DES CHAPITRES P que REAMBULE. Que l'on croit avoir démontré 4 CHOSES EN DIEU. ! 8 14 22 CHAP. IV. Que ce que l'Auteur de la Recherche de 37 fée: fée: & c'eft dans cette idée de chaque chofe que nous en voïons les propriétez. CHAP. VII. Démonftrations contre les idées prifes CHAP. VIII. II. DEMONSTRATION. CHAP. XII. De la maniere dont l'Auteur de la Re- cherche de la Verité veut que nous voïions les cho- CHAP. XIII. Qu'il a varié auffi dans l'explication des manieres dont nous voyons les chofes en Dieu. Que la premiere étoit par les idées. Qu'il ne s'en est départi qu'en niant qu'il y ait dans le monde intelligible des idées qui reprefentent chaque chafe en particulier: ce qui ne fe peut nier fans erreur. CHAP. XIV. Seconde maniere de voir les chofes en Dien, qui eft de les voir dans une Etenduë intelli- gible infinie, que Dieu renferme. Que ce que l'on dit fur cela, ou est tout-à-fait indigne de Dieu, ou fe CHAP. XV. Que l'étendue intelligible infinie ne nous CHAP. XVI. Que ce que cet Auteur fait faire à no- tre efprit, pour trouver fes idées dans fon ETENDUE INTELLIGIBLE INFINIE, eft contraire à l'ex- perience, & aux loix génerales que Dieu s'eft pref- من CHAP. XVII. Autre variation de cet Auteur, qui dit tantôt qu'on voit Dieu, en voïant les créatures en Dieu, & tantôt qu'on ne le voit point, mais feule- CHAP. XVIII. De trois préjugez qui pouroient em- pêcher qu'on ne fe rende fi facilement à ce qui a été dit contre la nouvelle Philofophie des idées, dont le CHAP. XIX. Du 11. préjugé qui eft, que cette nou- velle Philofophie des idées fait mieux voir qu'aucune autre combien les efprits font dépendans de Dieu, & combien ils lui doivent être unis. CHAP. XX. Du III. préjugé Qu'en n'admettant point cette Philofophie des idées, on eft réduit à dire que notre ame penfe, parce que c'est fa nature; & que Dieu en la créant,lui a donné la faculté de penfer. 214 CHAP. XXI. Que, quand cet Auteur dit qu'il y a des chofes que nous voyons fans idée, ce qu'il entend par-là n'est pas affez démêlé, & cause tant de con- fufion, qu'on n'en peut avoir aucune notion claire. 221 CHAP. XXII. Que s'il étoit vrai que nous viffions les chofes matérielles par des êtres reprefentatifs (ce qui eft la même chose à cet Auteur que de les voir en Dieu) il n'auroit eu nulle raifon de prétendre que CHAP. XXVI. Si nous voïons Dien en lui-même, & 310 329 350 Fin de la Table. Fautes furvenues dans l'impreffion. Page 2 ligne 8 diffimulant que, lifez, diffimulant ce que. Page 4 ligne 2 y a peu, life, il y a peu. Ibid. ligne 12 fon efprit, en obfervant, life, fon efprit, & en obfervant. Page 7 ligne 8 fût en cube, lifez, fût un cube. Ibid. ligne 18 & 19 dans le moule, lifez, dans un moule. |