Le preffoir depuis le n. 858 jufqu'au 88 Comment fix hommes en valent 216, & tant l'on voudra, que n. 870 Chemin tournant: depuis le n. 882 jufqu'au Clemn horizontal, 891 n. 892 & 893 Pourquoi on va plus vite en defcendant qu'en montant, & même que dans un chemin horizontal, Le corps fatigue moins dans un chemin ho rizontal qu'en descendant, Chemin horizontal fatigue le tous, n. 894 n. 895 moins de n. 896 Vifle fans fin depuis le n. 897 jusqu'au 899 Effets des cordes pour foutenir & mouvoir les corps depuis le n. 900 jufqu'au : 920 Un corps feul attaché à une corde qui fait un angle avec la ligne de direction de ce corps, doit décrire un arc de cercle jufqu'à ce que cette corde & la direction de ce même corps ne faffent qu'une ligne : depuis le n. 901 jufqu'au Corps attaché à deux cordes qui font un angle, tirées chacune par une force : depuis le n. 908 jufqu'au Les cordes ne peuvent jamais être parfaite. ment tendues: depuis le n. 916 jufqu'au 907 919 919. UIT Il n'y a point de force fi petite qui ne puiffe foulever d'une corde, par le moyen corps, quelque fort qu'il foit, n. 920 Effets des poulies: depuis le n. 921 jufqu'au 946 Les deux forces qui foutiennent un corps : par le moyen d'une poulie, doivent être Les directions de ces deux forces ou puif- fances étant parallelés, elles font égales chacune à la moitié de la force du corps, Un corps foutenu par une puiffance au moyen de plufieurs poulies, eft à cette puiflance comme le produit des finus des angles faits par les cordes qui font au tour de ces poulies, au produit des finus. des moitiez de ces mêmes angles : depuis La force d'un corps foutenu par le moyen de plufieurs poulies, fe divife, pendant Un corps en équilibre avec une puissance par le moyen de plufieurs poulies dont toutes les cordes font paralleles, fera à cette puiffance comme le premier au der- nier terme d'une progreffion double, Forces de la percuffion depuis le n.955 juf Les forces de la percuffion ne font point CHAPITRE HUITIE'ME. L'Hydroftatique. IIquide; ce que c'est : depuis le n. 976 jufqu'au Vafe, 979 n. 980 Fond d'un liquide: depuis le n. 983 jufqu'au 988. n. 987 991 Premiére furface d'un liquide, Tous les filets ou colomnes d'un liquide tendent à s'écouler par les côtez du vase, & les uns à la place des autres : depuis le n. 989 jufqu'au Les forces d'un liquide augmentent à proportion de fa profondeur: depuis le n. 992 jufqu'au 998 Chaque colomne du liquide fait par chacun. de fes côtez un effort égal à toute fa force, & doit être foutenue par plufieurs for-ces, chacune égale à la fienne : depuis le n. 1001 jufqu'au Ravage des riviéres, n. 1005 & 1006 Les liquides de force inégale pour fuivre une même direction, doivent fe féparer, & le plus fort aller devant le plus foible: depuis le n. 1012 jufqu'au Les quatre élemens des anciens, imitez par quatre liqueurs depuis le n. 1021 jufqu'au 1025 Cet effet vient de l'équilibre des liqueurs, 1009 1020 n. 1026 Vin qui paffe au travers de l'eau, ou qui nage deffus depuis le n. 1027 jufqu'au 1044 Raifon de cet effet, apportée par Mr Polinier, n. 1039 & 1040 Les colomnes d'un même liquide sont en - équilibre quand elles font au niveau, quoiqu'inégales en largeur : depuis le n. 1041 jufqu'au Jets d'eau remontent à peu près auffi haut que leurs fources, n. 1045 Chaque partie du fond d'un vafe ne porte qu'une colomne qui lui eft perpendiculaire de la largeur de cette partie du fond & de la profondeur du liquide, n. 1047 Une colomne oblique, quoique plus longue, ne charge pas plus la partie du fond où elle appuye: depuis le n. 1048 juf qu'au 1065 Quand un vafe eft plus étroit à l'entrée qu'au fond, le peu de liquide qui eft à l'entrée, fait fur le fond le même effet, que fi le vafe étoit d'un bout à l'autre de la même largeur qu'au fond, & rempli du liquide depuis le n. 1066 jufqu'au 1075 Le fond d'un vafe ne foutient qu'une colomne de la largeur du fond & de la profondeur du liquide depuis le n. 1077 jufqu'au 1085 Quand il faut foutenir un liquide, la force doit s'eftimer par la profondeur du liqui de, & par la largeur de l'ouverture par où il faut le foutenir, n. 1087 Expériences de Mr Pascal fur l'équilibre des liqueurs depuis le n. 1090 jufqu'au 1100 Ces expériences imitées d'une maniére plus aifée par le fyphon, I. 1101 & 1102 L'inégalité des hauteurs de l'eau dans le fyphon à branches inégales en largeur, nc prouve rien contre les principes cideflus établis : depuis le n. 1103 jufqu'au 1105 Raifons de cette inégalité, n. 1107 & 1108, Preuves de ces raifons, n. 1109 Difficulté tirée d'une expérience contre cet n. III & IIII Explication de quelques Auteurs depuis de n. 1115 jufqu'au n. : 1124 Raifons de toutes ces expériences, n. 1120 Objections contre ces raifons, & réponses: depuis le n. 1121 jusqu au Corps folides en libration avec des liquides. qui ne les touchent pas par toutes leurs furfaces depuis le n. 1140 jufqu'au 1156 Corps folides en libration avec des liquides qui les touchent par toutes leurs furfaces: depuis le n. 1157 jufqu'au 1169 Corps qui doivent s'arrêter & fe ferrer l'un contre l'autre dans un liquide : depuis le n. 1170 jufqu'au Batteau für les caux, Trains de bois, 1172 n. 1174 & 1175 n. 1176 Différentes maniéres de connoître les pefantcurs relatives des liqueurs : depuis le n. 1177 jufqu'au Pourquoi le vinaigre pefe plus que le vin, 1195 n. 1182. L'équilibre des corps fe rompt, lorsqu'ils font portez en d'autres liquides, que ceux où ils étoient en équili re: depuis |