Histoire des révolutions de la République romaine, Volumen1Lequien, 1830 |
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... terre . Cependant l'auteur , qui auroit pu s'en faire . un mérite , avouoit de bonne foi qu'il n'y avoit ja- mais songé , et , qu'après le plaisir d'écrire , si quel- que chose l'occupoit encore , c'étoit le desir de re- tourner dans sa ...
... terre . Cependant l'auteur , qui auroit pu s'en faire . un mérite , avouoit de bonne foi qu'il n'y avoit ja- mais songé , et , qu'après le plaisir d'écrire , si quel- que chose l'occupoit encore , c'étoit le desir de re- tourner dans sa ...
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... terre qu'ils culti- vent de leurs mains . On présage sa ruine dès que , maîtresse du monde entier , toutes les richesses de l'univers coulent dans son sein . Cet ouvrage est regardé comme le chef - d'œuvre de l'auteur . La chaleur de ...
... terre qu'ils culti- vent de leurs mains . On présage sa ruine dès que , maîtresse du monde entier , toutes les richesses de l'univers coulent dans son sein . Cet ouvrage est regardé comme le chef - d'œuvre de l'auteur . La chaleur de ...
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... terres , on vendit par d'indignes adoptions , et par des alliances honteuses , le sang illustre de ses ancê- tres : et quand on n'eut plus rien à vendre , on trafi- qua de sa liberté . Le magistrat comme le simple citoyen , l'officier ...
... terres , on vendit par d'indignes adoptions , et par des alliances honteuses , le sang illustre de ses ancê- tres : et quand on n'eut plus rien à vendre , on trafi- qua de sa liberté . Le magistrat comme le simple citoyen , l'officier ...
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... terre . On a donné depuis un air de mystère à ce qui n'étoit peut - être alors qu'un pur effet du ha- sard ou de la nécessité ; et on nous a débité que ce temple n'avoit été ménagé sous terre , que pour apprendre aux hommes que les ...
... terre . On a donné depuis un air de mystère à ce qui n'étoit peut - être alors qu'un pur effet du ha- sard ou de la nécessité ; et on nous a débité que ce temple n'avoit été ménagé sous terre , que pour apprendre aux hommes que les ...
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... terre quand il auroit des troupes suffisantes pour s'en emparer . Ce fut pour reconnoître ses forces , qu'il fit faire un dénombrement de tous les citoyens de Rome . Il ne s'y trouva que trois mille hommes de pied , et environ trois ...
... terre quand il auroit des troupes suffisantes pour s'en emparer . Ce fut pour reconnoître ses forces , qu'il fit faire un dénombrement de tous les citoyens de Rome . Il ne s'y trouva que trois mille hommes de pied , et environ trois ...
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Términos y frases comunes
affaire Antium Appius armées assemblée auroit autorité Aventin avis avoient avoit Brutus buns camp campagne Cassius centuries Céson citoyens collègue conjuration consulaire consulat consuls convoquer Coriolan courage crime déclara dessein dettes devoient devoit dictateur dieux différents dignité Dionys discours dit-il ennemis ensuite Èques étoient étoit eût Fabius faisoient faisoit falloit faveur femmes romaines fût général gouvernement guerre Halicarn Herniques homme Icilius jeunes sénateurs justice l'assemblée du peuple l'autorité l'état liberté licteurs lois magistrats Ménénius ment multitude n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit n'y avoit ordres paix paroître parole partage des terres patriciens patrie père peuple romain plébéiens pouvoient pouvoir premiers prétexte publique puissance Quintius rent république Rome Romulus Sabins sédition sénat sénateurs sénatus-consulte sentiment seroient seroit Servilius seul Siccius Sicinius soldats sorte suffrages Tarquin tion toyens tribunat tribuns triciens Tullus Tullus Hostilius tyrannie Valérius venoit Vertot Virginius Volsques vouloient vouloit voyoit
Pasajes populares
Página 26 - ... eussent été souvent trop précipités et trop tumultueux. Telle étoit la constitution fondamentale de cet État, qui n'étoit ni purement monarchique, ni aussi entièrement républicain. Le roi, le sénat, et le peuple, étoient, pour ainsi dire, dans une dépendance réciproque, et il résultoit de cette mutuelle dépendance un équilibre d'autorité qui modéroit celle du prince, et qui assuroit en même temps le pouvoir du sénat et la liberté du peuple. Romulus , pour prévenir les divisions...
