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X. Quelle eft la crainte où l'on doit tendre Avantages que l'on peut tirer de l'état d'in fenfibilité. Qu'il n'y faut pas demeurer vo lontairement.

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QUATRIE'ME TRAITE.

Des moyens de conferver la paix avec les hommes, PREMIERE PARTIE.

CHAP. I. Hommes citoyens de plufieurs villes. Ils doivent procurer la paix de toutes, s'appliquer en particulier à vivre en paix dans la focieté où ils paffent leur vie, & dont ils font partie.

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11. Union de la raison de la religion à nous infpirer le foin de la paix. III. Raifon des devoirs de garder la paix avec ceux avec qui on vit. IV. Regle generale pour conferver la paix. Ne bleffer perfonne ne fe bleffer de rien. Deux manie es de choquer les autres: Contredire leurs opinions s'opposer à leurs paffions.

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V. Caufes de l'attache que les hommes ont à leurs opinions. Qui font ceux qui y font le plus fujets. vi. Quelles font les opinions qu'il eft plus dangereux de choquer. VII. L'impatience qui porte à contredire les autres,eft un défaut confiderable. Qu'on n'eft pas obligé de contredire toutes les fauffes opinions. Qu'il faut avoir une retenue genera led fe paffer de confident ; ce qui eft difficile à l'amour-propre.

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VIII. Qu'il faut avoir égard à l'état où l'on eft dans l'efprit des autres pour les contredi

re.

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1 X. Qu'il faut éviter certains défauts en conredifant les autres. X. Qui font ceux qui font le plus obligés d'éviter les défauts cy-deffus marqués. Qu'il faut regler fon interieur auffi-bien que fon exterieur, pour ne pas choquer ceux avec qui on vit. XI. Qu'il faut refpecter les hommes, & ne regarder pas comme dure l'obligation que l'on a de les ménager. Que c'est un bien que de n'avoir ni autorité ni créance.

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XII. Que quoique le dépit que les hommes ont quand on s'oppose à leurs paffions, foit injuste, il n'eft pas à propos de s'y oppofer. Trois fortes de paffions, juftes, indiferentes, injuftes. Comment on fe doit conduire à l'égard des paffions injuftes. 231 XIII. Comment on fe doit conduire à l'égard des paffions indifferentes & juftes des au

tres.

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XIV. Que la loi éternelle nous oblige à la gratitude.

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XV. Raifons fondamentales du devoir de la civilité.

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SECONDE PARTIE.

CHAP. I. Qu'il ne faut pas établir fa paix fur la correction des autres. Utilité de la fuppreffion des plaintes. Qu'elles font ordinairement plus de mal II, Vanité & injustice de la complaisance que

que

de bien. 246

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l'on prend dans les jugemens avantageux qu'on porte de nous. III. Qu'on n'a pas droit de s'offenfer du mé pris, ni des jugemens desavantageux qu'on fait de nous.

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IV. Que la fenfibilité que nous éprouvons à l'égard des difcours des jugemens defavan tageux que l'on fait de nous, vient de l'oubli de nos maux. Quelques remedes de cet oubli de cette fenfibilité.

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V. Qu'il eft injufte de vouloir être aimé des

hommes.

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VI. Qu'il eft injufte de ne pouvoir fouffrir l'in difference. Que l'indifference des autres envers nous, nous eft plus utile que leur as

mour.

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VII.Combien le dépit qu'on reffent contre ceux qui manquent de reconnoissance envers nous eft injufte. VIII. Qu'il eft injufte d'exiger la confiance des autres, & que c'est un grand bien que l'on n'en ait pas pour nous.

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IX. Qu'il faut fouffrir fans chagrin l'incivilité des autres Baffeffe de ceux qui l'exigent,

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X. Qu'il faut fouffrir les humeurs incommo

des.

XI. Conclufion.

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CINQUIEME TRAITE.

- Des jugemens témeraires.

CHAP. I. En quoi confifte l'injustice des jugemens témeraires. Ce qui en augmente ou diminue le peché

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11. Jugemens témeraires, fources des préventions. Mauvais effets de ces préventions. Tout le monde s'imagine en être exemt. 303 III. Comment on fe cache à foi-même ses jugemêns témeraires. Remede de ce mal. Ne pas $ voir ce qui ne nous eft pas necessaire. IV. Autres remedes contre les jugemens tememeraires. Gorriger fa malignité, fa précipi tation l'attache à fon fens. V. Comment il faut combattre directement la temerité de nos jugemens. 314 VI. Combien il eft difficile d'éviter les jugemens témeraires, quand on les fonde fur des rap

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ports. 319 VII. Réfolution d'une difficulté qui femble obliger les hommes à ne juger jamais fur des raports 321 VIII. Qu'il n'eft pas permis de juger temerairement des morts, ni de nous-mêmes. Qu'il n'eft pas permis non plus de juger temerairement en bien. Mauvaises fuites de ces jugemens temeraires en bien. 327 IX. Fugemens temeraires en matieres de maximes de regles de conduite, plus inconnus plus dangereux que les autres. 331 X. Retenue qu'on doit garder dans les jugemens qu'on porte à l'égard des chofes indifferentes ou humaines. Utilité du filence. Que la connoiffance de Dieu & de JasusCHRIST nous y porte.

Fin de la Table,

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avoir lû un livre qui a pour titre : Effais de Morale, contenus en divers Traités fur plufieurs devoirs importans, compofé par le Sieur Mombrigny, dans lequel nous n'avons rien trouvé que de très-conforme à la Religion Catolique, Apoftolique & Romaine. En foi de quoi nous avons figné. A Paris, de premier Avril 1671. Signé.

LE VAILLANT,

T. FORTIN.

ESSAIS

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