Poetæ minores: Sabinus, Calpurnius, Gratius Faliscus, Nemesianus, Valerius Cato, Vestritius Spurinna, Lupercus Servastus, Arborius, Pentadius, Eucheria, Pervigilium Veneris

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C.L.F. Panckoucke, 1842 - 419 páginas

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Página 338 - En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Página 240 - Crier à vos lecteurs, d'une voix de tonnerre : "Je chante le vainqueur des vainqueurs de la terre." Que produira l'auteur après tous ces grands cris? La montagne en travail enfante une souris.
Página 341 - Du sort soutiendront le retour. Tant que sa faveur vous seconde , Vous êtes les maîtres du monde , Votre gloire nous éblouit ; Mais , au moindre revers funeste , Le masque tombe ; l'homme reste ; Et le héros s'évanouit. L'effort d'une vertu commune Suffit pour faire un conquérant : Celui qui dompte la fortune Mérite seul le nom de grand.
Página 207 - L'étalon généreux a le port plein d'audace ; Sur ses jarrets pliants se balance avec grâce. Aucun bruit ne l'émeut ; le premier du troupeau , II fend l'onde écumante, affronte un pont nouveau. Il a le ventre court, l'encolure hardie...
Página 398 - Dans les longues rigueurs d'une prison cruelle Je n'ai point imploré ta puissance immortelle ; Avare du secours que j'attends de tes soins, Mes vœux t'ont réservé pour de plus grands besoins. Je t'implore aujourd'hui. Venge un malheureux père : J'abandonne ce traître à toute ta colère...
Página 362 - Qui ne le dit tous les jours dans le siècle ? une fatale révolution , une rapidité que rien n'arrête , entraîne tout dans les abîmes de l'éternité : les siècles , les générations , les empires , tout va se perdre dans ce gouffre ; tout y entre , et rien n'en sort. Nos ancêtres nous en ont frayé le chemin , et nous allons le frayer dans un moment à ceux qui viennent après nous. Ainsi les âges se renouvellent ; ainsi la figure du monde change sans cesse ; ainsi les morts et les vivants...
Página 321 - Telle sur un rameau durant la nuit obscure , Philomèle , plaintive , attendrit la nature , Accuse en gémissant l'oiseleur inhumain Qui , glissant dans son nid une furtive main , Ravit ces tendres fruits que l'amour fit éclore, Et qu'un léger duvet ne couvrait pas encore.
Página 376 - Hippodamia rotis ; 20 sed facies aderat nullis obnoxia gemmis, qualis Apelleis est color in tabulis. Non illis studium vulgo conquirere amantes : illis ampla satis forma pudicitia. Non ego nunc vereor, ne sim tibi vilior istis...
Página 320 - Le dieu de l'air( 56 ) descend dans son sein amoureux, Lui verse ses trésors, lui darde tous ses feux, Remplit ce vaste corps de son ame puissante; Le monde se ranime, et la nature enfante.
Página 376 - Quid iuvat ornato procedere, vita, capillo, Et tenues Coa veste movere sinus, Aut quid Orontea crines perfundere murra, Teque peregrinis vendere muneribus, Naturaeque decus mercato perdere cultu, 5 Nec sinere in propriis membra nitere bonis?

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