CHAP. II. Commencement d'un langage, CHAP. III. L'homme brut confidéré par rapport au moral & à l'industrie, CHAP. IV. Qualités de l'efprit chez les fau vages, 394 399 405 416 CHAP. V. Idées furnaturelles des fauvages, 418 CHAP. VI. Faible population des fauvages, 417 CHAP. VII. Style énergique des fauvages, 432 CHAP. VIII. Quand commence l'amour de la patrie, CHAP. IX. Hofpitalité en honneur chez les fauvages, CHAP. X. La guerre a pris naiffance chez les fauvages, CHAP. XI. Maniere dont les fauvages font la guerre, CHAP. XII. Défaut de Gouvernement chez les fauvages, 435 438 441 442 454 CHAP. XIII, Formation des grands Etats, 458 CHAP. XIV. Caufes des divers CHAP. XVI. On ne peut faire paffer subitement un peuple de la fervitude à un gouvernement modéré; page 473 CHAP. XVII. L'efprit national regle la lé gislation, CHAP. XVIII. Influence de la culture des terres fur les progrès de l'efprit, 479 482 Fin de la Table des Chapitres. ر L'HOMME L'HOMME MORA L. CHAPITRE PREMIER. Premier principe de la Morale mal connu. Les anciens philofophes ont cultivé la Morale, & en ont fait fouvent le fujer de leurs écrits. Leurs maximes ont mé rité l'admiration de la poftérité. Ils ont très bien établi les devoirs de l'homme; mais ils n'ont pas remonté à leur fource: ils nous ont appris ce que nous devions faire; mais ils n'ont pas dit pourquoi nous y étions obligés : ils voulaient régir le citoyen; mais ils n'ont pas apperçu que le principe de toutes fes obligations A |