Q Q Valités fpirituelles, combien peu de chofe, 22. fuiv. on les loue, ibid, on s'en eftime davantage, 23. touchent peu, 224. exterieures nous rendent attachés à notre fens, 199. & fuiv. Querelles, les arrêter dès leur naiffance, R R 247 Aifon de l'homme, plus foible que fon corps, 19. fuiv. fon ufage, 43. l'homme s'en laffe, $7. on ne la fuit pas, 182. eft d'accord avec la foi fur les devoirs & les actions des hommes, ibid. 183. eft le plus foible moyen de perfuader, 214 Raports. Dificile d'éviter les jugemens temeraires quand on les écoute, 319. & fuiv. peu certains 320. Comment il faut faire quand il eft neceffaire de juger ou d'agir fur des raports, 321. & fuiv. jamais permis de les communiquer aux autres,325.326 Reconnoiffance. La loi éternelle nous y oblige, 241. fuiv. même à l'égard des hommes, ibid. Dieu la demande auffi bien que les hommes, ibid. Reformation. Ridicule de vouloir reformer les autres, 247. & faiv. fuites mauvaifes qui en viennent, ibid. fe reformer foi-même, 249 Refroidiffement, d'où peut venir, 226.fes effets,ibid. Regne de Dieu, comment le fait voir dans le mon de, Religieux. On condanne, leur vie, Remords. Voyez Confcience. III 337 Rencontres fortuites ne font pas toujours des marques de la volonté de Dieu, 121. & fuiv. non plusque celle de quelques verfets de l'Ecriture fainte, 122 Renouvellement de l'efprit, fait connoître la volonté de Dieu, 96.57 48 Repos de l'ame dure peu, Réprouvés. Difpofition de Dieu à leur égard, 1;1 132 Refpect dû à tous les hommes, au moins interieu -228.229 rement, Richeffes élevent le cœur, 2. pourquoi, ibid. S Aifons. Honorer la volonté de Dieu dans les faifons, Sanctification, eft d'obligation, 126 97 Science, combien peu de chofe, 22. & fuiv. ce que c'eft, 24, fujet d'humiliation, 28. & suiv. 33, 34× voyez Faits. Mots. Opinions. Science des choses est plus folide, 27. qui les fait n'en eft pas plus estimable, ibid. ni plus heureux, ibid. plaifir des iciences eft plus dans l'aquifition, que dans la poffeffion, 28. leur inutilité, ibid. leur obfcurité, ibid. leur incertitude, 33. refferrées dans des bornes étroites, 31. 32. Savans aiment à décider, 224. Les hommes n'accordent ce privilege qu'à la science reconnue, ibid. Sechereffe dans les manieres, en quoi confifte, 222. on doit l'éviter, ibid. Secret, eft un fardeau, 288. combien dificile à garder, Sens. Voyez Opinion. 212 Senfibilité, Phomme en a une prodigieufe, 137 eft une preuve de fa corruption & de la grandeur, 38. vient d'oubli de nos maux, 267. remedes à cette fenfibilité, ibid. & fuiv. Sentiment. Nous voudrions que tous les autres fusfent du nôtre, 209 Services. On peut fervir les autres en plufieurs manieres, 189. c'eft une grace de Dieu que de rendre fervice aux autres, 225. comment les regarder, ibid. Silence, eft un des principaux moyens pour ne pas choquer, 225. Il faut des raifons pour parler, non pour fe taire,250. le garder autant qu'on peut, 341• fon utilté, ibid. & fuiv. Societé. On eft fenfible aux interêts du corps dont on eft, 205. Chaque corps a certaines maximes, ibid. fuiv.Uler de ménagement pour les combatre,207 So.rate. Fauffe tranquillité de fa mort, Soif, eft une maladie incurable, Sommeil, combien neceflaire, Songes, en quoi ils font vains, Soumiflion, Voyez Volonté de Dieu. 55 21.& fuiv. 21 123 Superieurs, regarder tous les hommes comme rétant, T T Emerité. Voyez Jugemens temeraires. 228.229 Tems, combien il doit être ménagé, 95. com ment, Titres d'honeurs, ce qui les a produit, ibid. 3 Trouble, qui vient des fautes, comment l'appai fer, 117 V Anité. Voyez Eftime. Verité nous trompe quelquefois, 34-pourquoi. ibid. dificile à connoître, 35. dificile à diftinguer du vraisemblable, ibid. L'homme en ignore les caracteres, 37. La volonté de Dieu est la verité, 70. On la connoît, fans en tirer les confequences, 145. nous oblige à ne pas aigrir les hommes, 190. comment elle nous oblige d'agir avec eux, 191. On ne la cherche pas, mais on fe cherche foi-même, 209. Elle feule a droit de juger, 199. & fuiv. l'honorer dans les plus petites choles, Vertus, 340 ne font que vices fans le fecours de Dieu, 51. l'attention à la loi de Dieu nous les découvre, 93. & fuiv. Vie, combien peu de chose, 14. sa fragilité, 15. fuiv, on fe la cache, 17. & fuiv. connue par les neceffités humaines, 20. 