Poetæ minores: Sabinus, Calpurnius, Gratius Faliscus, Nemesianus, Valerius Cato, Vestritius Spurinna, Lupercus Servastus, Arborius, Pentadius, Eucheria, Pervigilium VenerisC.L.F. Panckoucke, 1842 - 419 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 34
Página 2
... main à ses travaux , particulièrement à sa tragédie de Tré- zène et à son poëme des Jours : Quique suam Trozena , imperfectumque dierum Deseruit celeri morte Sabinus opus . ( Pont . lib . IV , eleg . 16. ) Ovide lui attribue les ...
... main à ses travaux , particulièrement à sa tragédie de Tré- zène et à son poëme des Jours : Quique suam Trozena , imperfectumque dierum Deseruit celeri morte Sabinus opus . ( Pont . lib . IV , eleg . 16. ) Ovide lui attribue les ...
Página 4
... main . Quoiqu'elle n'ait pour appui qu'un vieillard et un enfant , elle trouvera dans sa vertu assez de force pour leur résister . Elle conjure son époux de ne pas tarder davantage : l'instruction de Télémaque réclame sa présence , et ...
... main . Quoiqu'elle n'ait pour appui qu'un vieillard et un enfant , elle trouvera dans sa vertu assez de force pour leur résister . Elle conjure son époux de ne pas tarder davantage : l'instruction de Télémaque réclame sa présence , et ...
Página 7
... main chérie et ton cachet fidèle , il s'est senti sou-- lagé de ses longs tourments . Tu m'accuses de paresse . Ah ! combien j'aimerais mieux que cette imputation fût fondée , que d'avoir à te racon- ter tout ce que j'ai souffert , et ...
... main chérie et ton cachet fidèle , il s'est senti sou-- lagé de ses longs tourments . Tu m'accuses de paresse . Ah ! combien j'aimerais mieux que cette imputation fût fondée , que d'avoir à te racon- ter tout ce que j'ai souffert , et ...
Página 23
... main . Cruelle , pourrais - tu donc chercher parmi eux un époux ? Aurais - tu le courage d'agréer leurs feux ? Ne craindrais - tu pas qu'on ne te reprochât ta perfidie ? Oh ! quels seraient ta honte et tes regrets , quand tu apercevrais ...
... main . Cruelle , pourrais - tu donc chercher parmi eux un époux ? Aurais - tu le courage d'agréer leurs feux ? Ne craindrais - tu pas qu'on ne te reprochât ta perfidie ? Oh ! quels seraient ta honte et tes regrets , quand tu apercevrais ...
Página 25
... main . Je n'avais pas encore de puissance . Mon père , dont tu m'accuses d'être fier , devait m'associer à son em- pire . Lorsque je ramenais avec toi les brebis des pâtu- rages , je ne pensais pas avoir pour frère Déiphobe ou Hector ...
... main . Je n'avais pas encore de puissance . Mon père , dont tu m'accuses d'être fier , devait m'associer à son em- pire . Lorsque je ramenais avec toi les brebis des pâtu- rages , je ne pensais pas avoir pour frère Déiphobe ou Hector ...
Otras ediciones - Ver todas
Poetæ minores: Sabinus, Calpurnius, Gratius Faliscus, Nemesianus, Valerius ... Vista de fragmentos - 1879 |
Términos y frases comunes
Acragas æthere aimez demain Alcon amant amat amavit amor amours Amyclée AMYNTAS Apollon arma armis artes ASTACUS ASTILE atque auro bêtes bois brebis CABARET-DUPATY Professeur calamos Calpurnius canis caput carmina chante chasse chiens cœur CORYDON CRAS amet cura Démophon deus Diane dieu dieux Donace dulce églogue erat etiam EUCHÉRIE feux fille fleurs forêts fuit gaudia Géorg Gratius hæc Hinc Hunc IDAS illa ille Incipe inter Iolas ipsa ipse Jupiter l'amour lacte Lupercus LYCIDAS LYCOTAS Lydia Mélibée Meliboe mihi modo Mopsus Némésien nobis Numérien nunc Nymphes omne Omnia opus ORNITUS Ovide PAULIN DE NOLE pectora PENTADIUS Phyllis poëme poëte primum printemps quæ quam Quid quisque quod quoque quos quum rose rura sæpe sanguine satis semper silvis Spurinna sunt tamen tempora Thrace Thyrsis tibi Tityre tota tunc umbras Valerius Caton Veneris Vénus verbe Virgile Virgile Géorg viridi vitæ
Pasajes populares
Página 338 - En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Página 240 - Crier à vos lecteurs, d'une voix de tonnerre : "Je chante le vainqueur des vainqueurs de la terre." Que produira l'auteur après tous ces grands cris? La montagne en travail enfante une souris.
Página 341 - Du sort soutiendront le retour. Tant que sa faveur vous seconde , Vous êtes les maîtres du monde , Votre gloire nous éblouit ; Mais , au moindre revers funeste , Le masque tombe ; l'homme reste ; Et le héros s'évanouit. L'effort d'une vertu commune Suffit pour faire un conquérant : Celui qui dompte la fortune Mérite seul le nom de grand.
Página 207 - L'étalon généreux a le port plein d'audace ; Sur ses jarrets pliants se balance avec grâce. Aucun bruit ne l'émeut ; le premier du troupeau , II fend l'onde écumante, affronte un pont nouveau. Il a le ventre court, l'encolure hardie...
Página 398 - Dans les longues rigueurs d'une prison cruelle Je n'ai point imploré ta puissance immortelle ; Avare du secours que j'attends de tes soins, Mes vœux t'ont réservé pour de plus grands besoins. Je t'implore aujourd'hui. Venge un malheureux père : J'abandonne ce traître à toute ta colère...
Página 362 - Qui ne le dit tous les jours dans le siècle ? une fatale révolution , une rapidité que rien n'arrête , entraîne tout dans les abîmes de l'éternité : les siècles , les générations , les empires , tout va se perdre dans ce gouffre ; tout y entre , et rien n'en sort. Nos ancêtres nous en ont frayé le chemin , et nous allons le frayer dans un moment à ceux qui viennent après nous. Ainsi les âges se renouvellent ; ainsi la figure du monde change sans cesse ; ainsi les morts et les vivants...
Página 321 - Telle sur un rameau durant la nuit obscure , Philomèle , plaintive , attendrit la nature , Accuse en gémissant l'oiseleur inhumain Qui , glissant dans son nid une furtive main , Ravit ces tendres fruits que l'amour fit éclore, Et qu'un léger duvet ne couvrait pas encore.
Página 376 - Hippodamia rotis ; 20 sed facies aderat nullis obnoxia gemmis, qualis Apelleis est color in tabulis. Non illis studium vulgo conquirere amantes : illis ampla satis forma pudicitia. Non ego nunc vereor, ne sim tibi vilior istis...
Página 320 - Le dieu de l'air( 56 ) descend dans son sein amoureux, Lui verse ses trésors, lui darde tous ses feux, Remplit ce vaste corps de son ame puissante; Le monde se ranime, et la nature enfante.
Página 376 - Quid iuvat ornato procedere, vita, capillo, Et tenues Coa veste movere sinus, Aut quid Orontea crines perfundere murra, Teque peregrinis vendere muneribus, Naturaeque decus mercato perdere cultu, 5 Nec sinere in propriis membra nitere bonis?