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tirés de Gregoire de Tours, mal appliqués 253. X. Autres miracles mal appliqués, & oppofés à l'épreuve, 256. XI. L'épreuve vient d'une invention arbitraire & supersti ieuse, 257. XII. Hincmar écrit.de nouveau pour foutenir l'épreuve. Il raifonne mal, mais avec humilité, 258. XIII. Hincmar eft caufe que cette fuperstition continue, 260. XIV. Hérétiques confondus par le jugeaient de l'eau froide, felon S. Bernard, 261. XV. Condamnation & cellation de l'épreuve, 26. CHAP. II. Renouvellement de l'épreuve de l'eau froide, pour connoître les forciers. Pratique d'Allemagne & difputes des Savans fur ce point. L'ufage paffe en France. I. L'épreuve de l'eau froide appliquée à découvrir les Sorciers au feizieme fiecle, 267. II. Wier en parle le premier, & la condamne, 269. III. Plufieurs Juges l'admettent, & condamnent au feu, 269. IV. Difputes publiques. Syftême de Scribonius, pour autorifer l'épreuve. 270. V. Réfutation du fyftême, 271. VI. Autre réfutation par Nevvalds, 272. VII. Réfutation par Godelman & autres, 273. VII. On n'en revient pas. Traité d'un Juge en faveur de l'épreuve, 274. VII. Faits étonnans des perfonnes jettées dans l'eau, 275. VIII. Ces faits font croire l'épreuve légitime, 279. IX. Juges inexcufables.Les épreuves continuent en Weftphalie, 280. X. L'ufage paffe en France, 280. XI. Cage de fer pour plonger les

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femmes

femmes, 281. XII. Les forciers autrefois noyés, 281. XIII. Variations de l'épreuve de l'eau froide fur diverfes idées, 282.

CHAP. III. Comment l'épreuve de l'eau froide fe répandit en France. Des Juges l'approuvent. Le Par lement de Paris la condamne. I. Occafion de l'épreuve en France. Le Parlement de Paris s'y oppofe, 285. II. Arrêt du Parlement, & Plaidoyer de M. Servin, 285. III. Sentence des Juges de Champagne, caufe de l'Arrét, 286. IV. L'épreuve devenue fort commune, 287. V. M. Servin montre qu'elle eft condamnable, 288. VI. Arrêt registré dans tous les Greffes, 289. CHAP. IV. Continuation de l'épreuve de l'eau froide en quelques endroits de France, principalement en Bourgogne. Procès verbal fait à Montigny-le-Roi, où l'on a jetté dans l'eau beaucoup de perfonnes foupçonnées de fortilege.

1. Extrait d'un livre contre cet ufage, 290. II. Hommes & femmes qui ne peuvent enfoncer dans l'eau, 300. III. Epreuves du feu encore en ufage, 302. IV.Extrait d'un ancien Traité contre l'épreuve de l'eau froide, 304.

CHAP. V. Eclairciffement des difficultés propofées par l'Auteur de la République des Lettres fur l'épreuve de l'eau froide.

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I. L'extrait de Rickius donne lieu aux difficultés, 308.II. Que fi les forciers demeurent fur l'eau. Dieu produit cet effet, 309. III. Réponse qu'il faut des preuves certaines, pour favoir fi les effets extraordinaires font produits par un bon ou mauvais Ange, 310. IV. Quand Dieu auroit fouvent produit un même effet, c'est témérité de le demander fans ordre, 312. V. Preuves que les fignes n'ont été demandés que par des perfonnes infpirées 314. VI. Objection: qu'il eft contre le bon fens que le Démon trahiffe les forciers, 315. VII. Réponfe: que le Démon n'a ni bonne foi, ni droiture, 316. LIVRE SEPTIEM E.

Hiftoire critique de l'origine & du pro grès de l'ufage de la Baguette parmi toutes les Nations.

CHAP. I.

C

E

que c'est que la Ba guerre? De quelle matiere elle est? Quelle en est la figure? Comment on la tient? Et quel eft fon mouvement?

I. La Baguette peut être de toute espece de bois, 318. II. D'où vient qu'on prend une Baguette fourchue ? 320. III. Trois manieres de la tenir, 320. IV. Maniere finguliere du fieur le Royer, 322. V. Pratique du Dauphiné, 324. VI.Baguette droite qui fe meut vers les métaux, 325. VII. Quelques-uns fe fervent de quatro

Baguettes, 326. VIII. Anciennes céré monies pour découvrir les tréfors, 327. CHAP. II. De l'examen du fait s'il eft bien certain que la Baguette tourne fans art & fans fraude fur plufieurs chofes cachées. Précautions à prendre contre l'obftination & la trop grande crédulité.

I. Divers fujets de craindre la fourberie, 328. II. Plufieurs moyens de s'affurer du fait, 330. III. D'où vient qu'on nie les faits furprenans. Inconvéniens de la crédulité, & de l'opiniâtreté à ne rien croire, 334. IV. Prévention de l'Auteur de la fauffeté des Oracles, 336. V. Trois chofes certaines dans l'ufage de la Baguette, 338. VI. Le fecret réuffit quelquefois, & manque fouvent, 338. VII. Illufion de la Baguette à Boufflers, 340. VIII. Expérience de la Baguette à l'Obfervatoire. 341.

CHAP. III. Quelles font les chofes

que la Baguette indique en France. 1. Découverte des eaux, & de la profondeur des fources, 344. II. Découverte des métaux & des minéraux, 345. III. Expériences fur les bornes des champs, 345. IV. Mandement de M. le Cardinal le Camus, 348. V. Expériences pour découvrir les chemins perdus, & mefarer les diftances des lieux, 348. VI. Epreuve de la Baguette pour découvrir les voleurs, renouvellée par Aymar, 350. VII. Découverte des maléfices. Hiftoire fur

prenante, 353. VIII. Expérience pour découvrir les chofes les plus cachées de près & de loin, 355.

CHAP. IV Comment on diftingue les différentes chofes fur lefque les la Baguette tourne; & ce que l'on fait pour la déterminer à tourner pour une chofe, plutôt que pour une

autre.

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1. Trois manieres de connoître fur quoi la Baguette tourne, 357. II. La pratique la plus commune 359. III. Ufage fingulier du Dauphiné, 360. IV. Comment on connoît la profondeur des fources & des mines, 365.

CHAP. V. De l'ufage de la Baguette en Allemagne & en Flandre. I. Baguertes qui guériffent les plaies,& remettent les os difloqués, ou rompus, 366. II. Ce que les Allemans font pour découvrir les tréfors, 369. III. Superftitions évidentes, 370. IV. Expériences d'un favant Allemand, qui banniffoit toutes fuperftitions apparentes, 372.

CHAP. VI. Des autres Pays où l'on fe fert de la Baguette, en Bohême, en Suede, en Hongrie, en Angleterre, en Italie, en Espagne. Ufage fort fingulier d'une Baguette de Coudrier en Egypte.

1. Expériences rapportées par M. Hirnhaïm, 378. II. Expériences des Suédois, 378. III.Les Allemans apprennent le fecret aux Anglois, 379. IV. Mines découvertes

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