Oeuvres de Monsieur de Fontenelle ...Rue S. Jacques, 1752 |
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... obligé aux grands Géométres , que quand ils defcendent à ces pratiques en fa faveur ; ils lui facrifient le plaifir & la gloire des hautes fpéculations . Pour finir la Carte générale , M. de la Hire alla à la Côte de Provence err 1682 ...
... obligé aux grands Géométres , que quand ils defcendent à ces pratiques en fa faveur ; ils lui facrifient le plaifir & la gloire des hautes fpéculations . Pour finir la Carte générale , M. de la Hire alla à la Côte de Provence err 1682 ...
Página 25
... obligé à l'employer , mais tacitement & prefque à la déro- bée ; & c'étoit alors une forte de triomphe pour les partifans zélés de ce Calcul . Il ne croyoit pas que dans les matieres de pure Phyfique le fecret de la Natu- re foit aifé à ...
... obligé à l'employer , mais tacitement & prefque à la déro- bée ; & c'étoit alors une forte de triomphe pour les partifans zélés de ce Calcul . Il ne croyoit pas que dans les matieres de pure Phyfique le fecret de la Natu- re foit aifé à ...
Página 82
... obligé que de fournir les raifonnemens . La conteftation éclata dans l'Académie , qui eut d'abord la fageffe d'écouter tout , & enfuite celle d'affoupir par son autorité une difpute qui n'en devoit pas être une , du moins de la maniere ...
... obligé que de fournir les raifonnemens . La conteftation éclata dans l'Académie , qui eut d'abord la fageffe d'écouter tout , & enfuite celle d'affoupir par son autorité une difpute qui n'en devoit pas être une , du moins de la maniere ...
Página 108
... elle avoit tout perdu par le pillage du Vaiffeau , M. Renau fe crut obligé de pourvoir à tous fes befoins , & même à ceux de fa condition , tant qu'elle fut prifonniere en France . Il en ufa de même à l'égard du Capitaine , & il 108 ELOGE.
... elle avoit tout perdu par le pillage du Vaiffeau , M. Renau fe crut obligé de pourvoir à tous fes befoins , & même à ceux de fa condition , tant qu'elle fut prifonniere en France . Il en ufa de même à l'égard du Capitaine , & il 108 ELOGE.
Página 145
... génie & fes tax lens étoient trop à l'étroit fur un fi per tit théatre . Ils Pexhorterent vivement à venir à Paris , & il y fut obligé par Tome ᏤᏞ N quelques démêlés qu'il eut avec fa Compagnie . La véritable DE M. D'ARGENSON . 145.
... génie & fes tax lens étoient trop à l'étroit fur un fi per tit théatre . Ils Pexhorterent vivement à venir à Paris , & il y fut obligé par Tome ᏤᏞ N quelques démêlés qu'il eut avec fa Compagnie . La véritable DE M. D'ARGENSON . 145.
Términos y frases comunes
abfolument affés Aftronomes aifé ainfi auffi auroit avoient avoit befoin Bianchini Bologne c'eft c'eſt Caffini caufe chés chofes choifi Confeil confidérable connoiffances curiofité Cycloïde Czar de-là deffein deftiné déja devoient devoit différens donnoit efpéce efprit ELOGE DE MONSIEUR enfuite eſt étoient étoit eût faifoit falloit fans favoir fe trouva fecond fecours fecret felon fent feroit fervir feulement fien fimple foin foit font fous fouvent fuccès fuiv fujet fur-tout fûrement fût Géométrie Gnomon goût grace Hartfoëker Hire homme infiniment Journal des Savans jufqu'à jufque-là l'Académie l'efprit l'Hiftoire Lagny laiffé Leyde Louvois Maiſon maniere Maréchal de Tallard Mathématiques matiere Médecin ment Miniftre Montmort n'avoit n'eft n'étoit néceffaires néceffité Neuton Obfervations paffer particuliere penfer perfonne Philofophe Phyfique plaifir plufieurs poffible pouvoit préfent prefque premiere Prince Profeffeur raifon refte Renau s'eft Saurin Savans Sciences ſes Syftême tion Vaiffeaux vouloit Voyés l'Hift
Pasajes populares
Página 672 - Secretaires, foi foit ajoutée comme à l'original. COMMANDONS au premier notre Huiffier ou Sergent fur ce requis , de faire pour l'exécution d'icelles , tous actes requis & néceflaires , fans demander autre permiffion , & nonobftant clameur de Haro, Charte Normande, & Lettres à ce contraires : CAR tel eft notre plaifir.
Página 672 - Imprimeurs , de vendre , débiter , faire afficher aucuns Livres , pour les vendre en leurs noms , foit qu'ils s'en difent les auteurs ou autrement, & à la charge de fournir à la fufdite Chambre neuf Exemplaires prefcrits par l'Art, 108.
Página 670 - LOuis par la grace de Dieu , Roi de France & de Navarre : A nos amés & féaux Confeillers les Gens tenans nos Cours de Parlement , Maîtres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel , grand Confeil , Prévôt de Paris , Baillifs , Sénéchaux , leurs Lieutenans Civils, & autres nos Jufticiers .qu'il appartiendra, SALUT.
Página 672 - MIROMENJX , le tout à peine de nullité des Préfentes : du contenu defquelles vous mandons & enjoignons de faire jouir ledit Expofant , & fes ayans caufes , pleinement & paifiblement , fans fouffrir qu'il leur foit fait aucun trouble ou empêchement.
Página 340 - Les deux grands hommes qui se trouvent dans une si grande opposition, ont eu de grands rapports. Tous deux ont été des génies du premier ordre, nés pour dominer sur les autres esprits, et pour fonder des empires. Tous deux géomètres excellents ont vu la nécessité de transporter la géométrie dans la physique.
Página 672 - Maupeou : le tout à peine de nullité des Préfentes. Du contenu defquelles vous mandons & enjoignons de faire jouir ledit Expofant & fes ayants-caufe , pleinement & paifiblement , fans fouffrir qu'il leur foit fait aucun trouble ou empêchement.
Página 671 - Libraires & autres, d'imprimer , faire imprimer , vendre , faire vendre , débiter ni contrefaire lefdits Livres ci-defîùs expafés en tout ni en partie , ni d'en faire aucuns extraits...
Página 671 - Ouvrage , fera remis dans le même état où l'Approbation y aura été donnée...
Página 187 - Nous nous rassemblions avec un extrême plaisir , jeunes, pleins de la première ardeur de savoir, fort unis , et ce que nous ne comptions peut-être pas alors pour un assez grand bien , peu connus. Nous parlions à nous quatre une bonne partie des différentes langues de l'empire des lettres, et tous les sujets de cette petite société se sont dispersés de là dans toutes les académies.
Página 387 - Paris lui redemander, pour ainfi dire, fes deux mains qu'un coup de. Canon lui avoit emportées, il ne lui reftoit que deux Moignons au-deflus du Coude. Il s'agiflbit de faire deux mains artificielles, qui n'auroient pour principe de leur mouvement que celui de ces Moignons, diftribué par des fils à des Doigts qui feraient flexibles.