Oeuvres, Volumen5 |
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 94 - Bien fait de corps et d'esprit agréable, Elle aima mieux, pour s'en faire conter, Prêter l'oreille aux fleurettes du diable, Que d'être femme et ne pas coqueter.
Página 94 - S'il l'aima fort, elle de son côté (Dont bien nous prend) ne lui fut pas cruelle. Cher Charleval, alors en vérité Je crois qu'il fut une femme fidèle: Mais comme quoi ne l'aurait-elle été?
Página 100 - Qui voudra donc qu'à aimer je me fonde, II faut premier que l'amour on refonde, Et qu'on la mène ainsi qu'on la menoit Au bon vieux temps.
Página 105 - Le premier jour du mois de mai Fut le plus heureux de ma vie. Le beau dessein que je formai , Le premier jour du mois de mai ! Je vous vis et je vous aimai ; Si ce dessein vous plut , Sylvie , Le premier jour du mois de mai Fut le plus heureux de ma vie.
Página 64 - Nous masquant sans cesse à nous-mêmes, Parmi les vices nous endort , Du furieux fait un Achille, Du fourbe un politique habile, Et de l'athée un esprit fort. Mais vous, mortels, qui dans le monde Croyant tenir les premiers rangs , Plaignez l'ignorance profonde De tant de peuples différents...
Página 46 - Marquez en bien la cadence : Et vous, vents, faites filence : Je vais parler de Louis.
Página 145 - Un songe affreux m'inspire une fureur nouvelle Contre ce funeste ennemi. J'ai cru le voir, j'en ai frémi; J'ai cru qu'il me frappait d'une atteinte mortelle. Je suis tombée aux pieds de ce cruel vainqueur; Rien ne fléchissait sa rigueur, Et, par un charme inconcevable, Je me sentais contrainte à le trouver aimable Dans le fatal moment qu'il me perçait le cœur.
Página 64 - Au seul instinct presque réduit, Parlez : Quel est le moins barbare, D'une raison qui vous égare , Ou d'un instinct qui le conduit ? La nature , en trésors fertile , Lui fait abondamment trouver Tout ce qui lui peut être utile , Soigneuse de le conserver.
Página 67 - Ah ! si d'une pauvreté dure Nous cherchons à nous affranchir, Rapprochons-nous de la nature Qui seule peut nous enrichir. Forçons de funestes obstacles ; Réservons pour nos tabernacles Cet or, ces rubis , ces métaux ; Ou dans le sein des mers avides Jetons ces richesses perfides , L'unique élément de nos maux.
Página 124 - Que te sert de chercher les tempêtes de Mars, Pour mourir tout en vie au milieu des hasards Où la gloire te mène? Cette mort qui promet un si digne loyer N'est toujours que la mort qu'avecque moins de peine L'on trouve en son foyer.