De la recherche de la verité, où l'on traite de la nature de l'esprit de l'homme, & de l'usage qu'il en doit faire pour eviter l'erreur dans les sciences, Volumen1Chez M. David, 1712 |
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... Sens . Chap . I. Dproprietez de l'enten- E la nature , & des dement . De la nature & des proprie- tez de la volonté , & ce que c'est que la liberté . page Chap . II . Des jugemens & des rai- fonnemens . Qu'ils dépendent de la volonté ...
... Sens . Chap . I. Dproprietez de l'enten- E la nature , & des dement . De la nature & des proprie- tez de la volonté , & ce que c'est que la liberté . page Chap . II . Des jugemens & des rai- fonnemens . Qu'ils dépendent de la volonté ...
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... SENS . Deux ma- nieres d'expliquer comment ils font corrompus par le peché . Que ce ne font pas nos fens , mais nôtre liber- té qui eft la veritable caufe de nos erreurs . Regle pour ne se point tromper dans l'ufage de fes fens . 51 ...
... SENS . Deux ma- nieres d'expliquer comment ils font corrompus par le peché . Que ce ne font pas nos fens , mais nôtre liber- té qui eft la veritable caufe de nos erreurs . Regle pour ne se point tromper dans l'ufage de fes fens . 51 ...
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Nicolas Malebranche. DE LA RECHERCHE DE LA VERITE . LIVRE PREMIER DES SENS . CHAPITRE PREMIER . L De la nature des proprietez de I enterarment , 11 Dé le cecure o des propreses de la volone , & DE que t'ofe que ic liverte . EFFET et la ...
Nicolas Malebranche. DE LA RECHERCHE DE LA VERITE . LIVRE PREMIER DES SENS . CHAPITRE PREMIER . L De la nature des proprietez de I enterarment , 11 Dé le cecure o des propreses de la volone , & DE que t'ofe que ic liverte . EFFET et la ...
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... les corps qui femblent les caufer , comme on le prouvera ailleurs ; & elles ne font rien autre chofe que l'a- me modifiée d'une telle ou telle fa- çon de forte qu'elles font propre ment les modifications de A iiij DES SENS . que ...
... les corps qui femblent les caufer , comme on le prouvera ailleurs ; & elles ne font rien autre chofe que l'a- me modifiée d'une telle ou telle fa- çon de forte qu'elles font propre ment les modifications de A iiij DES SENS . que ...
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... qu'il y a quelque faculté diftinguée de l'ame , qui la rend elle ou le corps capable de fentir car ils croyent que les or- ganes des fens ont veritablement part à nos perceptions . Ils s'imaginent que le corps aide A v DES SENS .
... qu'il y a quelque faculté diftinguée de l'ame , qui la rend elle ou le corps capable de fentir car ils croyent que les or- ganes des fens ont veritablement part à nos perceptions . Ils s'imaginent que le corps aide A v DES SENS .
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Términos y frases comunes
abfolument affez Ainfi aprés auffi avoit ayent bleffer c'eft c'eſt capables caufe cauſe cerveau changemens Chap CHAPITRE chofes choſes compofé conféquent confervation confidére confifte connoiffance connoître Dieu différentes difpofition dire douleur effentielle efprits animaux enfans erreurs eſt étoit fang fans doute fauffes fçavoir fciences fe font fe trouve feconde felon femblables femble fenfa fenfations fenfibles fens fent fentimens feroit fervir feulement fibres du cerveau fions foibles foient foit folide fommes fon corps forte fouvent fuffit fujet gemens hommes idées imagination impreffions infinité jugemens juger l'ame l'ef l'efprit l'imagination lefquelles liaifon lorfque lumiére maniére ment mouvemens mouvement n'eft n'eſt naturelle néceffaire nerf optique nerfs objets paffe paffions parler paroît penfer perfonnes perfuader Philofophes plaifir plaifirs plufieurs plûtôt pourroit prefque premiére puiffe puifqu'il puifque raifon rapport reconnoître tems tion toûjours traces tres ufage verité vifage voyent voyons vûë yeux
Pasajes populares
Página 512 - Les gens qui me servent, il faut que je les appelle par le nom de leurs charges ou de leur pays, car il m'est très-malaisé de retenir des noms.
Página 506 - Ainsi il s'est plutôt fait un pédant à la cavalière, et d'une espèce toute singulière, qu'il ne s'est rendu raisonnable, judicieux et honnête homme. Le livre de Montaigne contient des preuves si évidentes de la vanité et de la fierté de son auteur, qu'il paraît peut-être assez inutile de s'arrêter à les faire remarquer; car il faut être bien plein de soi-même pour s'imaginer, comme lui, que le monde veuille bien lire un assez gros livre, pour avoir quelque connaissance de nos humeurs....
Página 63 - ... L'idée qu'elle nous donne de l'étendue a des bornes fort étroites ; mais il ne suit pas de là, que l'étendue en ait. Elle est sans doute infinie en un sens; et cette petite partie de matière...
Página 234 - De sorte que la faculté d'imaginer, ou l'imagination, ne consiste que dans la puissance qu'a l'âme de se former des images des objets, en produisant du changement dans les fibres de cette partie du cerveau que l'on peut...
Página 390 - En matière de théologie on doit aimer l'antiquité parce qu'on doit aimer la vérité, et que la vérité se trouve dans l'antiquité ; il faut que toute curiosité cesse, lorsqu'on tient une fois la vérité. Mais en matière de philosophie on doit au contraire aimer la nouveauté, par la même...
Página 35 - ... comme dans celles de la nature il ne faut point s'arrêter à la foi, c'est-àdire à l'autorité des philosophes. En un mot, pour être fidèle, il faut croire aveuglément , mais pour être philosophe il faut voir évidemment.
Página 8 - D'où il est facile de reconnaître que, quoique les inclinations naturelles soient volontaires, elles ne sont toutefois pas libres de la liberté d'indifférence dont je parle, qui renferme la puissance de vouloir ou de ne pas vouloir, ou bien de vouloir le contraire de ce à quoi nos inclinations naturelles nous portent.
Página 346 - Cette délicatesse des fibres se rencontre ordinairement dans les femmes, et c'est ce qui leur donne cette grande intelligence pour tout ce qui frappe les sens. C'est aux femmes à décider des modes, à juger de la langue, à discerner le bon air et les belles manières.
Página 7 - Car la matière est toute sans action; elle n'a aucune force pour arrêter son mouvement, ni pour le déterminer et le détourner d'un côté plutôt que d'un autre. Son mouvement, comme l'on vient de dire, se fait toujours en ligne droite, et lorsqu'il est empêché de se continuer en cette manière, il décrit une ligne circulaire la plus grande qu'il est possible, et par conséquent la plus approchante de la ligne droite, parce que c'est Dieu qui lui imprime son mouvement, et qui règle sa détermination.