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moi de l'éducation des enfans dans un âge peu avancé, & fàns une grande expérience, de tomber dans bien des fautes que je reconnois avoir commise moimême, en les aidant de mes Réflexions, ou plutôt de celles des plus habiles Maîtres de l'Antiquité en matiere d'éducation; Réflexions dont les miennes ne font que des conféquences toutes fimples & toutes naturelles car, je le répete encore, je ne dis prefque rien de moimême. Je me fuis mis en poffeffion de profiter du travail d'autrui; & je me flatte que tout Lecteur, content qu'on lui dife de bonnes chofes, fans fe mettre en peine d'où on les tire, ne m'en fçaura point mauvais gré, furtout s'il a égard, comme je l'efà la pureté de mon inten

pere,

tion.

des Arts viennent de Dieu. Pag. 38 CH. IX. Les Temples ont été batis pour augmenter la dévotion. 51 CH. X. La Religion en honneur & en sûreté, même parmi les Ennemis. 56 CH. XI. La Religion publique préférée aux intérêts particuliers. 60 CH. XII. Les İmpies font châtiés tôt ou

62

72

tard. CH. XIII. Quels vœux il faut faire à Dieu. CH. XIV. L'homme eft l'ouvrage de Dieu le plus parfait

77

CH. XV. La vertu eft le meilleur bien de l'homme, & le feul qui lui foit propre en ce Monde.

82

LIVRE SECOND.

DE LA

PRUDENCE.

CHAPITRE 14 Nature a mis dans

PREMIER. tous les efprits un défir infatiable de connoître la vérité. Page 87 CH. II. La Science eft la nourriture de

l'ame.

89

CH. III. Un travail opiniâtre & un

exercice réglé l'emportent sur la na

tùre.

Page 95

103

CH. IV. La Science acquife, même au péril de la vie. CH. V. Un Sçavant vaut beaucoup mieux qu'un Ignorant.

110

CH. VI. La volonté, plutôt que le pouvoir de devenir riche, manque à l'homme fçavant. 117 CH. VII. Il faut fe munir de provisions qui puiffent échapper au naufrage.

120

CH. VIII. Les Belles-Lettres fervent d'ornement de confolation aux hommes.

134

127 CH. IX. Inconvéniens à éviter dans l'étude de la fcience. CH. X. C'est avoir acquis la fcience utile & néceffaire, que de vivre hon

nêtement.

143

CH. XI. La Nature nous a donné un

défir égal d'inftruire & d'être inf

truit.

145

156

CH. XII. C'est être infenfé, d'enfeigner aux autres ce qu'on ne fçait pas par expérience. CH. XIII. Il eft glorieux, même à un Vieillard, d'apprendre.

159

CH. XIV. Honneur rendu aux Sça

vans.

166

CH. XV. La modeftie jointe à la fcien

ce.

199

203

CH. XVI. Il n'importe pas d'avoir & de lire beaucoup de Livres, mais de les avoir bons & de les lire. CH. XVII. Il faut fe former une Bibliothéque pour fon ufage & celui du Public, & non pour l'oftentation.

208

CH. XVIII. La mémoire fe fortifie quand on en prend foin, & perit quand on la néglige.

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LIVRE TROISIEME.

DE LA JUSTICE.

CHAPITRE

PREMIERA Justice eft la Reine

de toutes les vertus.

Page 238 CH. II. L'homme doit être jufte, fans attendre de récompenfe. 247 CH. III. Il faut cultiver & conferver la Juftice avec tout le foin poffible. 253 CH. IV. Nous devons avoir en vue l'u

267

tilité publique. CH. V. La volonté feule de pécher eft un péché. CH. VI. Un homme qui conferve la

275

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