DE FRANÇOIS PREMIER, ROI DE FRANCE, DIT LE GRAND ROI ET LE PERE DES LETTRES. Par M. GAILLARD, de l'Académie des TOME PREMIER. A PARIS; M. DCC. LXVI. Avec Approbation & Privilege du Ro PRÉFACE. ON a reproché à quelques Écrivains modernes d'avoir mis à la tête de leurs Ouvrages une efpèce de Poëtique particuliére, dont le résultat étoit toujours qu'eux feuls avoient faili les vrais principes du dans lequel genre ils s'exerçoient on pourroit étendre beaucoup ce reproche. La plupart des Préfaces, Difcours préliminaires, &c, ne fignifie pas autre chofe; parmi les nombreux ridicules, dont les hommes fçavent fi bien flétrir les profeffions qu'ils exercent, & dont la Profeffion des Lettres a fçû peut-être encore moins fe garantir que les autres, parce qu'elle tient de plus près à l'or Tome 1. a |