Imágenes de páginas
PDF
EPUB
[ocr errors][merged small][ocr errors]

4. Démonftration des XIII. Theo- A. PAremes de la forte centrifuge propofez RENT. fans démonftration par M. Hughens de Zulichem, à la fin de fon Traité de la Pendule, augmentez de ceux qui manquoient,& remis dans leur ordre natugel. Journ. du 23. Mai 1701.

Dans les Memoires de Trevoux.

5. De la fituation de l'œil, qui donne les représentations des parties égales de la Sphere, les plus égales qu'il foit poffible, avec la maniere de faire des Mappemondes & des Cartes Chorographiques fur ce principe, ca d'y mefurer toutes fortes de distances. Juillet 1712. p. 1240.

6."Solution d'un problême general de perspective, qui contient les principales difficultez qui furviennent en la prati, que. Octobre 1712, p. 1826.

7. Des proportions, des figures & du nombre des ailes des Moulins à vent verticaux, propres à augmenter la force diminuer les frais le plus qu'il eft poffible. Decembre 1712, p. 2176.

S. Methode nouvelle pour couvrir les Places de guerre contre les batteries de l'ennemi, avec un projet d'une nouvelle enceinte de Place, tiré de douze

A. PA- des plus celebres Fortificateurs. Fevrier 1713. p. 348.

RENT.

9. Reflexions nouvelles & Démonftrations fur les regles d'alliage & fur les fauffes pofitions Mars 1713. p. 520.

10. Premier Problême de la Manœuvre. Trouver la furface plane fituée verticalement dans un fluide & pouffée par un autre fluide, toujours au même fens. Janvier 1714. p. 154.

11. Maniere de réfendre les queftions qui dépendent de la vertu centrifuge, indépendamment de fa connoifnoiffance & des rayons des développées, appliquée à une pendule indiquée par M. le Marquis de l'Hopital. Juin 1724. p. 1089.

12. Analyse d'un nouveau Livre intitulé: Effai d'une nouvelle Theorie de la Manoeuvre des Vaiffeaux. Par J. Bernoulli, 1714. dans laquelle on trouve la réfolution de plufieurs problêmes de manœuvre. Avril 1715. p. 697.

13. Réfolution de trojs problêmes celebres tentez par M. Bernoulli dans fon Effai d'une nouvelle Theorie de la Manoeuvre. Mai 1715. p. 893.1 14. Seconde partie d'un Memoire

[ocr errors]

fur les taches du Soleil & de la Lune, A. PAou fur les Volcans celeftes, ou l'on con- RENT. firme le fyftême établi dans la premiere partie. Fevrier 1716. p. 321. La premiere partie de ce Memoire se trouve dans le Mercure de Paris du mois de Janvier 1716.

15. Suite des Remarques fur les Volcans, où il eft parlé des Volcans cachez fous les eaux ; on explication des trombes ou colomnes d'eau qui s'élevent de la mer jufqu'aux nuës, par occafion des Ouragans & des Monfons. Juin 1716. p. 1169.

[ocr errors]

Entre plufieurs Ouvrages Mff. que M. Parent a laiffez, il s'en eft trouvé quelques-uns de devotion, la vie de ce grand oncle, (M. Mallet) à qui il étoit redevable de fon éducation & les preuves de la Divinité de Jefus-Chrift en quatre parties. Tout cela a paffé entre les mains de M. de la Faye, Capitaine aux Gardeş & Membre de l'Academie des Sciences, qui étoit fon executeur tefta

[merged small][ocr errors]

V. fon éloge par M. de Fontenelle, Hift. de l'Academie des Sciences, année 1716.

[blocks in formation]

P.PETIT.

PIERRE PETIT.

IERRE Petit naquit à Paris en 1617. Quoique cette date ne foit marquée en aucun endroit, la mort de Petit arrivée au mois de Decembre 1687. dans fa foixanteonzième année en fait connoître la verité. Si l'on s'en rapportoit à Patin, on reculeroit de beaucoup fa naiffance; car il le fait dans une de fes Lettres du 21. Octobre 1653. âgé feulement de 24. ans, & fui¬ vant ce calcul il feroit né en 1629.. Mais on fçait qu'il n'eft rien de plus fautif que les Lettres de Patin, qui mandoit fouvent à fes amis plutôt ce qu'il s'imaginoit, que ce qui étoit veritablement. Il eft plus sûr de s'arrêter à ce qu'en dit l'Abbé Nicaife qui l'a connu particulierement, & qui a confulté fa veuve pour com➡ pofer l'éloge qu'il a donné de ce Sçavant. M. de la Monnoye avoir d'abord fuivi la date de Patin, mais il a changé de fentiment dans la faite, perfuadé que la date de Mi Nicaife étoit sûre.

a

P.PETIT.

Petit, qui étoit fils du Greffier
de S. Victor, felon Patin, étudia
plufieurs années en Medecine, d'a-
bord à Montpellier, où il fut reçu
Docteur, & enfuite à Paris, où il
fe fit paffer Bachelier; mais il ne-
gligea dans la fuite l'exercice de la *
Medecine,pour fe donner tout entier
aux Belles Lettres.

Il demeura pendant quelque tems
chez M. le Premier Préfident de:
Lamoignon en qualité de Précep--
teur de fes enfans, & paffa enfuite
dans la Maifon de M. Nicolaïs Pre-
mier Président de la Chambre des
Comptes, qui voulut l'avoir auprès
de lui en qualité d'Homme de Let

tres..

Il a beaucoup compofé, & l'on
peut dire
que la meilleure partie de
fa vie s'eft paffée à cela. Il écrivoit
avec beaucoup de facilité, & fes
meilleurs. Ouvrages ne lui ont coûté
que fort peu de tems. Il étoit très--
verfé dans la lecture des anciens
Auteurs Grecs & Latins, & fes
écrits font connoître l'étenduë de
fes connoiffances & la profondeur
de fon érudition. M. Nicaife trouve

1

« AnteriorContinuar »