Le nouveau théâtre franc̜ois, Volumen1Êtienne Neaulme, 1735 |
Términos y frases comunes
affez ainfi Amant amour ANTIGONE ANTIOCH ANTIOCH US ANTIOCHUS ARAMINTE auffi BELISE c'eft c'eſt ceffe cher chofe Ciel CLIDA CLIDAMIS cœur couroux Créon crime CRISPIN cruel DAMIS Danaé deffein deftin déja Delphes Dieu Dieux difcours DIPE efprit Epoux ERAST étoit fang fans fauver fçai fçais fecours fecret fens fenti feul fœur foins foit foldats foupçons fous FRONTIN fuis fujet GLACIGNA gloire GOUVERNEUR grace HERSILIE ITAMALE IUPITER j'ai j'en JOCAST jour jufte JUNON JUPITER l'amour L'HOSTESSE laiffe Lifette LISETTE Loix Lucile m'en Madame maux MERCURE MERLIN Mifaël MISAE Monfieur mort n'eft NERINE Oedipe ORGON paffe penfe Pére Phorbas PIRAC plaifir pleurs plûtôt prefent preffe Préfident PRESIDENT PROCULUS raifon refpect refte Romulus SABINE SALMON SCAPIN SCE SCENE SCENE PREMIERE Seigneur Tatius tems tendreffe Thébains Thebe TIPHAE Tiran toûjours trifte vais VALER VALERE vanger VEUVE veux vois yeux
Pasajes populares
Página 27 - Cette folle de sœur inventa ce dédit. Nous fîmes deux billets à ce neveu maudit. Tout retombe sur moi , seule je me marie. Il faudra payer seule , et de sa raillerie Je vais en rougissant essuyer tous les traits. FRONTIN. Pendant que nos amours sont encore secrets, Composez, retirez vos billets de Valère.
Página 40 - Un autre devenu créancier à l'instant , Me reconnoît aussi pour en avoir autant. Certain gascon m'observe et me tient en brassière, Je le voyois tout prêt à me rompre en visière : « Venez dîner chez moi, mon cher, n'y manquez pas.
Página 24 - Que de ma fille enfin je puiffe difpofer , Et l'accorder en maître , ou bien la refufer. Confens qu'à mes fujets l'un & l'autre on nous rende ; Je pourrai dans mon camp recevoir ta demande j C'eft-là que je verrai fi de ta trahifon Je dois par ton himen prononcer le pardon.
Página 36 - La tête t'a tourné. . L'HÔTESSE. C'est le meilleur mari , docile et façonné Au manège qui rend nos maris adorables. VALÈRE. Rêves-tu? Quels discours? L'HÔTESSE. Discours très-raisonnables. Je vous explique ici très-sérieusement Ce que ce mari fait pour vous en ce moment. Sur ce mari pour vous tout mon espoir se fonde ; II revit, il revient exprès de l'autre monde, Pour ôter à sa femme un sot mari qu'elle a , Et pour vous la donner ensuite il remourra. N'est-il pas bien honnête. VALÈRE....
Página 24 - Je connois la grandeur du coup que je vous porte; Mais, enfin, puisqu'il faut sans feinte vous parler, Elle, avec son mari, nous allons la brûler. LICANDBE. Ah ! que m'apprenez-vous ? Elle étoit mariée ?.. . (A part.) Cruelle ! ma tendresse est-elle ainsi payée ?. . . Hélas! LE GOUVEEÏEUB. Mais, cependant, il faut vous dire tout.
Página 18 - Tu prends fort mal ton temps , maraud , pour plaisanter. FRONTIN. Je prends mon temps fort bien, et j'ose me vanter De savoir ménager les bons moments d'un maître.
Página 29 - Vous êtes tout esprit, quoique vous vous taisiez; Car votre air, vos façons, vos regards, tout s'explique: Tout en vous parle au cœur, mon cher chevalier Clique.
Página 24 - L'époux , du moins , le dit : même je le présume. Et, suivant du pays la louable coutume, Nous brûlons les époux sur des bûchers ardents.
Página 14 - Et qui plus loin encore étendant fon poifon , Du fein de la fagefTe arracha Salomon ! Ah ! mon cher Mifaël , contre de telles fiâmes Te défendras-tu mieux que de fi grandes âmes ! SCENE IV.