la poffeffion de la qualité d'Ecuyer étoit une ufurpation de maniere que des Lettres de relief, même de dérogeance, ne fuffiroient pas pour la rétablir. Il faut des Letttes d'anobliffement. Comme ce font des Lettres de grace, & qui dépendent abfolument de la volonté du Roi on ne pourroit pas le flatter de les obtenir. FIN.. CHAP. I. De l'antiquité & de la Nobleffe du College Héraldique. 80 CHAP. II. Quelles étoient les fonctions des Hérauts. 82 CHAP. III. Duchef des Hérauts. 87 CHAP. IV. Dans quelle claffe de Gentilshommes doit être choisi le chef du College Héraldique. 94 CHAP. V. De la néceffité de rem N bourfer la finance de tous les offices d'armes. 96 CHAP. VI. De la nouvelle formation du College Héraldique. 98 CHAP. VII. De la néceffité de rétablir le College Héraldique dans fes fondions. 104 CHAP. VIII. Des fondions des Officiers d'Armes dans la difcuffion des affaires de Nobleffe, foit qu'il y ait un Tribunal particulier pour les juger, foit qu'il n'y en ait point. 108 CHAP. IX. De la néceffité d'une recherche générale, fondée fur celle de faire des Catalogues des Nobles, 112 CHAP. X. Du danger des recherches en général & furtout des recherches clandeftines, faites fans autorité. 214 CHAP. XI. De ce qui a donné lieu à des recherches extraordinaires, que l'on peut regarder comme illégales. 116 CHAP. XII, De quelques erreurs qui fe font gliffées dans le mémoire fur la forme des preuves néceffaires pour être reçu Sous-Lieutenant. pas été CHAP. XIII. De l'abus que l'on fait du mémoire dont il s'agit dans le Chapitre précédent : 1o. pour inquiéter les Gentilshommes qui ne l'ont par les Traitans; 2o. pour faire payer le droit de joyeux avénement aux def cendans des nouveaux nobles qui ont négligé de le payer; fous peine d'étre privés d'emplois militaires. 122 CHAP. XIV. Ordonner, dans ce moment, une recherche générale, dans la forme preferite par les Loix & l'équité, c'eft faire le bien de l'État & celui des particuliers: ce n'est que fubftituer une opération légale à une opération illégale. 232 CHAP. XV. Réponses aux objections de ceux qui pourroient prétendre, qu'il vaudroit mieux laiffer fubfifter le défordre que de recourir au remede violent d'une recherche générale. 137 CHAP. XVI. Réflexions fur la preuve centenaire à laquelle eft obligé celui qui doit juftifier fa prétendue CHAP. XVIII. De la maniere de faire la recherche propofee. 252 |