Petite bibliothèque des théatres, contenant un recueil des meilleures pieces du théatre françois, tragique, comique, lyrique & bouffon, depuis Porigine des spectacles en France, jusqu'à nos jours, Volumen65Au Bureau de la Petite bibliotheque des théatres, 1789 |
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... appelant encore de sa chambre . Allons donc , eh ! PASQUIN , à haute voix . On y va ! ... Comme diable il crie : Ne diroit - on pas qu'il a bien des affaires ? Marton s'en va . ) B SCENE V I. MONCA DE , PAS QUIN , VIENDRAS- COMÉDIE .
... appelant encore de sa chambre . Allons donc , eh ! PASQUIN , à haute voix . On y va ! ... Comme diable il crie : Ne diroit - on pas qu'il a bien des affaires ? Marton s'en va . ) B SCENE V I. MONCA DE , PAS QUIN , VIENDRAS- COMÉDIE .
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... Diable et un Hermite vivent ensemble quelque tems , l'Hermite deviendra Diable , ou le Diable Hermite ; j'en suis absolument con- vaincu . Çà , voyons qui sera la malheureuse que vous allez mettre en réputation par quelque nouvelle ...
... Diable et un Hermite vivent ensemble quelque tems , l'Hermite deviendra Diable , ou le Diable Hermite ; j'en suis absolument con- vaincu . Çà , voyons qui sera la malheureuse que vous allez mettre en réputation par quelque nouvelle ...
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... triste , gai , mélancolique , con- » tent , taciturne , évaporé , chagrin , plaisant , sage , >> fou ? ... » Que diable sais - je ? et cent mille autres de semblable nature . MONCADE . Hé bien que réponds - tu pour lors COMÉDI E. 21.
... triste , gai , mélancolique , con- » tent , taciturne , évaporé , chagrin , plaisant , sage , >> fou ? ... » Que diable sais - je ? et cent mille autres de semblable nature . MONCADE . Hé bien que réponds - tu pour lors COMÉDI E. 21.
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... diable pour te le faire croire ? Hé ! Lucinde ? PASQUIN , MONCADE . Oh ! Lucinde , Lucinde ; elle n'en saura rien . PASQUIN . Tant mieux pour vous ! ... Mais , dites - moi , com- bien cela durera - t - il ? MONCA DE . Tu m'en demandes ...
... diable pour te le faire croire ? Hé ! Lucinde ? PASQUIN , MONCADE . Oh ! Lucinde , Lucinde ; elle n'en saura rien . PASQUIN . Tant mieux pour vous ! ... Mais , dites - moi , com- bien cela durera - t - il ? MONCA DE . Tu m'en demandes ...
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... diable , quand il faut porter réglément Brois billets tous les jours ! MONCADI . Tu n'auras pas grand peine à le faire ; tu les don- neras sans sortir . Hé ! comment ? PASQUIN . MONCADI , Elle loge ici . PASQUIN . C'est Léonor ? MONCADE ...
... diable , quand il faut porter réglément Brois billets tous les jours ! MONCADI . Tu n'auras pas grand peine à le faire ; tu les don- neras sans sortir . Hé ! comment ? PASQUIN . MONCADI , Elle loge ici . PASQUIN . C'est Léonor ? MONCADE ...
