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windifch: ancienne ville du pays

des Séquanois; note remarquable fur cette cité; fon Evêché transféré à Conftance, h. 161. wifigoths: ce peuple faifoit partie de la nation gothique, i. 14.

Witteric, Roi d'Espagne; il accorde fa fille à Thierri II; à quelle condition, h. 250. Ligue de ce Prince pour venger l'affront fait à fa fille, h. 252.

wulfe, Patrice de Bourgogne; fa mort, &c. h. 248-312.

Y.

YENNE : note remarquable fur ce lieu, h. 97. Į

Fin de la Table des Matieres.

417

ADDITIONS ET CORRECTIONS.

INTRODU

NTRODUCTION, page 35, ligne 5, au lieu de lui avoit-elle donné, lifex, lui avoit-il donné.

HISTOIRE, page 10, ligne 16, le premier confeil de Sardique, life, le premier concile de Sardique.

Page 19, note (16), au lieu de c'est aujourd'hui un Prieuré de l'Ordre de Sainte Geneviève, depuis 1656, Lifez, les premiers Moines qui habiterent le Monaftere de St. Symphorien, fuivoient la régle de St. Antoine & de St. Bafile. Au milieu du dixiéme fiécle, cette Maison étoit poffédée par des Chanoines qui furent obligés de la céder aux Moines de Fleury, qui vinrent y mettre la réforme les Chanoines appellerent au Pape Grégoire VII. de cette ufurpation, & furent maintenus dans leur poffeffion. En 1656, CLAUDE DE LA MAGDELEINE DE RAGNY, tuteur & frere de FRANÇOIS, Prieur Commendataire, y fit établir les Chanoines réguliers de la réforme de SAINTE GENEVIEVE.

:

Page 37, à la fim de la note (25) après ces mots, étoient Lyon & Vienne, ajoutez : à la porte de Vienne qui est du côté de Lyon, il y a une tour, nommée LA TOUR DE PILATE, parce que Pilate, (fi l'on en croit la tradition du peuple), y a fini fes jours. Cela n'eft pas certain. Il eft vrai qu'Adon, Archevêque de Vienne, dit, dans fa chronique, que Pilate fut relégué dans cette ville, & qu'il y finit fes jours, s'étant ôté à lui-même la vie par défefpoir. On fouhaiteroit avoir fur ce fait un garant plus ancien qu'un Auteur du neuviéme fiécle.

Page 71, à la fin de la note (43), ajoutez l'observation fuivante.

En fouillant, il y a quelques années, dans les terres pour en tirer du fable, au pied de la montagne qui eft au nord du grand chemin entre VELARS & PLOMBIERE, à l'extrêmité des deux finages, on découvrit des tombeaux conftruits en forme de four, c'est-à-dire élevés en maçonnerie des deux côtés, & couverts par des pierres fort

larges, appellées vulgairement laves. On y trouva des offemens & des fquelettes humains, dont quelques-uns s'étoient même confervés prefqu'entiers.

L'enthoufiafme & l'amour du merveilleux, qui exagerent toujours le vrai, pourroient peut-être faire croire que ce font autant de monumens de la fameuse défaite des Bourguignons à la bataille de Fleurey, fous Gondebaud. Pour prévenir une erreur auffi groffiere, on croit devoir obferver que, s'il n'eft pas poffible d'indiquer, pour le moment, la veritabie origine de ces tombeaux, on peut au moins tenir pour certain, qu'elle n'eft pas auffi reculée qu'on pourroit fe le perfuader. Outre qu'il eft conftant que la maçonnerie, qui en foutient la partie fupérieure, eft moderne; une foule de réflexions qui se préfentent naturellement, en examinant fans préventions ce qui en reste encore aujourd'hui, atteftent que ce ne font point les fepultures des guerriers qui périrent en 500, à la fameufe journée de Fleurey-fur-Ouche. Mais ne voulant point donner à cette fimple note l'air de differtation, on fe contentera d'ajouter qu'une pièce de monnoie, frappée fous le regne d'Henri III, qui a été trouvée dans un de ces tombeaux, prouve évidemment que leur existence n'eft pas antérieure à l'année 1575, & qu'on peut la rapporter, foit au temps des guerres de religion, foit à celui où la pefte défola la Bourgogne notamment la ville de DIJON & fes environs. Il paroît même qu'on doit s'en tenir aux conjectures que fourniffent les ravages de la pefte, puifqu'une fondation ** de l'an 1472, qui eft parmi les titres de la cure de PLOMBIERE, apprend qu'il y avoit anciennement une maladrerie, peu éloignée du lieu où font ces tombeaux.

Page 94, ligne 13, au lieu de Bourgoind; lifez, Bourgouin.

