Traité de la priere

21

Ton confond les pensées de l'esprit avec
les mouvemens du cœur.
CHAP. IV. Autre illufion qui naît de
l'amour de Dieu étant d'un

ce que
mérite fort inégal felon fes differens
degrez, s'attribue les plus grands
lorfqu'on n'est que dans les moindres.

28

CHAP. V. De l'abus des Altes de Con-
trition, & de l'utilité qu'on en peut
tirer en retranchant cet abus. 37
CHAP. VI. Ce que c'est que l'intention
neceffaire pour fanctifier nos inten-

tions.

47

CHAP. VII. De la pratique des con-
ventions. Abus qui s'y pourroient
gliffer.
CHAP. VIII. Qu'il ne faut pas jugėr
du mérite de l'Oraifon par la fervenr
fenfible.

LIVRE SECOND.

63

De ce
ce qu'on doit demander à Dieu.

CHAPITRE PREMIER.

de

UE nous ne devons proprement
mander à Dieu que Dieu même,
felon les Peres,

68

CHAP. II. Deux conféquences de cette

doctrine. 1. Qu'il n'est pas permis

de demander à Dieu aucune chofe

temporelle pour en joüir. 2.
joüir. 2. Qu'il

n'eft permis de demander à Dieu au-

cune chofe temporelle que condition-

73

nellement.

CHAP. III. Que non feulement il eft

permis, mais qu'on eft obligé de de-

mander à Dieu fon salut & sa beati.

tude.

CHAP. IV. Principes de la Religion

Chrétienne, qui font voir la néceffité

de défirer & de demander la beatitu

100

de.

CHAP. V. Réponse aux raisons par lef
quelles on prétendroit autoriser l'in-
différence pour fon falut.

III

CHAP. VI. Qu'il faut defirer & de-
mander à Dieu l'accroiffement de l'a-
mour de Dieu & des vertus chrétien-

nes.

120

CHAP. VII. Qu'on doit demander à

Dien la délivrance des tentations in-

terieures. Abus qu'on peut faire de

la foumiffion à la volonté de Dieu à

cet égard. De quelle forte on eft obli-

gé de regarder ces tentations, & qu'il

eft néceffa re d'en gémir. 136

CHAP. VIII. Dans quelles bornes on

que

doit referrer le defir de fatisfaire à
la justice de Dieu, & de l'abus
l'on en peut faire.

LIVRE TROISIE'ME.

Des divers états des ames, & de
quelle maniere on s'y doit con-
duire.

CHAPITRE PREMIER.

D

Iverfes penfées qui peuvent naître
le jugement qu'on doit faire des
divers états des ames, & fur la con-
duite qu'on y doit tenir ; & qu'il en
faut prendre les Peres pour Juges.

164

CHAP. II. Divers états des ames felon
les Peres.
173
CHAP. III. Que la conduite ordinaire
de Dieu fur les ames, eft de leur fai-
re éprouver une viciffitude d'appro-
ches, & d'éloignement de fon Efprit.

184

190

CHAP. IV. Diverfes fortes de fécheref
fes & d infenfibilitez.
CHAP. V. Quel jugement on doit por-
ter fuivant la doctrine des faints Pe-
res des divers états ci-deffus décrits,

CHAP. VI. Avis que les Saints donnent
felon ces différentes difpofitions. 225
CHAP. VII. Que le délaiffement de
Jefus-Chrift ne donne point lieu de
préferer ni d'égaler l'état de fécheref
Je & de tentation à l'état de ferveur
&de paix.
CHAP. VIII. Que la Doctrine du Pere
Jean de la Croix ne prouve nullement
que l'infenfibilité foit l'état le plus ef-
timable de l'ame.

LIVRE QUATRIE'ME.

252

264

Que la pratique commune de l'o-
raifon Mentale n'eft point con-
traire à l'esprit de l'Eglife, ni
des faints Peres.

CHAPITRE PREMIER.

V

Eritez aufquelles on n'a point def
fein de donner atteinte. Abus qu'on
peut faire de cette maxime. Que l'O
raifon ne confifte pas en pensées. 274
CHAP. II. Ce que

c'est que
de prouver
tOraifon Mentale par l'antiquité.
Que l'Oraifon Vocale n'est qu'une

méthode d'Craifon Mentale. 281

CHAP. III. Combien les Peres ont fait

état des bonnes pensées, & qu'il eft

permis de s'y appliquer & de les re-

chercher.

291

CHAP. IV. Que la maniere dont les

Peres ont lû prefcrivent de lire
l'Ecriture - Sainte, autorise l'Orai-

fon Mentale.

298

CHAP. V. Que la conduite de Dieu à