Menagiana, Volumen4Chez la veuve Delaulne, 1729 |
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... lettres nom- ma Olive fa maîtreffe , dont le nom de fa- mille étoit Viole : ce que M. Ménage di- foit tenir de M. l'Abbé Guyet , & à quoi Jacques Grevin femble avoir fait allufion dans cet endroit de fon Ode je tombe zu de Du Bellay ...
... lettres nom- ma Olive fa maîtreffe , dont le nom de fa- mille étoit Viole : ce que M. Ménage di- foit tenir de M. l'Abbé Guyet , & à quoi Jacques Grevin femble avoir fait allufion dans cet endroit de fon Ode je tombe zu de Du Bellay ...
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... Hadrien de Valois dans fa Notice des Gaules au mot Aletum , & le Vocabulaire Hagiologique de l'Ab- bé Châtelain à la lettre M. au mot S. Malo . * Boxhornius écrit Mab . 9 Le Cardinal du Perron vieux & ac cablé de goutes 18 MENAGIANA .
... Hadrien de Valois dans fa Notice des Gaules au mot Aletum , & le Vocabulaire Hagiologique de l'Ab- bé Châtelain à la lettre M. au mot S. Malo . * Boxhornius écrit Mab . 9 Le Cardinal du Perron vieux & ac cablé de goutes 18 MENAGIANA .
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... lettre de Voiture , où il eft dit qne Madame la Princeffe voulut aller voir les promenoirs en attendant l'heure du Souper . Savoir , que ces derniers mots fentent le Bourgeois • parce que les Princeffes , ni les gens de la premiére qua ...
... lettre de Voiture , où il eft dit qne Madame la Princeffe voulut aller voir les promenoirs en attendant l'heure du Souper . Savoir , que ces derniers mots fentent le Bourgeois • parce que les Princeffes , ni les gens de la premiére qua ...
Página 24
... Lettres qu'elle me faifoit l'honneur de m'écrire étoient d'une pureté de ftyle , au deffus de la capa- cité ordinaire des Etrangers . Elle avoit établi une Académie dans fa Ville capi- tale , qui s'affembloit les Jeudis . Pour lors on s ...
... Lettres qu'elle me faifoit l'honneur de m'écrire étoient d'une pureté de ftyle , au deffus de la capa- cité ordinaire des Etrangers . Elle avoit établi une Académie dans fa Ville capi- tale , qui s'affembloit les Jeudis . Pour lors on s ...
Página 28
... lettre qu'il écrit à Muret , pour l'exhorter à retourner en France , qu'il fembloit ne vouloir plus reconnoî- tre pour fa patrie . Elle eft toute pleine de cordialité , & très - bien faite . Muret à mon gré n'avoit pas affez de toute ...
... lettre qu'il écrit à Muret , pour l'exhorter à retourner en France , qu'il fembloit ne vouloir plus reconnoî- tre pour fa patrie . Elle eft toute pleine de cordialité , & très - bien faite . Muret à mon gré n'avoit pas affez de toute ...
Términos y frases comunes
affez aiant ainfi Alde Manuce Andelis Arétin Athalaric Aubin d'Angers auffi auroit avoient avoit belle Beze Bondonnet c'eft C'eſt c'étoit Cardinal caufe chofe Comte Confeiller Croix du Maine deffein déja devoit Dieu difoit dire écrit efprit Epigramme eſt étoient étoit Evêque faifoit faint fans favant favoir fecond felon femble fens fentiment feroit feul fiécle fieur foit fonge font fous le nom fouvent François fuivant fujet fuppofé Grandier Grec Grotius Hiftoire Impofteurs Impoftoribus imprimé j'ai Jean Joconde jufte l'Abbé l'an l'Arétin l'Epigramme l'Hiftoire laiffé Lambin Latin lefquels lettre Loudun Mahomet maniere manufcrit Meffieurs ment Miniftre Monfieur Monnoieur mort Muret n'avoit n'eft ogniuno paffage paffer Parlement perfonne Philofophie plaifir plufieurs plûtôt Poëte Polia Poliphile Politien pouvoit préfent Préfident premiere Profeffeur quod raifon s'eft Scaliger tems tems-là toûjours troifiéme verfion verité δὲ καὶ τε
Pasajes populares
Página 247 - Que dans le marché-neuf tout est calme et tranquille ; Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Le bois le plus funeste et le moins fréquenté Est, au prix de Paris, un lieu de sûreté. Malheur donc à celui qu'une affaire imprévue Engage un peu trop tard au détour d'une rue ! Bientôt quatre bandits lui serrant les côtés, La bourse! ... Il faut se rendre; ou bien non, résistez, Afin que votre mort, de tragique mémoire, Des massacres fameux aille grossir l'histoire.
Página 249 - Receler le printemps au milieu des hivers ; Et , foulant le parfum de ses plantes fleuries , Aller entretenir ses douces rêveries. Mais moi , grâce au destin , qui n'ai ni feu ni lieu , Je me loge où je puis , et comme il plaît à Dieu . SATIRE VII.
Página 247 - Pour moi, fermant ma porte, et cédant au sommeil, Tous les jours je me couche avecque le soleil. Mais en ma chambre à peine ai-je éteint la lumière, Qu'il ne m'est plus permis de fermer la paupière : Des filous effrontés, d'un coup de pistolet, Ebranlent ma fenêtre, et percent mon volet : J'entends crier par-tout, Au meurtre ! On m'assassine...
Página 241 - J'entends déjà partout les charrettes courir, Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis que dans les airs mille cloches émues, D'un funèbre concert font retentir les nues ; Et, se mêlant au bruit de la grêle et des vents Pour honorer les morts font mourir les vivants.
Página 246 - Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double cadenas font fermer les boutiques ; Que, retiré chez lui, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent ; Que dans le Marché-Neuf tout est calme et tranquille.
Página 243 - En font pleuvoir l'ardoise et la tuile à foison. Là sur une charrette une poutre branlante Vient menaçant de loin la foule qu'elle augmente ; Six chevaux attelés à ce fardeau pesant Ont peine à l'émouvoir sur le pavé glissant ; D'un carrosse en...
Página 237 - Tous deux la contestaient, lorsque dans leur chemin La justice passa, la balance à la main. Devant elle à grand bruit ils expliquent la chose. Tous deux avec dépens veulent gagner leur cause.
Página 241 - Qu'éveillera bientôt l'ardente soif du gain, Avec un fer maudit, qu'à grand bruit il apprête, De cent coups de marteau me va fendre la tête.
Página 239 - Tout conspire à la fois à troubler mon repos, Et je me plains ici du moindre de mes maux : Car à peine les coqs, commençant leur ramage, Auront de cris aigus frappé le voisinage, Qu'un affreux serrurier...
Página 243 - Vingt carrosses bientôt arrivant à la file Y sont en moins de rien suivis de plus de mille : Et, pour surcroît de maux, un sort malencontreux Conduit en cet endroit un grand troupeau de bœufs ; Chacun prétend passer; l'un mugit, l'autre jure.