* Elle est entre les mains du Sr. Dalphin, Huiffier à la Chambre du Domaine.

** Cette fondation fut faite par Pierrette, femme de Claude Rouffelet.

Page 95, note (64), cette ville que la bourgeoife traverfe, lifez, cette ville que la Bourgeoife traverse.

Page 104, ligne 3, au lieu de cette alliance n'empêche pas cependant pas les Rois d'Orléans, lifez, cette alliance n'empêche pas cependant les Rois d'Orléans.

Page 113, fous la colonne des Princes contemporains, au lieu de Theudis. 534. lifex, Theudis. 548.

Page 132, note (9), au lieu de cette Abbaye eft à une journée de Genève dans le Diocéfe de Lyon; lifez, cette Abbaye, qui eft à une journée de Genève, étoit autrefois dans le Diocèfe de Lyon.

Page 155, entre RUSTICUS ELPIDIUS, & SAINT EPTADE, ajoutez :

JEAN, connu fous ce feul nom, étoit de Lyon, & fut fameux par fon érudition: il fuccéda à Eufebe dans l'emploi de Profeffeur d'éloquence. Sidonius Apollinaris le compare à Démofthene & à Cicéron.

Cet éloge nous fait regretter fes ouvrages qui ont été perdus.

Page 156, ligne 12, par Clovis en 497, lifez, par Clovis, le 29 Décembre de l'an 496.

Page 182, ligne 16, éteint depuis fa réunion à l'Empire françois, lifez, éteint, en quelque forte, depuis la réunion à l'Empire françois.

Page 197, au bas de la colonne des Princes contemporains, ajoutez: Angleterre. Heptarchie.

Page 222, ligne 5, eft attaché à un poteau & lapidé, Lifex, eft fur le champ attaché à un poteau & lapidé.

Page 256, ligne 18, en prenant plufieurs maîtreffes, lifez, en affociant à leur lit plufieurs maîtreffes..

Page 267, ligne 8, au lieu de Herpin, life, Herpon. Page 276, ligne 10, au lieu de l'Abbé de St. Germain des Prés, lifez, l'Abbaye de St. Germain des Prés. Page 279, ligne 5, perfonne en état de conserver, lifez, perfonne qui fut en état de conferver.

Page 281, ligne 13, lorfqu'il en fut retiré, lifez, lorfqu'il fut choifi.

Page 287, note (10), il fut rétabli dans le dixième siècle, lifez, il fut rétabli au commencement du neuviéme fiécle.

Sidonii;

opera.

Pernetti, Lyonnois dig. de mém. t. 1.

Page 301, ligne, les Bailliages de Beaume, lifez les
Bailliages de Baume.

Page 313, ligne 16, au lieu d'UNCILENUS, lifez, UN-

CELENUS.

Page 319, ligne 23, le Duc Erpon, lifez, le Duc Herpon.
RECUEIL DE PIÉCES, page 353, ligne au lieu de
fuppofe la domination établie, lifez, fuppofe fa domination
établie.

,

Page 367, après ces mots c'est la premiere Ordon-
nance des Princes françois, qui condamne à mort les ho-
micides volontaires; ajoutez, elle abrogea l'ufage de payer
l'amende portée par la loi falique, & que l'expérience
prouvoit être infuffifante pour réprimer les emportemens
d'une nation guerriere, délicate à l'excès fur le point
d'honneur. D'ailleurs, celui qui n'étoit pas en état de
payer l'amende, trouvoit dans la loi même une ressource
qui lui affuroit une forte d'impunité. Il en étoit quitte pour
renoncer à fes biens, en fe foumettant à cette cérémonie
bizarre il aflembloit fa famille, ramaffoit de la terre des
quatre coins de fa maison, & la jettoit, de la main gauche
& pardeffus les épaules, fur fon plus proche parent. En-
fuite, étant en chemife, pieds nuds, & tenant un bâton
à la main, il alloit fauter la haie. Le parent, fur qui la
terre avoit été jettée, fe trouvoit chargé de payer l'amende
en question, à moins qu'il ne fit à fon tour la même
cérémonie cette coutume s'appelloit CHRENECHRUDA,
CHRENECRUDA ou CHRENECRUTA; l'on peut voir dans
le Gloffaire de Ducange, tome 2, page 588, l'explication
de ce mot barbare.

:

TABLE DES MATIERES, page 374, ligne premiere, au
lieu d'Aridus, lifez, Aridius.

Page 400, ligne premiere, au lieu de Lycerius, lifez,
Licerius.

NOTA: au lieu d'Avanches, lifez par-tout où ce mot
fe trouve, Avenche: cette maniere de l'écrire, eft plus con-
forme au latin, (Aventicum).

Fin du Tome I.

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