Histoire des révolutions de la République romaine, Volumen1Lequien, 1830 |
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... affaires ; de marcher à la tête de l'armée quand la guerre avoit été résolue par un décret public , et d'ordonner de l'emploi des fi- nances , qui étoient sous la garde de deux tréso- riers qu'on appela depuis Questeurs . Les premiers ...
... affaires ; de marcher à la tête de l'armée quand la guerre avoit été résolue par un décret public , et d'ordonner de l'emploi des fi- nances , qui étoient sous la garde de deux tréso- riers qu'on appela depuis Questeurs . Les premiers ...
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... affaires les plus importantes devoient être portées au sénat ; le prince , comme le chef , y présidoit à la vérité ; mais cependant tout s'y dé- cidoit à la pluralité des voix , et il n'y avoit que — ' Strab . I. V. ' D. H. 1. II , p ...
... affaires les plus importantes devoient être portées au sénat ; le prince , comme le chef , y présidoit à la vérité ; mais cependant tout s'y dé- cidoit à la pluralité des voix , et il n'y avoit que — ' Strab . I. V. ' D. H. 1. II , p ...
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... affaires d'état sans consulter ces fausses divinités ; et Numa , pour autoriser ces pieuses institutions et s'attirer le respect du peuple , feignit de les avoir reçues d'une nymphe appelée Égérie , qui lui avoit ré- vélé , disoit - il ...
... affaires d'état sans consulter ces fausses divinités ; et Numa , pour autoriser ces pieuses institutions et s'attirer le respect du peuple , feignit de les avoir reçues d'une nymphe appelée Égérie , qui lui avoit ré- vélé , disoit - il ...
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... affaire d'Horace étant terminée , le roi de Rome songea à faire reconnoître son autorité dans la ville d'Albe , suivant les conditions du combat , qui avoit adjugé l'empire et la domi- nation au victorieux . Ce prince , en suivant l ...
... affaire d'Horace étant terminée , le roi de Rome songea à faire reconnoître son autorité dans la ville d'Albe , suivant les conditions du combat , qui avoit adjugé l'empire et la domi- nation au victorieux . Ce prince , en suivant l ...
Página 43
... affaire au peuple de toute la terre le plus fier et le plus jaloux de ses droits ; et , pour l'obliger à en relâcher une partie , il falloit le savoir tromper par l'appât d'un bien plus considérable . Les Romains 1 Dion . Halicarn . lib ...
... affaire au peuple de toute la terre le plus fier et le plus jaloux de ses droits ; et , pour l'obliger à en relâcher une partie , il falloit le savoir tromper par l'appât d'un bien plus considérable . Les Romains 1 Dion . Halicarn . lib ...
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Términos y frases comunes
affaire Antium Appius armées assemblée auroit autorité Aventin avis avoient avoit Brutus buns camp campagne Cassius centuries Céson citoyens collègue conjuration consulaire consulat consuls convoquer Coriolan courage crime déclara dessein dettes devoient devoit dictateur dieux différents dignité Dionys discours dit-il ennemis ensuite Èques étoient étoit eût Fabius faisoient faisoit falloit faveur femmes romaines fût général gouvernement guerre Halicarn Herniques homme Icilius jeunes sénateurs justice l'assemblée du peuple l'autorité l'état liberté licteurs lois magistrats Ménénius ment multitude n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit n'y avoit ordres paix paroître parole partage des terres patriciens patrie père peuple romain plébéiens pouvoient pouvoir premiers prétexte publique puissance Quintius rent république Rome Romulus Sabins sédition sénat sénateurs sénatus-consulte sentiment seroient seroit Servilius seul Siccius Sicinius soldats sorte suffrages Tarquin tion toyens tribunat tribuns triciens Tullus Tullus Hostilius tyrannie Valérius venoit Vertot Virginius Volsques vouloient vouloit voyoit
Pasajes populares
Página 26 - ... eussent été souvent trop précipités et trop tumultueux. Telle étoit la constitution fondamentale de cet État, qui n'étoit ni purement monarchique, ni aussi entièrement républicain. Le roi, le sénat, et le peuple, étoient, pour ainsi dire, dans une dépendance réciproque, et il résultoit de cette mutuelle dépendance un équilibre d'autorité qui modéroit celle du prince, et qui assuroit en même temps le pouvoir du sénat et la liberté du peuple. Romulus , pour prévenir les divisions...
