Œuvres complètes de Chateaubriand, Tema 5558,Volumen10

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Página 264 - Reine, n'ayant de femme que le sexe, « l'âme entière aux choses viriles , l'esprit puissant «aux affaires, le cœur invincible aux adversités.
Página 97 - Karle , cet homme de fer, avoit la tête couverte d'un casque de fer et les mains garnies de gantelets de fer ; sa poitrine de fer et ses épaules...
Página 298 - (Lettre de LA GUESLE. ) Charles de Valois, fils naturel de Charles IX et de Marie Touchet , comte d'Auvergne et duc d'Angoulême, avoit rencontré Jacques Clément en allant chez le roi. «Je trouvai ce monstre de moine, dit-il « dans ses trop courts Mémoires , que la nature avoit « fait de si mauvaise mine , que c'étoit un visage de « démon plutôt que de forme humaine.
Página 575 - ... choses sensées et raisonnables ; on est surpris de voir naître et éclore le bon sens du sein de la bouffonnerie, parmi les grimaces et les contorsions.
Página 53 - ... leurs concitoyens. Quoi qu'il en soit, je ne puis regarder avec indifférence ce peu de noms et cette courte histoire, seul monument d'une révolution qui est loin de nous, il est...
Página 312 - ... pas encore été mangés des vers, ou dévorés par les poissons et les corbeaux. Après la journée des barricades, le duc de Guise alla avec...
Página 121 - Brièvement et tout ce considéré et avisé, avant que je vinsse en sa cour je avois été en moult de cours de rois, de ducs, de princes, de comtes et de hautes dames, mais je n'en fus oncques en nulle qui mieux me plût, ni qui fût sur le fait d'armes plus réjouie comme celle du comte de Foix étoit.
Página 512 - JVÏADAME , quelque répugnance que je puisse avoir à vous donner l'histoire de ma vie , qui a été agitée de tant d'aventures différentes , néanmoins , comme vous me l'avez commandé, je vous obéis, même aux dépens de ma réputation.
Página 444 - ... point se souvenir qu'il étoit Anglois, que par conséquent il parloit fort mal françois; outre qu'il bégayoit un peu, qu'il étoit fatigué, et qu'il n'est pas extraordinaire qu'un malheur aussi considérable que celui où il étoit diminuât une éloquence beaucoup plus parfaite que la sienne.
Página 489 - Des adolescents qui commençaient leur vie par l'adversité apportaient le fruit semainier de leur labeur afin de s'éjouir à quelque danse de la patrie. Des attachements se formaient. Nous priions dans des chapelles que je viens de revoir et qui n'ont point changé. Nous faisions entendre nos pleurs le 21 janvier, tout émus que nous étions d'une oraison funèbre prononcée par le curé émigré de notre village. Nous allions aussi le long de la Tamise, voir entrer au port...

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