Histoire De François Premier, Roi De France, Dit Le Grand Roi Et Le Pere Des Lettres: 1Saillant & Nyon, 1769 - 399 páginas |
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Términos y frases comunes
affez ainfi Anglois Anne de Bretagne auffi avoient avoit bataille bataille de Marignan Bayard Belcar Bellay Bourbon Bretagne c'eft C'eſt c'étoit Cardinal Charles VIII çois Comte Comteffe confidérable Connétable d'Angoulême d'Anjou d'Arragon d'Eſpagne d'Orléans devoit Duc d'Urbin Duc de Gueldres Duc de Savoye Duc de Valois Duché ennemis époufé Etats étoient étoit faifoit falloit fans feconde fecours fent Ferdinand feroit fervir feul Fleuranges fœur foit Foix fon fils fon pere fous Fran François fuccès fuivant fur-tout gloire Guicciard Henri VIII Hift Hiftoriens Jove jufqu'à l'Archiduc l'Empereur l'Hiftoire laiffa Lanfquenets Laurent de Médicis Lautrec Léon X Ligue Louis XII Maifon Maréchal Marignan Maximilien Médicis Mém Milan Milanès mille n'avoient n'avoit n'eft Navarre paffer Pape plufieurs pouvoit prefque Prince Princeffe Puiffances refte Reine rent Royaume de Naples s'étoient ſes Sfor Sforce Suiffes tems tion Traité Trivulce troupes Varillas Vénitiens vouloit vûes ככ
Pasajes populares
Página 234 - Trois mille pionniers la précèdent; le fer et le feu lui ouvrent une route difficile et périlleuse à travers des rochers; on remplit des vides immenses avec des fascines et de gros arbres; on bâtit des ponts de communication , on traîne à force d'épaules et de bras l'artillerie dans quelques endroits inaccessibles aux bêtes de somme : les soldats aident les pionniers, les officiers aident les soldats; tous indistinctement...
Página 389 - ... et de ma bataille j'étois à un trait d'arc en deux troupes de ma gendarmerie, et à mon dos mon frere d'Alençou avec le demeurant de son arriere-garde , et notre artillerie sur les avenues.
Página 398 - Talmond est fort blessé, et vous veux encore assurer que mon frère le connétable et M. de Saint-Pol ont aussi bien rompu bois que gentilshommes de la compagnie quels qu'ils soient; et de ce j'en parle comme celui qui l'a vu, car ils ne s'épargnoient non plus que sangliers échauffés. Au demeurant, Madame, faites bien remercier Dieu partout le royaume de la victoire qu'il lui a plu nous donner.
Página 62 - Ses voyages étoient des triomphes ; on voîoit en foule au-devant de lui , on jonchoit fon chemin de feuillages & de fleurs; les gens de la campagne au bruit de fa marche...
Página 274 - Pends-toi, brave Grillon, nous avons combattu „ à Arques, & tu n'y étais pas. . . Adieu, brave Grillon, je vous
Página 187 - ... fous une adminiftration paternelle , de ne porter que des charges légères , & toujours employées au bien public, ce bonheur goûté par les François, apperçu par leurs voifins , envié par leurs ennemis, ouvroit le fein de la France à une multitude «l'Habitans.
Página 285 - Sion s'y étoit retiré plein de rage et de terreur, après la bataille de Marignan ; au bruit de l'approche du roi, il s'enfuit chez l'empereur pour l'engager à faire "un effort en faveur des Sforces ; il prit la précaution, fatale à la France, de mener avec lui à la cour de l'empereur, le jeune François Sforce, frère puîné du duc Maximilien, afin que...
Página 61 - ... des François & l'exemple des Rois. On ne peut lire fans attendriffement & fans volupté les témoignages d'amour que les peuples ., toujours bons quand ils iont bien traités j lui prodiguoient.
Página 17 - H tourna ces dispositions du côté de l'amour de la gloire; il cultiva en lui cette vérité, cette valeur, cette générosité, caractères héroïques de la chevalerie française; il lui apprit à répandre sur toutes ses actions , sur toutes ses manières , le vernis de l'affabilité ; il lui fit sentir surtout que la barbarie seule...
Página 284 - Sire, autant vaille que si c'étoit Roland ou Olivier, Godefroy ou Baudouin son frère. Certes, vous êtes le premier prince que onques feis chevalier; Dieu veuille que en guerre ne preniez la fuite. » Et puis après, par manière de jeu, cria hautement...