Felex pour felix eft du Latin du qua- triéme ou cinquième fiécle. xciv. 8. 257 Femme d'un Faune. Voyez Faune. Fer. Pour être mis en œuvre, il exige deux fois plus d'opérations que le cuivre. On ne peut le jetter en moule que pour des ouvrages groffiers. Il faut toûjours le forger. Il étoit rare en Gréce, en Afie & en Italie. Les Anciens en ont fou- vent parlé par métaphore. xcIII. 6. & 7. 239. Homère en parle ra- rement. 240. Glaucus de Chio trouva le fecret de fouder le fer. ibid. Statue d'Hercule en fer. ibid. Rareté de ce métal, prouvée par une foucoupe de fer foudée & envoyée au temple de Delphes. ibid. 241. L'Auteur n'a jamais vû
que deux lames d'épées Romaines de fer. ibid. On n'a jamais trouvé en Egypte le plus petit morceau de fer. ibid. 242. Alliage du fer & du cuivre, que l'on a cru impoffi- ble.ibid.244.246.Maniére d'aug-
menter la dureté du fer. xcIII. 6. & 7. 148. Voyez Trempe en paquet. Fers. Sorte d'inftrument dont les Etrufques fe fervoient pour faire certains ornemens au fond inté- rieur des vafes de terre. xxxvi. 4.
105 Fertilité de l'Etrurie. xi. 3. 96- Feuillage d'un goût exquis fur un vafe Etrufque. XLI. 1. 108. Fiches ou chevilles à la circonfé- rence d'un trochus. LXXXI. 2. 203 - Ficoroni. Son Traité des mafques de théâtre. LIV. 1. 145. & 2. 146 Filet. Pourquoi fymbole d'Ifis. vi. 1.
Flambeau. [Courfe du] Defcription de ce fpectacle. Expl. des Vign. p. xvij. Plufieurs difficultés à éclair- cir fur ces jeux. Meurfius dit qu'aux Panathénées cette Course fe faifoit dans le Pirée. pag. xix. Pfellus dit le contraire de ce qu'on lit dans Paufanias au fujet de cette courfe. Ceux qui s'y exerçoient, étoient appellés Lampadiftes.ibid. Fléches [pointes de] de bronze.xcii. 6. & 7. 238. Flute. L'ufage des doubles flûtes n'a pas commencé en Egypte. 111. 3. 16. Flûte à plufieurs tuyaux. LI.
Fourmont. [M.] Digreffion fur M. l'Abbé Fourmont, & fur M.Four-
mont fon neveu. XIX. 59. & 60 Fourrées. [médailles] Les faux Mon- noyeurs nous ont laiffé beaucoup de médailles fourrées. ¢v. 2. 290 France. Antiquités trouvées en ce Royaume. Françoife. [langue] Elle n'a point de terme qui fignifie le fer d'un ja- velot. xcii. 5. 237 Frefque. Morceau de peinture à fref- que. LV. 1. 149. Celle des Anciens étoit pareille à la nôtre. LXXV,&c.
CII. 5. 277 Gazettes. Sortes de pots couverts, dont les Etrufques fe fervoient auffi-bien que nous. XXIX. I. 88 Gènes. Manufacture de cette ville.
Génies gardiens ou fuivans des mu- mies. Leurs attributs. v. 4. 20. La théologie Payenne peuploit l'U- nivers de Génies. xxi. &c. 68. Génies gravés fur une plaque de bronze du temps de Julien l'A- poftat. LXXXVI. 1. 214. Bon Gé- nie. Voyez Agathodamon. Genfac. Village où l'on a trouvé des lames d'épées antiques. XCIII. 6. &7. 242
Geoffroi [M.] le fils. Son opération pour retrouver la trempe du cui- vre. xcIII. 6. &7. 242 Germain-des-Prés. [S.] Cabinet d'An- tiquités dans cette Abbaye. LVIII.
