... suivi les mêmes principes . Cette conduite n'est pas ordinaire . Souvent chaque prince suit son goût particulier , ses règles , ses maximes . Quand j'ai rapporté les vertus extraordi- Quelque naires des Romains , je n'ai pas prétendu ...
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... suivi les mêmes principes . Cette conduite n'est pas ordinaire . Souvent chaque prince suit son goût particulier , ses règles , ses maximes . Quelque fausses et vi fussent les vertus desRo- mains , Dieu il récompenser par les con ...
... suivi les mêmes principes . Cette conduite n'est pas ordinaire . Souvent chaque prince suit son goût particulier , ses règles , ses maximes . Quelque fausses et vi fussent les vertus desRo- mains , Dieu il récompenser par les con ...
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... suivi les mêmes principes . Cette conduite n'est pas ordinaire . Souvent chaque prince suit son goût particulier , ses règles , ses maximes . pas fausses et vi . fussent les mains , Dieu a récompenser par les con- quêtes qu'il leur a ...
... suivi les mêmes principes . Cette conduite n'est pas ordinaire . Souvent chaque prince suit son goût particulier , ses règles , ses maximes . pas fausses et vi . fussent les mains , Dieu a récompenser par les con- quêtes qu'il leur a ...
Términos y frases comunes
Albains Amulius Appius armées armes assemblées auroit Aventin avoient avoit Brutus c'étoit camp campagne Capitole cavalerie centuries charge Cicéron citoyens collègue combat consulat consuls Coriolan corps courage crime cùm d'autres décemvirs Denys d'Halicarnasse dessein devoient devoit dictateur dieux Dionys donner enfans ennemis Eques esclaves étoient étoit Etrusques Fabius faisoient faisoit falloit Fidènes firent fût gloire gouvernement guerre Herniques hommes jugement justice l'assemblée l'état laisser Latins liberté licteurs lois long-temps magistrats mains Marcius ment mérite mont Célius mort n'avoient n'avoit nation nombre nommé paix paroître patriciens patrie père peuple romain plébéiens Polybe Porséna pouvoient pouvoir premier prince public quàm questeurs Quintius république rois Rollin Rome Romulus s'étoient Sabins sénat sénateurs sentimens seroient seroit Servilius Servius Servius Tullius seul soldats sorte Tarquin Tatius temple terres Tibre tion Tite-Live toyens tribuns du peuple tribuns militaires troupes Tullus Valère Veïens venoit Virginius Volsques vouloit voyoit
Pasajes populares
Página iv - ... façon la première place , elle voulut lui en faire une forte réprimande , comme d'un manque de savoir-vivre ; mais le précepteur répondit humblement que M.
Página lxxvii - ... eussent été souvent trop précipités et trop tumultueux. Telle étoit la constitution fondamentale de cet état, qui n'étoit ni purement monarchique, ni aussi entièrement républicain. Le roi, le sénat, et le peuple, étoient, pour ainsi dire, dans une dépendance réciproque, et il résultoit de cette mutuelle dépendance un équilibre d'autorité qui modéroit celle du prince, et qui assuroit en même temps le pouvoir du sénat et la liberté du peuple. Romulus, pour prévenir les...
Página iii - Ses enfans pouvoient seuls l'aider à le soutenir , et elle se trouvoit hors d'état de faire pour aucun d'eux les frais d'une autre éducation. Le bon religieux , bien loin de...
Página ix - Je fuis ve»u t lui dit-il, exprès à Paris; je partirai demain: je vous enverrai mon fils avec un lit. Je n'ai que lui: vous le mettrez, dans la cour, à la cave Jî vous voulez: mais il fera dans votre Collège, & dt-ce momentlà je n'en aurai aucune inquiétude. Il le fit comme il l'avoit dit.
Página xxv - Sous ce nom de liberté, les Romains se figuraient, avec les Grecs, un état où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante que les hommes.
Página 81 - L'entreprise n'étoit pas sans de grandes difficultés. Ce prince avoit affaire au peuple de toute la terre le plus fier et...
Página 442 - Verrugo et firent main basse sur la garnison romaine. Le secours qu'on lui envoyoit arriva trop tard par la faute du sénat, qui ne se hâta pas de le faire partir, parce qu'il avait appris que cette garnison faisoit une vigoureuse défense ; ne faisant pas réflexion que nul courage ne peut surmonter la mesure des forces humaines. MANZONI. humaines.
Página 140 - Beau promontoire , s'ils n'y sont poussés par » la tempête , ou contraints par leurs ennemis : en cas qu'ils y aient été » poussés par force , il ne leur sera permis d'y rien acheter , ni d'y rien » prendre , sinon , ce qui sera précisément nécessaire pour le radoubement » de leurs vaisseaux , ou le culte des dieux ; ils en partiront au bout de cinq
Página lxxxii - En vertu de ce pouvoir , il leur étoit permis de les mettre en prison , de les faire battre de verges , de les charger de fers , de les envoyer travailler à la campagne de les vendre , et même de les faire mourir.
Página 82 - Il institua ensuite le cens, qui n'étoit autre chose qu'un rôle et un dénombrement de tous les citoyens romains, dans lequel on comprit leur âge, leurs facultés, leur profession, le nom de leur tribu et de leur curie, et le nombre de leurs enfants et de leurs esclaves. Il se trouva alors dans Rome et aux environs plus de quatrevingt mille citoyens capables de porter les armes. Servius * partagea ce grand nombre en six classes, et il composa chaque classe de différentes centuries de gens de...