n. 57 L'étendue eft une fubftance, Deux étendues ne peuvent être différentes dans leur effence: depuis le n. 58 jufqu'au 61 n. 59 Signification du mot (eft) joint à un nom concret, On ne peut concevoir d'étendue immobile: depuis le n. 62 jufqu'au 70; & depuis le n. 144 jufqu'au 158 Tout ce qui n'eft point conçû comme une fubftance, quoique réellement un avec la fubftance du corps, n'eit corps, pas l'effence du n. 71 La pluralité des parties qui font des fubftanl'effence du n'eit pas ces corps, 1.72 n. 73 Les parties qui font plufieurs fubftances n'en font que l'effence inconnue, tant qu'on ne les conçoit pas comme des étendues, La qualité de racine d'étendue n'est pas l'esfence du corps, La chofe qui feroit racine de l'étendue, ne feroit l'effence inconnue du corps, que n. 74 n. 74 Nos lumiéres naturelles ne peuvent nous faire connoître que fence du corps, l'ef l'étendue pour une idée in On peut concevoir un effet par n. 75 tuitive, fans connoître de même sa caufe, mais non pas un mode fans connoître fon fujet, n. 77 3 CHAPITRE SECOND. De la Divifibilité du Corps. Eux maniéres d'être indivifible, n. 78 DRien n'elt indivifible abfolument, de la feconde maniére, n. 79 Il n'y a point de longueur finie, qui n'ait deux bouts & un milieu, éloignez l'un de l'autre, n. 80 Qui ne foit compofée de deux distances, n. 82 Qui ne foit compofée de deux longueurs, n. 85 Toute distance dans l'étendue étant lon n.83 gueur, Distances de tems & diftances métaphori ques, n. 84 On ne peut concevoir de longueur fi petite qu'on ne puiffe en concevoir une encore plus petite, Nulle longueur n'eft Indivifible de fa part, précisément à caufe de fa petiteffe, n. 87 n. 86 & 88 Il en faut dire de même de l'étendue, n. 89 Comment une étendue eft indivisible chez les Gaffendistes, n. go L'étendue n'eft point une fubftance fimple, n. 91 Si l'étendue eft une fubftance, la fimplicité n. 92 n. 106 Gaffendiftes refutez: depuis le g. 107 juf 121 qu'au Quand même une fubftance fimple feroit étendue, elle deviendroit divifible par fon étendue depuis le n. 108 jufqu'au 114 119 Les parties de l'étendue font réellement diftinguées avant leur féparation : depuis le n. 115 jufqu'au Quand même on reconnoîtroit un espace réellement diftingué des corps, fes parties feroient réellement diftinguées les unes des autres, 11. 120 & 127 CHAPITRE TROISIE'ME. L Du Lieu des Corps. E lieu eft une étendue, Il n'eft pas un néant, n. 122 n. 123 D'où vient qu'on l'imagine comme un grand rien, n. 124 Il n'eft point diftingué des corps, n. 125 Tout lieu particulier a lui-même un lieu, n. 126 Et cela doit être reconnu même par ceux qui veulent un espace diftingué des corps, n. 127 Le lieu en tant que lieu eft immobile, Il est mobile en un autre fens, C'eft par le lieu que les corps font ou proches les uns des autres, La définition du mouvement de cartes eft jufte, n. 128 n. 129 éloignez n. 132 Mr Def n. 133 Définition Définition plus exacte: depuis le n. 134 juf- qu'au 142 Le lieu général pour le mouvement général ne prouve rien: depuis le n. 143 jufqu'au 158 166 Difficultez contre ces définitions: depuis le ibid. n. 176 Origine de l'imagination du,vuide, n. 177 n. 178 CHAPITRE QUATRIEME Du mouvement & du repos en général. R Epos: ce que c'eft, n. 179 Quatre fortes de mouvemens: depuis le n. 181 jufqu'au 184 189 Les trois premiéres fortes ne font pas dé- X 201 raport aux autres durées. n. 193 Et comment de même une longueur de cent pieds fans augmenter en largeur ni épaiffeur, & fans changer intérieurement & abfolument, peut devenir d'un pouce : depuis le n. 194 jufqu'au 196 Réponses contre ceux qui fuppofent les corps détruits, pour prouver le vuide, ń. 197 & 198 n. 199 Comment le corps de J. C. pourroit étre étendu dans l'hoftie, Comment J. C. a pû fortir du tombeau fans pénétration, Mouvement de la quatriéme forte, connu par expérience, n. 200 n. 202 Ce mouvement de la quatriéme forte est celui dont il s'agit en Phyfique, n. 203 Nous en avons une idée intuitive, n. 204 Le mouvement eft poffible, n. 205 & 205 Il eft fucceffif par fon effence `. n. 207 Nous avons une idée intuitive du repos, n. 208 n. 212 Et même du repos général de toute l'étendue: depuis le n. 209 jusqu'au 211 Ce repos général eft poffible, Ni le mouvement ni le repos ne font des fuites du corps abftrait de toute état, n. 213 & 214 Un efpace égal à un corps eft le plus petit que ce corps puiffe occuper, n. 216 Propriétez du mouvement & du repos : depuis le n. 216 jufqu'au 255 La force du corps en repos ne peut confifter que dans fon étendue, L'étendue n'eft ni le mouvement ni le repos, n. 222 |