Página 45 - Il institua ensuite le cens, qui n'étoit autre chose qu'un rôle et un dénombrement de tous les citoyens romains, dans lequel on comprit leur âge, leurs facultés , leur profession , le nom de leur tribu et de leur curie, et le nombre de leurs enfans et de leurs esclaves.
Página 240 - A peine est-il sorti de charge, qu'il se trouve accablé d'accusations. C'est ainsi que, par votre injuste plébiscite, vous avez ôté la vie à Ménénius, aussi grand capitaine que bon citoyen. Ne devriez-vous pas mourir de honte d'avoir persécuté si cruellement le fils de ce Ménénius Agrippa, à qui vous devez vos tribuns et ce pouvoir qui vous rend à présent si furieux?
Página 13 - Le magistrat comme le simple citoyen , l'officier et le soldat , porterent leur servitude où ils crurent trouver leur intérêt. Les légions de la république devinrent les légions des grands et des chefs de parti : et pour attacher le soldat à leur fortune , ils dissimuloient ses brigandages , et négligeoient la discipline militaire , à laquelle leurs ancêtres devoient leurs conquêtes , et la gloire de la république.
Página 63 - Ils élevoient leurs enfans dans cette vie dure, afin de les rendre plus robustes et plus capables de soutenir les fatigues de la guerre. Mais, sous des habits rustiques, on trouvoit une valeur incomparable, de l'élévation , et delà grandeur dans les sentimens.
Página 2 - ... supérieurs et capables de les assujettir. Ceux qui étoient convaincus d'avoir employé d'indignes voies pour parvenir au commandement en étoient exclus pour toujours. Les charges et les emplois , si on en excepte la censure , n'étoient qu'annuels. Un consul , en sortant du consulat , ne conservoit d'autorité que celle que lui donnoit son mérite...
Página 7 - II, cap. f. peuple ; et les consuls , après avoir acquis cette grande dignité par leurs brigues, ou à prix d'argent, n'alloient plus à la guerre que pour s'enrichir des dépouilles des nations , et souvent pour ravager euxmêmes les provinces qu'ils eussent dû conserver et défendre. De là vinrent les richesses immenses de quelques généraux. Qui pourroit croire qu'un citoyen romain , queCrassus ait eu plus de sept mille talents de bien' ? Je ne parle point des trésors que Lucullus rapporta...
Página 285 - Volsques , leurs voisins , armoient secrètement , et que la nouvelle colonie d'Antium étoit entrée dans cette ligue. Nous avons vu plus haut , que comme il ne s'étoit pas présenté un assez grand nombre de citoyens Romains pour remplir cette colonie , on y avoit suppléé par des gens ramassés de différents endroits , Latins , Herniques , et Toscans : il s'y étoit même glissé des Volsques.
Página 3 - Romain mettoit sa gloire à conserver sa pauvreté, en même temps qu'il exposoit tous les jours sa vie pour enrichir le trésor public. Chacun se croyoit assez riche des richesses de l'État, et les généraux, comme les simples soldats, n'attendoient leur subsistance que de leur petit héritage, qu'ils cultivoient de leurs mains : Gaudebat tellus vomere laureato (i).
Página 204 - avec les assurances de votre réconciliation , « avec quels transports de joie ne serai-je pas « reçue par nos concitoyens? Le peu de jours « que les dieux me destinent encore à passer « sur la terre , seront environnés de gloire et « d'honneurs. Mon bonheur ne finira pas même « avec cette vie mortelle ; et s'il est vrai qu'il « y ait différens lieux, pour nos âmes, après la « mort, je n'ai rien à craindre de ces endroits « obscurs et ténébreux où sont relégués les nsé« chans...