Gladiateurs. Les Etrufques donné→ rent les premiers le fpectacle des 78 Glandes qui tapiffent l'intérieur des paupières. xc. 3. 230 Glaucus de Chio. Célébre Graveur Grec. xc111. 6. & 7. Goliath. Sa tête. LXVII. Gori. [M.] Sa conjecture au fujet de Dédale paroît un peu hazardée. xxviii. 1.83. & 84.Examen d'une autre conjecture de cet Antiquai- re. xxix. 1. 85. Explication qu'il a donnée d'une figure de bronze. XXIX. 2. 89. & 90. Il feroit à fou- haiter que l'empreinte qu'il a pu- bliée d'une cornaline repréfentant Achille, fût un peu plus exacte. xxx. 3.91. Expofition des raisons que l'on pourroit oppofer à ce qu'il dit au fujet d'un bufte de femme, qu'il croit être celui de Proferpine. LXXXV. 2. 211. & 212 Gourvieux. Village où l'on a trouvé des tombeaux. XCIV. 8. 258 Goût. Défaut de celui des Romains, & à quoi ils font attribués. 158,
Goût d'un pays mêlé avec celui du peuple de qui il a tiré fes lu- miéres. LXIII. 171. & LXXIII. 3. 188. Ce qui fait connoître le goût d'un peuple. Avert. pag.vij. Com- paraifon de la différence du goût des peuples avec celle qui eft en- tre les couleurs primitives. ibid. pag.viij. Pourquoi les verres & les vales de terre cuite font connoî- tre le goût national. ibid. Goutte-feréne, ou paralyfie du nerf optique. xc. 3. Graces. Leurs ftatues drappées. XLIX. I. 131. & LIII. 2. 141. Leurs sta- tues en bois avec des habits do- rés, le vifage, les pieds, & les mains de marbre blanc. ibid. Grainetis fur les tranches d'un can- délabre. LXXXII.1.207. & LXXXIII. 208
Gratus. [Julius] LXXII. 3. Gravelle. [M. de] Examen de fon fentiment au fujet d'une pierre gravée, qui repréfente, felon lui, Ajax & Caffandre. LVI. 2. 153 Graveurs Romains n'ont pas toû- jours mis leurs noms fur leurs ou- vrages. LXXI. 3. 185. Graveurs en
fe font écartés du goût pour le grand, qui faifoit le caractère des Egyptiens. 119. Ce qui fortoit des mains des Grecs étoit plus élé– gant. Ils excelloient dans les Arts dont l'objet eft de plaire par l'i- mitation. ibid. Rareté des ouvra- ges du grand Grec. 120. Le filence des Grecs fur les Etrufques fem- ble prouver qu'ils avoient em- prunté de ceux-ci plufieurs ufa- ges. LIV. 4. 148. Rome s'eft trou- vée remplie d'Artiftes Grecs, prin- cipalement fous les Empereurs. 159. Les caractères Grecs ont été formés des Phéniciens. xxi. &c.
74 Gryphons aîlés fur les monumens Etrufques & Egyptiens. 78. Gry- phon fur une agathe-onyce. LIII. 4. 144. Gryphons traînant le char de l'Amour. Ils étoient parmi les Etrufques confacrés à Apollon, & l'image de la Poëfie. Confacrés auffi à Ñéméfis. LXV. 175. & 176 Gymnastique. [la] Recherches de M. Burette fur cet Art. LXXXI. 2. 201
Pierres fines copioíent ordinaire- H Abillement le plus commun des
ment les meilleures ftatues. XLVI. 126
Gravure des pierres, connue des Egyptiens. 6. & des Etrufques.79. Gravûre en bois comparée à une manœuvre des Ouvriers en terre cuite parmi les Etrufques. xxIx. 1. 87. Gravûres ne peuvent faire connoître le goût national.LXXXV. 2. 212. Utilité de la Gravûre pour la confervation des monumens antiques. Avert. pag. v. Grecs. Ils s'écartérent du goût &
des ufages Egyptiens. 79. Leur vanité. 117. & 118. Leur Reli- gion, leurs Arts & leur Gouver- nement empruntés des Egyptiens. Temples dans la Gréce dédiés à Ifis, à Serapis & à d'autres Divi- nités Egyptiennes. ibid. Les Grecs
Hache des anciens habitans du Pé- rou. LXI. 2. 168. Hache d'armes. I.XXX. I. 197
Hadrien. Voyez Sauveur. Hadrien fe
confacra à lui-même un autel dans la ville d'Athènes. xx. 1. 62. On lui donne dans deux infcrip- tions le titre de óral.ibid. Au- tel que l'on croit avoir été élevé en l'honneur de ce Prince. ibid. 61. Hadrien représenté sur un camée avec un lion qu'il combat. LI. 3. 138. Hadrien protecteur des Arts. 159. & LXIX.
181 Harpocrate porte la main gauche à la bouche. VII. 1. 25. Deux figures de ce Dieu qui offrent quelques variétés. vII. 1. & 2. 28. Voyez
Hermaphrodite ou la Nature. xxxvIII. 106. Cette figure tient un plat rempli de fruits, & paroît être une Divinité qui préfidoit à quelque faifon. xLu. 3. 111 Hermès. Ses Livres écrits en caractères hieroglyphiques. VI. I. 24 Hermophilus. Le collyre de fon invention cité par Galien. xc.3. 226 Héros Grec allant avec fes armes aux exercices publics. XLIX.3.132 Hefperides [pommes des] dans la main d'Hercule. LX. 2. 165 Heures. Déeffes. LI. 2. 137 Hieroglyphes. Les Egyptiens ne difpofoient pas toûjours leur écriture hieroglyphique de la même ma
niére. XIX. 59. Warburton a détruit l'erreur où l'on étoit que les Prêtres Egyptiens avoient inventé les hieroglyphes pour cacher leur fcience. xxi. &c. 70. Quelques hieroglyphes ont paffé dans l'écriture courante des Egyptiens, fans éprouver le moindre changement. ibid. 72 Hippopotame de bronze, dont l'ouvrage eft Romain. 11. 3. 13 Hiftoire. Les difficultés hiftoriques font fouvent expliquées par des monumens antiques. Avert.pag.ij. Homère utile aux Artiftes. xxx. 3.91. Il a été admiré chez les Etrufques.