21. tout ce qui en dépend eft méprifable, 21. Le tems de cette vie eft un tems de ftupidité, 139. & fuiv. Combien fâcheuse & trifte, 227.228 Vie de l'ame, marques pour la connoître, 171.. Ville. Toutes les chofes avec lefquelles nous avons liaison, font autant de villes, 179 Uniformiré. L'attention à la volonté de Dieu nous y maintient, 91. & fuiv. nous la fait quitter quel quefois, 94. jamais il n'eft permis de la quitter par caprice, 96 Union. La charité en eft une fource, 188. du corps & de l'ame, Voyages, leur temerité, 18 Voies, ce que c'eft que marcher dans fes propres voies, 65. celles de Dieu, ibid. chacun a la voie particuliere, 77. voie du cœur, 81 Vair. Nous nous imaginons voir, & fur cela nous jug ons temerairement, 307. & fuiv. remede à ce mal, 308. ne point voir quand on n'y est pas obligé, 309. utilité de cette pratique, 311 Voleur, ce qu'il eft, étant regardé dans l'ordre de Dieu, 111 Polonté, la foibleffe, 43. & fuir, 51, fon déreglement, 147. on la veut toujours fuivre, 235. la fuivie c'eft vivre en payen, 64. elle cherche fans ceffe à revivre, 66 Volonté de Dieu. Soumiffion à la volonté de Dieu, I Voyez le 2.Traitép 64. f. la fuivre c'eft être Chrétien,66.69. renferme toutes les vertus, 6. eft d'obligation,ib, toujours defirer de la connoître, 66.67.ce que c'eft que la fuivre,67.elle eft, ou regle de nos devoirs, ou caufe de tout ce qui fe fait,excepté le peché, ib. eft la loi éternelle,68.eft la juftice divine,ib.elle eft les jugemens & les justifications, dont parle David,69. elle eft la fageffe, ib elle eft les préceptes éternels, ib. elle eft la lumiere, ib. n'éclaire les hommes qu'entant qu'elle luit dans leurs cœurs, 70. elle eft la verité, ib. comment elle eft manifeftée,ib.rien de plus important que de la connoître,76. en demander la pratique,80. demander à la connoître fans referve,81. On demande à la connoître fans la defirer, 82. Le meilleur exercice du matin eft de demander à la connoître, 85. tous font obligés de la confulter, 86.ne la perdre jamais de vûe, 87. attention à cette volonté nous découvre une infinité de vertus à pratiquer, 93. & f. doit toujours être notre regle, en quelque état que nous foyons,96. quelquefois dificile à découvrir, & pourquoi,ib.Simplicité de cœur la fait découvrir, ibid, defir de la connoître regarde principalement le préfent,98. & suiv. donne la paix, 100. en découvre le chemin, ib.renou. vellement d'efprit nous la fait découvrir,96 97.comme juftice, elle fait le paradis & l'enfer, 101. & fuiv. caufe de tous les évenemens, 106. & s. 109. & f. il faut s'y foûmettre, 107. f. comprend tous les tems, 114 toujours adorable, ib. La foumiffion à la volonté de Dieu ne détruit ni la pénitence, 116. f.ni la compaffion,119. ni la prévoyance,ib. n'empêche pas certains defirs, 120. ne retranche pas l'ufage des moyens humains, 123. l'adorer prefente & dans l'avenir, 124 comment fe conduire dans fes effets de mifericorde, & de juftice, ib. Ils font dificiles à diftinguer, ib. l'honorer dans les plus petits évenemens, 125. f.dans les faifons, 128 dans les défauts corporels ou de l'efprit, ibid. nous fait fuporter en paix nos imperfections 129. nous fait adorer l'arrêt de notre predeftination, 130. facilite la conduite du Chrétien, 133. fentimens & difpofitions qu'elle cause, ibid. & fuiv. Vue de Dieu, il y en a deux, une qui porte s'unir à lui, & l'autre qui porte à le fuir, 102 32 PRIVILEGE DU Ror. OUIS PAR LA GRACE DE DIEU, Roy DE FRANCE ET DE NAVARRE: A nos amés & feaux Confeillers, les Gens tenans nos Cours de Parlement, Maîtres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Intendans de nos Provinces, GrandConfeil, Baillifs, Senechaux, Prévôts, ou leurs Lieutenans, & à tous autres nos Jufticiers & Offi. ciers qu'il appartiendra; SALUT. Notre bien amé GUILLAUME DESPREZ, l'un de nos Imprimeurs & Libraires ordinaires, Nous a fait remonrer qu'il eft chargé d'un nombre confiderable des livres intitulés, Le Rituel Romain, avec les Instructions à l'usage du Diocefe d'Alet, & les buit volumes des Essais de Morale, par le Sieur Nicole. Les Privileges defquels étant prêts d'expirer, il auroit recours à Nous, pour en avoir la continuation. A CES CAUSES, defirant favorablement traiter l'Expofant, & lui donner moyen de débiter les Exemplaires dont il eft chargé; même de les réimprimer s'il ett neceffaire pour l'utilité publique. Nous lui avons permis & accordé, permettons & accordons par ces Préfentes, de continuer le débir defdits livres ; & auff de les réimprimer s'il est à propos, & de les diftribuer dans tous les lieux de notre obéiffance, durant le temps & efpace de vingt années entieres & confecutives, à compter du jour & date des Prefentes, faifant très-expreffes inhibitions & défenses à toutes personnes, Libraires, Imprimeurs ou autres, de quelque qualité & condition qu'ils foient de les réimprimer en tout ou en partie; & fous quelques raisons ou prétextes que ce foit; & à tous Marchans étrangers d'en apporter ni debiter dans ce Royaume d'autres impreffions que de celles qui auront eté faites par l'Expofant ou par ceux qui auront droit de lui, en vertu des Préfentes, le tout à peine de trois mille livres d'amande contre chacun des contrevenans, qui auront contrefait ou deBité l'un desdits livres contrefaits, foit en tout ou en partie. Ladite amande applicable, moitié à |