 | Eugène Gandar - 1854 - 260 páginas
...Traîne, pour nous nourrir, le joug dessus la corne,.. Puis, quand il est au soir du labeur deslié, II met près de son joug le travail oublié, Et dort...l'aurore Le réveille au matin pour travailler encore. Mais nous, pauvres chétifs, soit de jour, soit de nuit, Tousjours quelque tristesse espineuse nous... | |
 | Eugène Gandar - 1854 - 238 páginas
...Trainn, pour nous nourrir, le joug dessus la corne... Puis, quand il est au soir du labeur deslié. Il met près de son joug le travail oublié, Et dort...l'aurore Le réveille au matin pour travailler encore. Mais nous, pauvres chétifs, soit de jour, soit de nuit, Tousjours quelque tristesse espineuse nous... | |
 | Villemain (M., Abel-François) - 1859 - 654 páginas
...vers du poflc. orgueilleux trébuché de si Itanl : Quand le bœuf est, au soir, du labeur deslié, II met près de son joug le travail oublié, Et dort...l'aurore Le réveille, au matin, pour travailler encore ; Mais nous, pauvres cliétifs, soit de jour, soit de nuit, Tousjours quelque tristesse épineuse nous... | |
 | Abel François Villemain - 1859 - 640 páginas
...poète orgucilleux trebuché de si lmul : Quand le bœuf est, au soir, du labeur deslié, II met prés de son joug le travail oublié, Et dort sans aucun...l'aurore Le réveille, au matin, pour travailler encore ; Mais nous, pauvres cbétifs, soit de jour, soit de nuit, Tousjours quelque tristesse épineuse nous... | |
 | Henri Adolphe Labourasse - 1887 - 582 páginas
...» (Ogier le Danois.) C'est-à-diro : il brise la lance jusqu'au poing du guerrier. « II (le bœuf) met près de son joug le travail oublié, Et dort...l'aurore Le réveille au matin pour travailler encore. » (RONSABO). « De tout serai-je tout inquiet Jusqu'à tant que je vous sache sur pied avec votre... | |
 | Paul Martellière - 1893 - 400 páginas
...mieux certes écrire jusqu'à temps que, mais nous conservons l'orthographe de Ronsard. Il (le bœuf) met près de son joug le travail oublié Et dort sans...l'aurore Le réveille au matin pour travailler encore. (RONSARD.) Baise-moi mignonnement, Serrément, Jusqu'à tant que je die : Las ! je n'en puis plus,... | |
 | Pierre de Ronsard - 1938 - 1174 páginas
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Il met près de son joug le travail oublié, Et dort sans aucun soin jusqu'à tant que l'Aurore Le réveille au matin pour travailler encore. Mais nous, pauvres chétif s, soit de jour, soit de nuit. 
