en Angleterre 380. V. Délibération de l'Aradémie d'Angleterre, pour examiner l'ufage de la Baguette, 381. VI. Sentiment de M. Boyle, 381. VII. Ufage de la Baguette en Italie, 383. VIII. Hiftoire d'un Hermite qui cherchoit des métaux, 383. IX. Usage d'un bâton de coudre au Mont Sinaï. 385. CHAP. VII. Si les les Baguettes ont été de quelque ufage dans les anciennes fuperftitions. Effets prodigieux produits avec des Baguettes, Ufage des Scythes, des Perfes, des Medes, des Alains, des Illyriens, des Efclavons, des anciens Allemans, & de plufieurs autres peuples qui devinoient avec des Baguettes. 1. Baguette figne de la puiffance donnée aux hommes, 386. II. Effets de la Baguette de Pallas, de Mercure & de Circé, 387. III. B guette des Egyptiens, & des Brachmanes, 388. IV. Diverfes efpeces de bois employées pour deviner, 388. V. Les divinations des Scythes fe répandent dans la Germanie, 389. VI. Pratiques des Frifons pour découvrir les meurtriers, 390. VII. Le jugement de la croix fuccede à l'épreuve des Baguettes; divers Conciles le condamnent, 391. CHAP. VIII. De la Baguette recourbée, dont les anciens Romains le font fervis pour deviner. I. Le fecret de la Baguette paffe en prover- be, 393. II. Baguette des Augures dé- 393. III. Ufage du Lituus pour favoir la volonté des Dieux, 394. IV. Origine du Lituus, 396. V. Honneurs rendus au bâ- ton avec lequel Romulus devinoit, 397. CHAP. IX. Divination par une Ba- I. Chaldéens expérimentés dans l'ufage de la Baguette, 399. II. Ils enfeignent le fecret aux Juifs, 400. III. Le Prophete Ofée condamne cet ufage. Explication de fes paroles, 401. IV. Ezechiel parle des flêches au lieu de la Baguette. L'ufa- ge fe répand dans tout l'Orient, 403. V. Divination des Turcs. Ce que c'eft que faire le livre, 405. VI. Variations par- mi les peuples qui ont prétendu deviner CHAP. X. De l'origine de divers ufa- ges que l'on fait à préfent de la Baguette. Qui eft-ce qui a pû faire naître la pensée de s'en fervir pour chercher les fources, les métaux, les bornes des champs, les che- I. L'origine de la plupart des fuperftitions paroît bonne, 411. II. Ce que l'Ecriture dit de la Baguette de Moïfe a donné lieu à ce qu'on fait aujourd'hui, 413. III. Les Allemans ont cherché l'or par un rapport à la Baguette de Mercure, 415. IV. Comment ils ont crû pouvoir trouver les autres métaux, 416. V. Mercure fait trouver les chemins, les voleurs, &c. 417. VI. Raisons des difpofitions de ceux qui our le don de la Baguette, 419. VII. Diverfes vûes ont fait étendre & varier l'ufage, 420. CHAP. XI. Suite de l'origine de l'ufage de la Baguerre. S'il y a longtemps que l'on s'en fert pour trouver de l'eau & des métaux? 1. Méprise de ceux qui ont crû l'ufage de tour temps, 424. II. Ce que les Natutaliftes rapportent de femblable, 426. III. L'ufage de la Baguette a commencé par la découverte des chofes morales. Tradition & variété de l'ufage jufqu'à préfent, 427. CHAP. XII. Sentimens de ceux qui ont approuvé cet ufage, ou qui n'ont pas ofé décider. Majolus, Peucer; Fludd, Libavius, Willenius, Frommann, le Pere Dechâles, M. Hirnhaïm, M. de SaintRomain, &c. CHAP. XIII. L'ufage de la Baguette enfeigné & défendu par M. le Royer. Expériences faites devant les PP. Jéfuites, par lefquelles il prétend les avoir fait entrer dans fon fentiment, 442. CHAP. XIV. Sentiment de ceux qui ont condamné cet ufage. Agricola, Paracelfe, Roberti, Stengellius, Cofius, Forerus, Fabri, Kirker, Aldrovandus, Schott, Conrad, Sperling, le Pere Meneftrier, le Pere Alexandre, & le Commenrateur des Lettres de M. Tollius. I. Sentiment d'Agricola, 454. II. Sentiment de Paracelfe, 455. III. Sentiment de Roberti, 457. IV. Sentiment du Pere Cœfius , 458. V. Sentiment de Forerus, 459. VI. Sentiment du Pere Kirker, 459. VII. Sentiment d'Aldrovandus, 461. VIII. Sentiment du P. Schott, 462. CHAP. XV. D'où vient que les Auteurs font fi partagés ; & fi tous ces différens fentimens doivent empêcher qu'on décide. I. Source de la diverfité des fentimens, 474II. Diverfité dans les principes. Philofophes qui vouloient tout expliquer par les nombres, 475. III. Application de cette diverfité. Comment chacun a raisonné touchant la Baguette, 476. IV. On ne confidere pas affez les diverfes faces d'un fujet, 478. CHAP. XVI. Que la Baguette ne peut naturellement indiquer ni les bor nes, ni les voleurs, ni les meurtriers, ni les chofes dérobées. I. Notion de tout ce que les bornes ont de particulier, 481. II. Systême expofé & réfuté, 486. III. Remarques fur les changemens qui peuvent arriver aux chofes dérobées, 489. CHAP. XVII. Que la Baguette ne tourne pas naturellement, ni fur l'eau, ni fur les métaux, ni fur quelqu'autre chofe que ce foit. 1. Kéflexions qui paroiffent décifives, 492. II. Réflexion fur la force & les effets de l'aiman, 513. LIVRE HUITIEM E. Des moyens de s'opposer aux pratiques fuperftitienfes, & des maximes de l'Eglife fur ce point. CHAP. I. D pratiques Es perfonnes qui doivent s'oppofer aux fuperftitieufes.Comment il faut traiter ceux qui y ont recours, & quelles peines les Confeffeurs doivent leur impofer? I. Obligation des Evêques pour faire ceffer les fuperftitions, 521. II. Détail du premier Concile de Milan fur ce point, 52.3. III. Devoir des Curés, Archiprêtres & Doyens ruraux, 525. IV. Prédicateurs exhortés à prêcher contre les fuperftitions, 527. V. Devoir des Confeffeurs & de tous les Eccléfiaftiques, 528. VI |