Términos y frases comunes
Adieu aime Allez amant amour Andrienne appercevant ARAMINTE assez avez avoit Babet Baron bon jour bonne fortune BYRRHIE CARIN Céphise chose Chrémès Chrysis CIDALIS CIDALISE cinq actes cœur Comédie connoissiez connoître CRITON crois d'Andros d'épouser Dames DAVE diable Dieux dire dis-je discours dites-vous donne Dromon Écoute enfin Éraste ERGASTE êtes étoit feinte femme fille fils freres Parfaict Glicérie grace Hélas Histoire du Théatre homme hymen j'ai j'en jamais juste-au-corps l'ai L'Andrienne l'interrompant LAQUAIS LÉONOR long-tems LUCINDE m'en Madame malheureux manieres maraud mariage MARTON Michel BARON MISIS MONCA MONCADE Monsieur montre n'ai n'étoit PAMPHILE parler PASQUIN peine pense pere PETIT CHEVALIER Philumene Piece plaisir prendre prose raison RASTE rien s'il vous plaît sais sauroit scélérat SCENE PREMIERE SCENE VIII sentimens serois seul SIMON sœur soin sort SOSIE t'en tems Térence Théatre François tout-à-l'heure trompe vais valet veut veux voilà vois voulez voulez-vous voyant paroître yeux
Pasajes populares
Página 23 - S'il n'est aucun secours, Ce jour fatal sera le dernier de mes jours!... De mon cœur embrasé le feu ne peut s'éteindre... Hélas! des malheureux je suis le plus à plaindre. Ne pourrai-je éviter, dans mon malheureux sort, Un hymen mille fois plus cruel que la mort? De combien de rebuts m'ont-ils rendu la proie? On me veut aujourd'hui, demain l'on me renvoie; On me rappelle encor. Que dois-je soupçonner? Il n'est que trop aisé de se l'imaginer : Il n'a pu de sa fille autrement se défaire, H...
Página 79 - Et, pour moi, je m'étonne, Vu le peu que je vaux, que mes foibles appas Aient pu le retenir si long-temps dans mes bras. Son amour fut l'effet d'un aveugle caprice; A mon peu de mérite il a rendu justice. Sans parents, sans amis, sans naissance, san« bien, Je n'ai pas dû prétendre un cœur comme le sien.
Página 134 - Quelques soins qu'on ait bien voulu se donner pour me persuader que j'étais belle , que j'avais de l'esprit , je me suis toujours rendu justice, et je n'ai jamais trouvé en moi tout ce qu'il faut pour faire un infidèle. Quand ma vanité même m'aurait flattée au point de me le faire croire , la bonté de mon cœur m'eût détournée de l'entreprendre.
Página 67 - Ah , madame ! souffrez , je vous prie , que je me jette à vos genoux, et que je vous conjure au nom de la tendresse la plus vive , d'une passion qui ne finira jamais ,' de me mettre à l'épreuve la plus forte que vous puissiez imaginer. Voulez-vous les lettres de Lucinde? je vous les ahandonne.
Página 56 - J'y consens; à l'instant marions-les tous deux. Mais quoi ! si cet hymen , que votre cœur souhaite, Dans des gouffres de maux l'un et l'antre les jette , Nous devons regarder la chose de plus près, Et prendre de tous deux les communs intérêts. Pensons donc , pour le bien et de l'un et de l'autre, Que Pamphile est mon fils, que ma fille est la vôtre.
Página 27 - Soulageoit tous les maux dont mon ame est atteinte; Mais enfin interdit, languissant, abattu, Je sens que je n'ai plus ni force ni vertu. C'en est fait , je succombe à ma douleur mortelle : Eh! puis-je vivre après cette affreuse nouvelle?
Página 58 - ALLEZ , allez , nous sommes d'ordre ; et , à force d'ordre , à la fin , tout n'ira rien qui vaille ... Que maudit soit la première guenon qui le mit en réputation! car, enfin, qu'at-il donc de si merveilleux? N'ai-je pas un nez, des yeux, un corps, à peu près, comme lui.
Página 96 - C'est lui assurément. Adieu. F ASQUIN, Adieu , ma princesse. SCÈNE VI. PASQUIN, seul. LE joli terme! Voilà ce que c'est que de servir desmaîtres spirituels, on apprend toujours quelque chose. Ma princesse, ma belle dame, mon petit ange, ma reine, ma petite!... Ces mots assaisonnés de quelques soupirs, il n'en faut guères davantage pour tourner la cervelle à plusieurs dames de ma connoissance. SCÈNE VII. MONCADE, PASQU1N. MONCADE, riant
Página 94 - ON amitié , Simon , et solide et sincère , En a fait beaucoup plus qu'il n'étoit nécessaire. Pour le bien de ma fille , enfin , grâces aux dieux , Le hasard assez tôt m'a iàit ouvrir les yeux.
Página 99 - C'est pour la quereller, sans doute, qu'il y va? DAVE, à Simon. Vous ne savez pas tout : et je vais vous apprendre Une chose qui doit, sans doute, vous surprendre. Il arrive...