Memoires pour l'histoire des sciences et des beaux arts ..., Volumen4S.A.S, 1702 |
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... Rome vers le Pape Eleuthere . Feuardenta cru qu'il paffa de Rome en Afie , & que ce fut luy qui por- ta la lettre de ces mêmes Confef feurs aux Eglifes d'Afie & de Phry- . gie . Baronius a refuté cette opinion , qui en effet eft peu ...
... Rome vers le Pape Eleuthere . Feuardenta cru qu'il paffa de Rome en Afie , & que ce fut luy qui por- ta la lettre de ces mêmes Confef feurs aux Eglifes d'Afie & de Phry- . gie . Baronius a refuté cette opinion , qui en effet eft peu ...
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... Rome , ou qu'il l'eût été à Lyon avant la mort de fon Prede- ceffeur , ce feroit pour une autre rai fon que celle du P. Quefnel . On fçait à peu près en quelle an- née mourut S. Irenée : mais on ne fçait point en quelle année il nâquit ...
... Rome , ou qu'il l'eût été à Lyon avant la mort de fon Prede- ceffeur , ce feroit pour une autre rai fon que celle du P. Quefnel . On fçait à peu près en quelle an- née mourut S. Irenée : mais on ne fçait point en quelle année il nâquit ...
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... on ne peut dou- ter qu'il n'ait écrit fous le Pontifi cat d'Eleuthere ; puifque S. Irenée dit expreffément lui - même qu'E . leuthere tenoit le fiége de Rome , lorfqu'il l'écrivoit . des Sciences & des beaux Arts . 207.
... on ne peut dou- ter qu'il n'ait écrit fous le Pontifi cat d'Eleuthere ; puifque S. Irenée dit expreffément lui - même qu'E . leuthere tenoit le fiége de Rome , lorfqu'il l'écrivoit . des Sciences & des beaux Arts . 207.
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leuthere tenoit le fiége de Rome , lorfqu'il l'écrivoit . Et s'il eft vray , comme S. Epiphane l'affure , que Theodotion n'ait publié fa verfion de l'Ecriture fainte , que vers la fe- conde année de l'Empire de Com- mode ; il faut dire ...
leuthere tenoit le fiége de Rome , lorfqu'il l'écrivoit . Et s'il eft vray , comme S. Epiphane l'affure , que Theodotion n'ait publié fa verfion de l'Ecriture fainte , que vers la fe- conde année de l'Empire de Com- mode ; il faut dire ...
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... Rome . Sur , quoi il fait obferver qu'on n'accor- doit autrefois la penitence anx pé cheurs qu'une fois durant leur vie ce qu'il faut entendre de la peniten- ce publique tout au plus . Car il re- fute par plufieurs autoritez & par ...
... Rome . Sur , quoi il fait obferver qu'on n'accor- doit autrefois la penitence anx pé cheurs qu'une fois durant leur vie ce qu'il faut entendre de la peniten- ce publique tout au plus . Car il re- fute par plufieurs autoritez & par ...
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi auffi Auteur avoient avoit benefice Berenger c'eft C'eſt Caen caufe celebre celuy chofe chûte circonference Commire compofé confiderable Danemark déja Dieu difciples differentes Differtation Dombes Ecclefiaftiques eft égale Eglifes enfuite eſt étoient étoit Evêque Fables faint fang fans fecond felon femble fentiment fept feroit fervir feule fiecle fignifie fils Florus foin foit font force centrifuge fous fuite fuivant fujet fuppofe furface Hiftoire Hugens Irenée Jean JEAN BOUDOT Jean Mabillon Journal de Sçavans jufqu'à l'an l'Auteur l'Eglife l'Evêque l'hiftoire laiffa Lanfranc Latins livre lorfque lumiere Mabillon maniere Memoires Mennon ment Monaftere n'eft n'étoit neanmoins neceffaire obferver ofcillations Ouvrage paffages paffe païs Pape paroît pefanteur pendule Pere perfonnes permutation plufieurs Poëtes prefent prefque premiere Prince Propofition raifon refte reprefente s'eft Saint Senat Senateurs teffe tems Tertullien teur Theoreme thrône tion toûjours troifiéme verité vray Yucatan
Pasajes populares
Página 10 - Il étoit encore fîngulier dans la manière de narrer des Fables. Il avoir em«prunté de Phèdre la pureté de la Langue Romaine , & cette naïveté élégante qui fait le caractère de ces fortes d'Ouvrages , mais on peut dire qu'il avoit furpafle fon modek en un point.
Página 48 - Outre iftoire facrée de la nation juive , fon origine , fes progrès , fes bonnes ou mau vaifes suions , & f«s différentes aventures fous les patriarches , les chefs de ce peuple , les juges & les rois , depuis Abraham , jufqu'à la captivité de Babylone ; Mezger y propofe...
Página 101 - S: ftupide. La vénération que nous avons pour les articles de nôtre foy & pour les cérémonies facrées , nous rend attentifs à n'y point fouffrir d'innovation qui en puifle altérer la pureté. Le mépris des Idolâtres pour leur religion a eu un effet tout contraire.
Página 75 - Je ne les dois à perfonne. je n'ay pas toujours approuvé les conjectures des autres , & je permets de bon cœur qu'on n'approuve pas les miennes. En cette matière on ne doit pas attendre des demonttrations , & c'eit beaucoup que d'attraper le vrai-femblablc, parmi tant de ténèbres dont la vérité cft enveloppée.
Página 107 - Après avoir levé cette peau , on découvroit un trou rond de la grandeur & de la forme de celui de l'orbite de l'œil. Il étoit fermé par une efpece de platine cartilagineufb fort mobile, qui étoit attachée , tout à l'entour , au bord du trou rond par une membrane fort délicate au côté du trou , vers le...
Página 74 - Auguflin dans fes livres de la Cité de Dieu , nous ont appris beaucoup de chofes fur cette matière. Depuis qu'on s'eft attaché à l'étude des langues Orientales , on a fait de plus grandes découvertes dans ce païs inconnu des fables. Je ferois trop long li je voulois parler de tous ceux qai s'y font fïgnalez par des conjectures heureufes.
Página 83 - Divinité qu'on honoroit dans fa patrie. Car Cecrops étoit de Saïs en Egypte, Ville dont Minerve étoit la protectrice , comme elle la fut depuis d'Athènes , après que Cecrops eût bâti cette dernière ville. Le nom à' Athene , elt le même que celui de Minerve.
Página 84 - J'explique même fort au long comment l'hiftoire a dégénéré en fable. Voici l'abrégé de ce que j'en dis. . III. Les peuples ont été long tems fans lettres & fans livres.L'hiftoire ne fe confcrvoit que par la feule tradition.
Página 97 - Les Egyptiens , pour ne céder en rien, aux Grecs , enchérirent encore fur les nouvelles fictions qu'on leurapportoit. Il fe fit alors comme un commerce de fables entre ces deux nations , qui obfcurcit prefque entièrement l'hiltoire.
Página 83 - Je ne dois pas omettre une ci rconf tance aflez finguliereque nous rapportent les Auteurs Grecs, du culte de la Deefle Athene. Son temple étoit gardé par des vierges ; & on avoit foin, pour éprouver leur fidélité, de leur confier une corbeille couverte , qui renfcrmoit la figure d'un fcrpent & celle d'un enfant.