Poids Anglois, Avoir du poids. On fe fert de ce poids en Angleterre pour les matières pefantes & de gros volume; on l'emploie dans l'artillerie; Fonce vaut 533 grains, poids de Paris. Chaque cafe de ces Tables, marque combien l'unité qui commence la même ligne horizontale, contient LA quantité est tout ce qui L'arithmétique eft la science des nombres, n. 2. d'unité dans une quantité, Le nombre abftrait est celui Le nombre concret est toujours chofe, n. 6. La numération eft l'art d'é- noncer & de représenter ces chiffres, valent dix fois Les nombres incomplexes ne Les décimales font des parties Un nombre devient dix fois de même espèce, n. 32. La fouftraction eft une opération par laquelle on trouve le refte, l'excès ou la différence de deux nombres de même espèce, n. 34. La multiplication est une opération par laquelle on répète un nombre autant de fois qu'il y a d'unités dans un autre, n. 40. Le nombre que l'on répète s'appelle multiplicande; celui qui indique combien de fois on le répète, se nomme multiplicateur, & l'on appelle produit le résultat de la multiplication, n. 41. On appelle facteurs les nombres que l'on multiplie l'un par l'autre, n. 42. La multiplication est une addition réitérée du multiplicande, autant de fois qu'il ya d'unités dans le multiplicateur, n. 43. Le produit eft toujours de même nature que le multiplicande, n. 47. Dans la multiplication des parties décimales, le produit doit avoir autant de chiffres décimaux qu'il y en a en tout dans les deux facteurs, n. 54. La divifion eft une opération par laquelle on cherche com bien de fois un nombre eft contenu dans un autre,n. 58. Le nombre qu'on divife s'appelle dividende; celui par lequel on divise, divifeur, & celui qu'on trouve, quotient, n. 58. Le dividende est toujours égal au produit d'une multiplication dont le diviseur & le quotient feroient facteurs, n. 58. La nature des unités du quotient ne peut, en général, être déterminée que parl'état de la queftion qui donne lieu à la divifion, n. 59. La divifion des parties dé cimales se réduit à celle des nombres entiers, en obfervant de rendre les mêmes, le nombre des décimales du dividende, & celui des dé cimales du divifeur, n. 65. On appelle fraction une ou plufieurs parties de l'unité partagéc en un nombre quel conque de parties égales, combien il entre de ces Le numérateur & le dénominateur s'appellent les deux termes de la fraction,n. 78. | Une expreffion fractionnaire, dont le numérateur est plus grand que le dénominateur, vaut plus que l'unité, n. 79. Lorsqu'une expreffion frac tionnaire vaut plus que de la réduction de plufieurs Un nombre premier est celui Une fraction peut être confidérée comme le quotient d'une divifion dont le numérateur feroit le dividende, & le dénominateur feroit le divifeur, n. 89. Une fraction peut être réduite en décimales, en divifant le numérateur (fuivi d'autant de zéros qu'on veut avoir de décimales) par le dénominateur, n. 92. Pour additionner les fractions & les retrancher l'une de l'autre, il faut préalablement les réduire au même dénominateur, puis on ajoute ou l'on retranche les numérateurs, & l'on donne à la fomme ou à la différence le dénominateur commun, n. 94 & 95. Pour multiplier une fraction par une autre fraction, faut multiplier numérateur par numérateur, & dénominateur par dénomina il teur n. 97. Pour divifer une fraction par une autre, il faut la multiplier par la fraction diviseur renverfée, n. 101. Évaluer une fraction, c'est en chercher la valeur en fous-espèces de l'unité principale dont elle fait partie, n. 104. |