Les saisons: poëme1769 - 292 páginas |
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Términos y frases comunes
Abenakis affez agréable aime ainfi amour arts auffi avoient avoit beauté befoin Benin bonheur c'eft C'eſt campagne ceffe Cérès champêtre champs chants charmes choix d'un peuple ciel cœur conferver confoler connoître côteaux Damel Damon defirs déja Dieu donner doux efclaves efprit Ellaroé eſt étoient étoit fage fans fans art fein fenfations fenfible fens fentiment fervir fes yeux feul filence fituation fleurs fociété foible foins foit foleil fombre font fous fouvent fpectacle fuccede fuis gaieté goût graces hameaux heureux hommes infpire j'ai j'avois j'étois jardin jeune joie jour l'ame l'amour l'efprit l'homme laiffer larmes loix lorfque lumiere maifon Matomba mœurs moiffons n'eft nature negres oifeaux paffer paffion penfer pere peuples Philips philofophie plaifir plaifirs plufieurs Polémon préfent preffé Printems puiffance puiffant raffemblés refpect refte richeffes ſes Shel-Adar ſon Sylvandre tems tendre trifte ufage vafte vallons verdure vieillard vifage vois volupté Wilmouth zéphyr Ziméo
Pasajes populares
Página 47 - Des nuages monter dans les airs embrasés ; On les voit s'épaissir, s'élever et s'étendre. D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre : Les flots en ont frémi, l'air en est ébranlé, Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure Dont le son lent et sourd attriste la nature.
Página 256 - ... la corruption de la cour, il ne faut pas qu'un jeune prince la respire : prends mon fils, et [va l'instruire avec le tien] dans la retraite, au sein de l'innocence et de la vertu.
Página 72 - J'avance, l'oiseau part, le plomb, que l'œil conduit, Le frappe dans les airs au moment qu'il s'enfuit; II tourne, en expirant, sur ses ailes tremblantes, Et le chaume est jonché de ses plumes sanglantes.
Página 48 - Mais des traits enflammés ont sillonné la nue, Et la foudre, en grondant, roule dans l'étendue : Elle redouble, vole, éclate dans les airs ; Leur nuit est plus profonde ; et de vastes éclairs En font sortir sans cesse un jour pâle et livide. Du couchant ténébreux s'élance un vent rapide, Qui tourne sur la plaine, et, rasant les sillons, Enlève un sable noir qu'il roule en tourbillons.
Página 73 - Sa route sur le sable est à peine tracée: II devance en courant la vue et la pensée; L'œil le suit et le cherche aux lieux qu'il a quittés. Ses cruels ennemis, par le cor excités, S'élèvent sur ses pas au sommet des montagnes, Ou fondent à grands cris sur les vastes campagnes.
Página 48 - Font entrer à grands flots les peuples égarés. Grand Dieu ! vois à tes pieds leur foule consternée Te demander le prix des travaux de l'année. Hélas ! d'un ciel en feu les globules glacés...
Página 149 - ... et acharnés à les poursuivre ; ils furent traités avec une barbarie dont il ya peu d'exemples, même dans ces contrées. Un jeune officier anglais, pressé par deux sauvages qui l'abordaient la hache levée, n'espérait plus se dérober à la mort. Il songeait seulement à vendre chèrement sa vie. Dans le même temps un vieux sauvage armé d'un arc s'approche de lui, et se dispose à le percer d'une flèche ; mais après l'avoir ajusté, tout d'un coup il abaisse son arc et court se jeter...
Página 214 - Et plaît toujours en fe montrant ; On vous voit ce qu'on voudroit être, Décent & jamais concerté, Votre enjouement plaît fans médire ; En partageant votre gaieté, On peut croire qu'on vous l'infpire. Vous voyez, fans chagrin jaloux, La beauté la plus réguliere > Vous aimez S .... la V.
Página 73 - De l'oiseau de la nuit imitant les accens , Des habitans des bois j'entends la troupe ailée S'avancer, voltiger autour de ma feuillée : J'écoute , en palpitant , leur vol précipité ; D'un transport vif et doux mon cœur est agité , Quand je les vois tomber sur ces verges perfides , Qu'infecta de ses sucs l'arbrisseau des druides. O doux emploi des jours ! agréables momens !... Mais l'automne offre encor d'autres amusemens , Où le courage et l'art mènent à la victoire.
Página 85 - Et les êtres qu'il aime arrachés à son être. 11 voit autour de lui tout périr, tout changer; A la race nouvelle il se trouve étranger, Et lorsqu'à ses regards la lumière est ravie, II n'a plus en mourant à perdre que la vie.