Le diable boiteux: II., Volumen1Ernest Bourdin et Cie, 1842 - 220 páginas |
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... j'avais en elle me rassura . Il me parut qu'il n'était pas possible qu'une personne que j'avais épousée sans dot , et tirée d'un état obscur , fût assez ingrate pour oublier mes bontés . Hélas ! que je la connaissais mal ! l'ambition et ...
... j'avais en elle me rassura . Il me parut qu'il n'était pas possible qu'une personne que j'avais épousée sans dot , et tirée d'un état obscur , fût assez ingrate pour oublier mes bontés . Hélas ! que je la connaissais mal ! l'ambition et ...
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... j'avais fait pour elle , au lieu d'exciter sa reconnaissance , ne fit plus que m'attirer ses mépris elle me regarda comme un mari indigne de sa beauté , et il lui sembla que si ce grand seigneur , qui était épris de ses charmes , l'eût ...
... j'avais fait pour elle , au lieu d'exciter sa reconnaissance , ne fit plus que m'attirer ses mépris elle me regarda comme un mari indigne de sa beauté , et il lui sembla que si ce grand seigneur , qui était épris de ses charmes , l'eût ...
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... j'avais besoin moi - même pour calmer la colère qui m'enflam- mait . Si je ne pus reprendre ma tranquillité , j'affectai du moins un air tranquille pendant deux jours ; et le troisième , feignant d'avoir à Tolède une affaire de la ...
... j'avais besoin moi - même pour calmer la colère qui m'enflam- mait . Si je ne pus reprendre ma tranquillité , j'affectai du moins un air tranquille pendant deux jours ; et le troisième , feignant d'avoir à Tolède une affaire de la ...
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... j'avais eus auparavant , et je recommençai à goûter des plaisirs qui avaient été si cruellements troublés : ils devinrent même plus piquants ; car ma femme , comme si elle eût voulu effacer de mon esprit toutes les trace de l'offense qu ...
... j'avais eus auparavant , et je recommençai à goûter des plaisirs qui avaient été si cruellements troublés : ils devinrent même plus piquants ; car ma femme , comme si elle eût voulu effacer de mon esprit toutes les trace de l'offense qu ...
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... j'avais de peine à le croire véritable . Non , Fabio , m'écriai - je , il n'est pas possible que ma femme soit capable d'une si grande per- fidie ! tu n'es point assuré de ce que tu dis . Sei- gneur , reprit Fabio , plût au ciel que j ...
... j'avais de peine à le croire véritable . Non , Fabio , m'écriai - je , il n'est pas possible que ma femme soit capable d'une si grande per- fidie ! tu n'es point assuré de ce que tu dis . Sei- gneur , reprit Fabio , plût au ciel que j ...
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Términos y frases comunes
aime Alger Alvaro Ponce amant Ambrosio amitié amour assez avez Bahabon belle esclave bientôt captif cause cavalier charmes cher ciel cœur comique conseil des Indes consoler corsaire d'Alger d'avoir dame dessein Diable boiteux discours dit-il don Alvaro don Cleophas don Fadrique don Juan don Pablos don Pedre don Thomas dona Theodora douleur doute Escolano espagnol esprit êtes Fabricio faisait femme Francisque fureur homme interrompit j'ai j'avais j'en jeune joie jours l'autre l'écolier laisser larmes Leandro Perez m'en madame Madrid maison malheur Mendoce ment Mézomorto mort mortel Naxera nuit ognons passer pensée personnes Piquillo pistoles plaisir pleurs prit regards rendre renégat repartit répliqua répondit Asmodée répondit le boiteux répondit le démon répondit le Diable reprit rêve rien s'écria Salamanque seigneur don sentiment serait Séraphine songe sorte temps-là Tolédan Tolède triste trouver vais vaisseau Valence veuve de Cifuentes veux vois Xaral yeux Zambullo Zarate