Memoires. Pieces qui ont rapport aux memoires |
Términos y frases comunes
ACASTE affez amie auffi avois avoit Billarderie c'eft C'eſt c'étoit ceffe cheffe chevalier de Menil chofes COMTESSE conferver connoiffance connoître croyoit dame deffein défiré déja duc du Maine ducheffe du Maine efpece efprit eſt étoient étoit faifoit falloit fans fçais fçavoir fçu fentimens fentiment féparation feroit fervir feule fidence fidérable fœur foin foit fonger fouhaita foupçon fous fouvenir fuis fuivit Gennevilliers grace j'ai j'aurois j'avois J'en j'étois JULIE l'efprit laiffé lettre m'avoit m'en madame Dacier madame de Réal madame de Surl madame la ducheffe madame la princeffe mademoiſelle maiſon Malefieu MARQUISE ment monfieur Dacier Monfieur de Valincourt monfieur le duc n'eft NOTAIRE occafion ORNAC pable paffé paffion parler penfai perfonne pourroit pouvoit préfent preffa premiere prifon prit propofa propofition raifons refte réponſe rien Seaux ſes ſon tion trifte trouver Voilà vouloit voulut сс
Pasajes populares
Página 21 - ... paru lui être fort attachés. Elle mit donc tout en œuvre pour ramener le duc du Maine à elle; mais cette négociation fut longue. J'en dirai la suite en son lieu. J'ai placé ici, pour ne pas déranger l'ordre des choses, ce que je n'ai su que lorsque je fus en liberté. Pendant que ceci se...
Página 110 - ... fait de moi. Quoi qu'il en soit, il l'engagea à me faire des prévenances auxquelles je crus devoir répondre, pour n'en pas user avec elle autrement qu'avec une autre; peut-être aussi ne fus-je pas fâchée de considérer l'écueil où j'avais échoué.
Página 145 - Ces liens qui m'attachaient encore au monde étant rompus, j'en pris un dégoût qui, joint à d'autres que je reçus de ma princesse, me porta plus fortement que jamais à l'entière retraite, non plus aux Carmélites, dont la vie trop austère me parut, à l'examen, disproportionnée à mes forces, et peut-être à mon zèle. Je pensai à retourner à SaintLouis à...
Página 37 - ... tienne compte, comme je lui en ai tenu un infini de tout ce qu'il a fait à cet égard. Vous avez raison, ma chère sœur, de vous louer de son zèle et de son assiduité pour mon frère. J'en suis aussi très- touchée; témoignez-lui ma reconnaissance, et lui faites un million de compliments pour moi.
Página 85 - Il n'y fut réintégré que sous le ministère du cardinal de Fleury. En attendant que j'en sois là, si tant est que j'y vienne, je reprends la suite de ce qui me regarde. Je perdis ma mère peu après ma sortie de prison. Elle...
Página 11 - Cette négociation retarda son voyage de plusieurs jours. Ne pouvant rien gagner, il partit enfin, bien résolu de lui cacher cette fâcheuse nouvelle, de peur qu'elle ne s'obstinât à rester où elle était, si on ne lui donnait satisfaction sur ce point.
Página 83 - Elle était gouvernante de mademoiselle du Maine, qu'on laissa au couvent de Chaillot jusqu'à ce que tout fût rentré dans l'ordre accoutumé. Le cardinal de Polignac dans son abbaye d'Anchin, pas moins intimidé que le duc du Maine, n'osait avoir la moindre relation avec madame la duchesse du Maine.
Página 103 - de vous, qui n'en savez pas un mot? » Cependant il employoit diverses personnes pour solliciter auprès de M. le duc et de madame la duchesse du Maine leur consentement. Madame de Chiverny, de ses amies, pria madame la duchesse d'Orléans d'en parler à madame la duchesse du Maine. Le prince de Conti, auprès de qui il avoit accès, parla aussi en sa faveur.
Página 160 - ... rien à m'offrir. Je regrettai de n'être point à portée de réparer ses infortunes, et de reconnoître ses sentimens généreux, ou par moi-même, ou par quelque autre moyen. Je n'eus pas même la satisfaction de pouvoir rien faire pour lui, dans quelques occasions qu'il me présenta de le servir. D'autres partis me furent offerts, qui ne me convinrent point. L'un étoit un homme assez riche, d'une condition médiocre, qui vivoit à Paris fort retiré, et vouloit une femme raisonnable pour...
Página 30 - Rondel, avec un courage au-dessus de son état, m'exhorta à ne me pas laisser séduire par les sollicitations employées pour me faire parler. La conduite que vous avez tenue jusqu'à présent, me disait-elle, vous a fait honneur : croyez-moi, ne la démentez pas.