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faffe connoitre & fuivre sa volonté, & de regler par avance fes actions parce que

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l'on en connoîtra. Que l'attention à cette volonté eft le vrai exercice de la prefence de Dieu. 72 VII. Qu'il faut toujours regler les actions exterieures, quoique l'on foit troublé au-dedans. Que cette conduite eft la fource de l'égalité d'efprit. Qu'un homme de bien n'a point d'humeur. Exemple de ce caractere dans few Monfeigneur l'Evêque d'Alet. VIII. Actions de vertu que la vue de la volonté ·・ de Dieu nous découvre. Ordre des actions: Qu'il n'y faut pas être attaché. Obéißance religieufe facilite la vie chrétienne. IX. Que nous devons principalement avoir en vue d'obeir à Dieu dans le moment prefent Que quelque éloigné de Dieu que l'on foit. on peut rentrer dans fon ordre en un inftant, Que la loi de Dien découvre à tous un chemin. de paix. X. Que la vie de la volonté de Dieu, comme - justice, fait le paradis & l'enfer, felon Les differentes difpofitions de ceux qui la regardent.

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SECONDE PARTIE.

CHAP. I. Que la vie de la volonté de Dieu, comme juftice,nous oblige de nous foumettre à cette même volonté, confiderée comme caufe de tous les évenemens. Qu'il faut remonter dans tous ces évenemens, jufqu'à la premiere caufe, fans s'arrêter aux fecondes." II. Que la vûe de la volonté de Dieu change

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de

motre égard toute la face du monde. Ide d'une armée. Elle nous découvre le regne Dieu, rend toutes les hiftoires, des histoires de Dieu. 935 III. Comment la vie de la volonté de Dieu nous doit faire confiderer le paffé & le futur. Es comment la foumiffion qu'on lui doit, s'ao corde avec la penitence, le zele, la compas-fion, la prévoyance. 96 IV. Que l'incertitude de la volonté de Dien à l'égard de l'avenir, nous doit empêcher d'en juger fur des rencontres fortuites. Ce que la vue de cette volonté retranche ou ne retranche pas dans nos actions. V. Qu'il faut pratiquer la foumiffion à la volonté de Dieu , 4 l'égard des petits évenemens. De fes défauts corporels. Des fuites de nos peches. Exemples d'Adam. VI. Quelle est la foumiffion que nous devons à la volonté de Dieu, à l'égard de notre falut éternel. Qu'il eft jufte d'épargner fa propre foibleße fur ce point. Combien la vie de la volonté de Dieu facilite la conduite de la vie chrétienne.

TROISIEME TRAITE.

De la crainte de Dieu.

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CHAP. I. Pourquoi le Prophete étant touché de crainte, demande encore de craindre. Que quoique la crainte naiffe d'amour-propre, elle eft néanmoins utile. II. La fenfibilité & l'infenfibilité de l'homme,

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inconnu. Marquent le dereglement & la grandeur de l'homme. Tems de cette vie, tems de ftupidité.

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III. Infenfibilité, un des plus grans maux de l'ame. Nait d'aveuglement. Idée confufe qu'on le forme de toutes chofes. Faule & vrate idée d'un bal. Autres preuves de cet aveuglement. IV. Que l'infenfibilité fe remarque aufi dans des Chretiens dont la vie eft reglée. Diverses" caufes de cet état. Il eft inutile de s'en inquieter, mais il le faut craindre. Vtilité de s'appliquer aux objets de crainte. V. Idée que l'on doit avoir de la rigueur de la justice de Dieu. Nombre effroyable de reprou ves. Spectacle terrible du carnage spirituel que le demon fait dans l'Eglife même. Fauffe aßurance où nous vivons. VI. Qu'il eft utile de détruire dans fon efprit les prétextes que l'amour-propre nous fournit de ne craindre pas. Innocence exterieure, figne équivoque de l'état de la

grace.

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Vil. Suet que l'on a de craindre pour l'abus qu'on a fait des verités de Dicu. Des occafrons qu'on a eues de s'avancer. Des fetes des mysteres que l'egufe celebre le long de l'année. 139 VIII. Adreße de l'amour-propre pour nous empécher de nous appliquer les reproches que JESUSCHRIST fait a certames gens. Que JESUSCHRIST n'a gueres repris que les vices Spirituels. IX. Qu'il y en a peu qui puißent s'affurer d'a voir les marques que de la vie de l'ame,

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C Ecriture mous donme

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X. Quelle eft la crainte où l'on doit tendre. Avantages que l'on peut tirer de l'état d'infenfibilité. Qu'il n'y faut pas demeurer vo

lontairement.

QUATRIE’ME

TRAITE'.

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Des moyens de conferver la paix avec les hommes.

PREMIERE PARTIE.

CHAP. I. Hommes citoyens de plufieurs villes Ils doivent procurer la paix de toutes; & s'ap pliquer en particulier à vivre en paix dans la Jocieté, où ils pallent leur vie, & dont ils font partie.

ISI

II Union de la raifon & de la religion à nous infpirer le fon de la paix.

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III. Raifons des de voirs de garder la paix avec ceux avec qui on vit. IV. Regle generale pour conferver la paix. Ne bleffer perfonne ne se bleßer de rien. Deux manieres de choquer les autres; Contredire leurs opinions s'opposer à leurs paffions. V. Caufe de l'attache que les hommes ont à leurs opinions. Qui font ceux qui y font le plus Jujets. VI. Quelles font les opinions qu'il eft plus danger.ux de choquer. VII. L'impatience qui porte à contredire les autres eft un defaut confiderable. Qu'on n'eft pas obligé de contredire toutes les faußes optnions. Qu'il faut avoir une retenue generale,

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fe paffer de confident, en ce qui eft diffi cile à l'amour-propre. VIII. Qu'il faut avoir égard à l'état où l'on eft dans l'esprit des autres pour les contredire. 180 IX. Qu'il faut éviter certains défauts en contre difant les autres. 183 X. Qui font ceux qui font les plus obligés d'éviter les defauts marqués ci dejjus. Qu'il faut regler fon interiur suffi-bien que fon exterieur", pour ne pas choqu rcux avec qui l'on vit. 183 XI. Qu'il faut respecter les hommes,& ne regarder pas comme dure l'obligation que l'on a de les ménager. Que c'est un bien

voir ni autorite ni creance.

que

de n'a

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XII. Que quoique le dépit que les hommes ont quand on s'oppose à leurs paffions foit mute, d n'eft pas à propos de sy oppofer. Trois fortes de paffions, juftes, indifferentes, injuf tes. Comment on fe doit conduire à l'egard des paffions in uftes.

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XIII, Comment on fe doit conduire à l'égard des paffions indifferentes & juftes des autres. 199 XIV. Que la loi éternelle nous oblige à la gratitude.

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XV. Raifons fondamentales du devoir de la

civilité.

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CHAP. I. Qu'il ne faut pas établir fa paix fur la correction des autres. Utilité de la fuppreffion des plaintes. Qu'elles font ordinairement plus de mal que de bien.

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II. Vanite in uftice de la complaifance que l'on prend dans les jugemens avantageux qu'on porte de nous.

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