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XI. Un corps recevant fucceffivement plufieurs déterminations , demeure affecté feulement de la derniere.

148

XII. Un corps libre ne peut être déterminé à fe.mouvoir fur une ligne courbe, ni d'une viteffe inégale.

149

XIII. Tout corps qui fe meut autour d'un centre fait effort pour s'en éloigner

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XIV. Les aftres ne peuvent le mouvoir d'eux

mêmes.

La même.

152

XV. Comme quoi un corps peut être meu circulairement. XVI. Un corps fe mouvant contre un autre lui donne tout fon mouvement.

corps >

153

XVII. Dans la rencontre de deux corps il fe fait une percuffion qui eft mutuelle & également reçûë dans l'un & dans l'autre

corps.

154 XVIII. Un corps mobile rencontrant un autre corps en repos, lui donne tout fon mouvement, & demeure lui-même immobile.

XIX. Ce c'cft que

que

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viteffe abfolue & vî

156

XX. Les percuffions font comme les vîtesses

teffe refpective.

refpectives.

157

XXI. Deux corps l'autre rebrouffent en faifant un échange de

fe mouvant l'un vers

leur vîteffe.

158

XII. Deux corps fe mouvant vers les mêmes endroits continuent après leur rencontre en faisant échange de vîtesses.

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161

fur un autre corps inébranlable, se reflechit avec tout fon mouvement. XXIV. L'angle de reflexion eft égal à l'angle d'incidence.

163

XX V. On peut imaginer que le mouvement oblique eft compofé de deux mouvemens.

164

XXVI. Remarque fur l'argument du P.Riccioli.

166

XXVII. Remarque fur quelque citadelles.

167

168

XXVIII. Regle generale de toutes les percuffions. XXIX. Il y a toûjours égale quantité de mouvement refpectif. XXX. Le milieu des deux corps fe meut toûjours uniformément

La même.

170

en ligne droite.

171

X X X I. Toutes ces regles font veritables, foit que les corps foient égaux, foit qu'ils ne le foient pas. XXXII. Un corps fe meut dans le plein aufa librement que dans le vuide. 172 XXXIII. Les mouvemens diminuent peu à peu dans l'air.

174

XXXIV. Les percuffions des corps égaux se font dans le plein comme dans le vuide. 175

XXX V. Lorfque les corps font inégaux, les percuffions fe font dans le plein autrement que dans le vuide. XXXVI. Les percuffions des corps inégaux ne peuvent être reduites à une regle gene

rale.

XXXVII. De la refraction.

YXXVIII. Conclufion.

176

177

La même.

178

Remarques fur le Difcours du Mouvement.

185

Remarques fur une Lettre de Monfieur Descartes, touchant la Lumiere.

190

Fin de la Table du Mouv.Local.

A U

A VIS

LECTEUR.

'Auteur du Traité du Mouvement

Local ayant appris par un de ses

amis, que quelques perfonnes qui avoient lu les feuilles, comme on les tiroit de la preffe,publicient qu'il fuivoit entierement la doctrine de M.Descartes ; & que quoiqu'en quelques endroits il femblât le combatre fans le nommer, il établissfoit tous fes fentimens fur cette matiere: il a crû être obligé de détromper ceux qui les croiroient fur leur parole, par les remarques uivantes qu'il a voulu être ajoûtées à la în dudit Traité, avant qu'il parût en

blic.

REMARQUES

REMARQUES

SUR

LE DISCOURS

DU MOUVEMENT.

Uand l'Auteur de ce Difcours s'eft rrêté à prouver que le mouvement n'eft jamais détruit que par une détermination contraire,qui furvienne de nouveau;il s'eft füffisamment declaré fur le peu d'attache qu'il a à ce fentiment. Mais comme ceux qui ont traité de cette matiere en Italie,en Angleterre, en Hollande & en France,s'accordent prefque tous en cela on n'a pas crû fe devoir éloigner d'un fentiment fr commun. Galilée, Caffendi, Hobbes, Regius, Maignan, Digby, Kircher, Fabri & plufieurs autres, foûtiennent tous en quelque maniere cette perpetuité du mouvement; & ils ne different que fur la façon de la prouver. De toutes les preaves qu'on a aportées, la plus foible eft fans doute celle de M. Defcartes. Cet Auteur pretend que fi le mouvement ou le repos, qui ont une fois commencé, cef

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