98 Honorius, Empereur, porté fur les épaules de quelques jeunes gens de qualité. vii. 2. Horus & Harpocrate représentés comme déux Divinités différentes. VII. 1. 25. Horus, Harpocrate, & le Soleil n'étoient qu'une même chofe. VIII. I. & 2. 30. Horus affis fur la fleur du lotus. ix. I. 32 Houlette. Symbole d'Ifis. vi. I. Hydrauliques. [machines] Les anciens Auteurs en parlent. LXXIV. 189 Hymette. Il y a fur ce mont un Monaftère de S. Jean. Expl. des Vign. pag. xix.
Ambes. Pourquoi réunies dans les ftatues Egyptiennes. S Japon. Voyez Chine. Javelot [fer de] de bronze. XCIII. 5. 237 38. & 39 48
Ibis de bronze. x. 4. Ichneumon. [1] x111.4. Jets d'eau. Les Romains en faifoient. 189
Jeu d'adreffe parmi les Etrufques.
des Etrufques. LIV. 4. Images des Ancêtres chez les Romains. C'étoient des buftes. Usage à cette occafion. LXXXI. I. 200. De quelle matiére étoient ces images. ibid. Imaguncula. Ce mot, auffi-bien que celui de Plaguncula, fignifie dans les Lettres de Cicéron à Atticus, de petites poupées de cire qui repréfentoient les perfonnes au naturel. LXXV. &c. Imitation des Auteurs & des Artiftes Grecs. LIII. 141. On imitoit les camées, ou plûtôt les agathes de deux ou de trois couleurs. XCVII. 1. 264. Imitation des pierres fines & de certains verres antiques. 293
Impetus. Explication de ce mot en termes de Médecin-Oculifte. xc. 3.
226 Imprimerie. Il est étonnant que les anciens Romains ne l'aient pas inventée, puifqu'ils faifoient des cachets, fur lefquels ils gravoicnt des caractères évuidés avec la faillie fuffifante pour leur faire prendre la couleur, fans que le fond pût marquer, &c. xciv. 6. 254. & 255. L'Imprimerie ne diffère de cette gravure que par la mobilité des caractères. Si les Anciens euffent porté leur invention jufqu'à l'Imprimerie, leurs planches n'auroient été travaillées que d'un côté. ibid. Incrustation pratiquée par les Anciens fur des pierres fines. LXI. I. 1167. & 168. & LXXI. 2. 185. Sur du verre. Voyez Verre. Incruftation d'émail dont les murailles étoient revêtues. LXXIX. I. 192. Incrustation de métaux. LXXXIX.
Infernal. Divinités infernales. Voyez Ailes.
Infcriptions fur les ftatues mêmes chez
les Etrufques & les Egyptiens. 78 Intempérie des faifons. Elle inspire
aux hommes diverfes maniéres de fe vêtir. LVIII. 1. 161 Intelligence. Les Sculpteurs Egyptiens en manquoient dans les détails. Ionique. [Ordre] Son chapiteau. Voyez Ove.
Jofepin a deffiné la pierre gravée ou
le camée du No. 2. de la Pl.LI. 137 Iota a été ajoûté au Datif Dorique: dans la fuite on le foufcrivit. Voyez Onga.
fiaque. [Table] Les Cercopithéques qu'on y voit ne tiennent point la table chargée d'hieroglyphes qu'on voit dans la Pl. xvi. 2. 51 Ifis de bronze, dont la coëffure eft finguliére. iv. 1. & 2. 17. Buftes d'Ifis. iv. 3.18. & 19. Cette Déeffe eft ordinairement représentée affife. v. 2. 20. Sa puiffance. vI. I. 22. Elle a été prife pour le bon Génie. ibid. Ses Miniftres paroiffoient en certaines cérémonies avec les fymboles des Divinités les plus puiffantes. VI. 4. 24. Tête d'Ifis faite de terre, & accompa gnée de la dépouille d'une poule de Numidie. xv. 4. 50. Ifis avec la figure d'Ofiris placée debout devant elle. Expl. des Vign.pag.xv. Ifochrufa. Explication de cette épithéte de certains collyres. xc. 3.
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