J'aurai de la complaisance, Pour toi, mon charmant Brunet, Tu faffes bien claquer ton foüet; Et tique tique tac, Tu falles bien claquer ton foüet. Si la piece peut vous plaire, Que je ferai fatisfait ! Je n'aurai plus de vœux à faire, Et tique tique tac, Je ferai bien claquer mon foüet. FIN. N. Th. It. Tome I. M ************************* LE PHILOSOPHE TROMPE' PAR LA NATURE. Reprefentés le Novembre 1725. AIR. Mufique, p. 14. Tout le jour fe tenir à table, Sans fe démonter le cerveau: 'Aux faveurs d'un objet aimable, Voilà Le Philofophe & le Sage. Tout le jour s'occuper à lire ; Jamais boire, chanter, ni rire, Pour vivre à deux fiecles de-là: Voilà Le comble de la folie, 'AUTRE AIR. Musique, p. 15. Sans fçavoir ni Grec, ni Latin, Ma femme & moi je faifons bon ménage : A bras ouverts foir & matin, Je révérons le Dieu du vin, Notre Bailli, nos Procureux Mais je fçavons nous rendre heureux; AUTRE. Mufique, P.15 En vain par nos raifonnemens, L'amour triomphe malgré nous. Amans cédez à vos defirs; Ne foient qu'une aimable imposture; Ce n'eft qu'au fond de votre cœur J'ai lu, 'ai relû maint Auteur, AVANTURES DE LA RUE QUINQUEMPOIX Reprefentées le 21 Novembre 1719. 2E VAUDEVILLE. Musique, p. 13. N Gafcon, rufe matois, Par fes feuls galants exploits, D'un tendron friant y fit choix :. Avant le terme des dix mois, Vive le Quinquempoix, * D'une attentive maman Se joindre à la mêlée: Vive le Quinquempoix,, Un minois de foixante ans Laffé d'un long veuvage, Fit choix pour fon paffe-t mps; Il fe fit avancer les mois, Agiota, puis au minois, |