Página 45 - Il institua ensuite le cens, qui n'étoit autre chose qu'un rôle et un dénombrement de tous les citoyens romains, dans lequel on comprit leur âge, leurs facultés , leur profession , le nom de leur tribu et de leur curie, et le nombre de leurs enfans et de leurs esclaves.
Página 240 - A peine est-il sorti de charge, qu'il se trouve accablé d'accusations. C'est ainsi que, par votre injuste plébiscite, vous avez ôté la vie à Ménénius, aussi grand capitaine que bon citoyen. Ne devriez-vous pas mourir de honte d'avoir persécuté si cruellement le fils de ce Ménénius Agrippa, à qui vous devez vos tribuns et ce pouvoir qui vous rend à présent si furieux?
Página 13 - Le magistrat comme le simple citoyen , l'officier et le soldat , porterent leur servitude où ils crurent trouver leur intérêt. Les légions de la république devinrent les légions des grands et des chefs de parti : et pour attacher le soldat à leur fortune , ils dissimuloient ses brigandages , et négligeoient la discipline militaire , à laquelle leurs ancêtres devoient leurs conquêtes , et la gloire de la république.
Página 63 - Ils élevoient leurs enfans dans cette vie dure, afin de les rendre plus robustes et plus capables de soutenir les fatigues de la guerre. Mais, sous des habits rustiques, on trouvoit une valeur incomparable, de l'élévation , et delà grandeur dans les sentimens.
Página 2 - ... supérieurs et capables de les assujettir. Ceux qui étoient convaincus d'avoir employé d'indignes voies pour parvenir au commandement en étoient exclus pour toujours. Les charges et les emplois , si on en excepte la censure , n'étoient qu'annuels. Un consul , en sortant du consulat , ne conservoit d'autorité que celle que lui donnoit son mérite...
Página 7 - II, cap. f. peuple ; et les consuls , après avoir acquis cette grande dignité par leurs brigues, ou à prix d'argent, n'alloient plus à la guerre que pour s'enrichir des dépouilles des nations , et souvent pour ravager euxmêmes les provinces qu'ils eussent dû conserver et défendre. De là vinrent les richesses immenses de quelques généraux. Qui pourroit croire qu'un citoyen romain , queCrassus ait eu plus de sept mille talents de bien' ? Je ne parle point des trésors que Lucullus rapporta...
Página 285 - Volsques , leurs voisins , armoient secrètement , et que la nouvelle colonie d'Antium étoit entrée dans cette ligue. Nous avons vu plus haut , que comme il ne s'étoit pas présenté un assez grand nombre de citoyens Romains pour remplir cette colonie , on y avoit suppléé par des gens ramassés de différents endroits , Latins , Herniques , et Toscans : il s'y étoit même glissé des Volsques.
Página 3 - Romain mettoit sa gloire à conserver sa pauvreté, en même temps qu'il exposoit tous les jours sa vie pour enrichir le trésor public. Chacun se croyoit assez riche des richesses de l'État, et les généraux, comme les simples soldats, n'attendoient leur subsistance que de leur petit héritage, qu'ils cultivoient de leurs mains : Gaudebat tellus vomere laureato (i).
Página 204 - avec les assurances de votre réconciliation , « avec quels transports de joie ne serai-je pas « reçue par nos concitoyens? Le peu de jours « que les dieux me destinent encore à passer « sur la terre , seront environnés de gloire et « d'honneurs. Mon bonheur ne finira pas même « avec cette vie mortelle ; et s'il est vrai qu'il « y ait différens lieux, pour nos âmes, après la « mort, je n'ai rien à craindre de ces endroits « obscurs et ténébreux où sont relégués les nsé« chans...