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J

son crime, l. 11. p. 197. Caractère de ce Romain, 1. 12. p. 198. Sa conspiration, 199 et suiv. Noms et caractères des conjurés, 201 et suiv. Sa conspiration est découverte, et on lui refuse le consulat, 205 et suiv. Il ranime le courage des conjurés, 220 et suiv. Il assemble des troupes, et se met à leur tête, 225. Ses partisans tâchent de gagner des envoyés des Allobroges, ibid et suiv. Voyant qu'on avoit fait mourir les chefs de sa conspiration, il tente le hasard d'une bataille, il la perd et y est tué, 232 et suiv.

César (Caius Julius), son caractère, l. 13, p. 236 et suiv. Il est élevé à la dignité do grand pontife, 239. Il emploie les richesses qu'il avoit acquises dans son gouvernement d'Espagne, à se faire des créatures dans Rome, 246. Il s'unit avec Pompée et Crassus, et est élevé au consulat, 241 et suiv. Il fait recevoir la loi pour le partage des terres, 243 et suiv. On lui 3 décerne le gouvernement des Gaules et de l'Illyrie, 251. Ses conquêtes dans les Gaules, ibid. et suiv. Il gagne l'affection de ses soldats, et se fait jusque dans Rome des créatures à force d'argent, 254 et suiv. Il refuse de quitter le commandement des armées, et repasse en Italie à la tête de ses troupes, 256 et suiv. Il gagne la bataille de Pharsale, et se rend maître de l'empire, 266, Sa clémence et une trop grande sécurité lui font perdre l'empire et la vie, 267 et suiv. Son testament, 1. 14. p. 276.

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César. Octavius, adopté par Jules César, revient en Italie dans le dessein de venger la mort de son père, l. 14. p. 282 et suiv. Il rentre dans Rome, Antoine, 284 et suiv. Il gagne le peuet fait confirmer son adoption, 283 et suiv. Son entrevue ple par ses libéralités, 291 et suiv. Diverses brouilleries et réconciliations avec Antoine, 292 et suiv. Il rompt enfin avec lui; il lève des troupes, et fait autoriser sa prise d'armes par le sénat, 299 et suiv. 11 force Antoine de lever le siége de Modène, 303 et suiv. Il le ménage dans les suites, 35 et suiv. Ayant été créé consul par la crainte qu'on avoit à Rom ede ses armes, et par les brigues de Cicéron, il poursuit la vengeance de la mort de son père, et fait condamner par défaut tous les conjurés à perdre la vie, 311 et suiv. Il se réconcilie avec Antoine, 312 et suiv. Entrevue de ces deux généraux, et le partage qu'ils font de l'empire avec Lépidus. Cruelles proscriptions, 315 et suiv. Il se sert des forces de Lépidus et d'Antoine pour faire périr les conjurés et leurs partisans, 316 et suiv. Il se défait ensuite de Lépidus, gagne sur Antoine la fameuse bataille d'Actium, et reste enfin lui seul maître de tout l'empire romain, 319 et suiv

Cicéron se déclare pour la loi Manilia, l. 12. p. 196. Il découvre la conspiration de Catilina, et se fait nommer consul, à l'exclusion de ce Romain, 205 et suiv. 11 découvre les desseins ambitieux de Rullus, et par son habileté et son éloquence il fait rejeter la loi de ce tribun au sujet des terres de conquêtes, 212 et suiv. Il s'instruit plus à fond de la conspiration de Catialina, 219 et suiv. I accuse Catilina en plein sénat, 224. Il fait condamner à la mort les chefs de la conspiration, et dis

sipe entièrement cette faction, 231 et suiv. Son exil, 1, 13, p. 250. Son rappel, 251. Il assiste le jeune César de son crédit dans le sénat, l. 14. p. 310. Il lui fait obtenir le consulat, ibid. Il est sacrifié par César même à la haine d'Antoine, 315. Cinna Cornélius vent abolir les loix de Sylla, l. 10. p. 129 et suiv. Il est contraint de céder au parti contraire, et de sortir de Rome, 132. Il est déclaré déchu du titre de citoyen et de la dignité de consul, ibid. Il se met à la tête d'un puissant parti, 133 et suiv. Il reçoit Marius dans son armée, et assiége Rome, 137 et suiv. Il rentre dans Rome où son armée fait d'horribles massacres, 142 et suiv. Il est tué dans une sédition, l. II. p. 156.

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Clodius, accusé d'entretenir un commerce criminel avec la femme de César, est renvoyé absous, l. 13. p. 245 et suiv. II devient tribun du peuple, et se venge de Cicéron qu'il fait exiler, 250 et suiv.

Crassus Marcus Licinius lève un grand nombre de troupes pour Sylla, et partage avec lui les périls et la gloire de la guerre, 1. 11. p. 157. Il s'enrichit des confiscations dont Sylla dispose en sa faveur; 173 et suiv. Il défait Spartacus, 188 et suiv. Il obtient le consulat et le triomphe, 189 et suiv. Ses libéralités et ses richesses, 191 et suiv. Il est tué dans la guerre contre les Parthes, 1. 13. p. 155.

D.

Drusus, tribun du peuple, est assassiné dans son tribunal pour avoir voulu faire donner le droit de bourgeoisie aux peuples du Latium, et renouveler les loix des Gracques, l. 1o. p. 114 et suiv.

F.

Fimbria, lieutenant de Valérius Flaccus, tue ce général, et se fait prêter serment par toute l'armée, l. 11. p. 149. Ses avantages sur Mithridate, ibid. Se voyant abandonné de ses soldats, il se passe son épée au travers du corps, 155 et suiv.

G.

Glaucia se ligue avec Marius et Saturnínus, pour perdre Mér tellus, l. 10. p. 105 et suiv. Il est assommé par le peuple à coups de bâton et de pierres, 109.

Gaulois. Nouvelle défaite, l. 1. p. 4 et suiv.

Gracchus. (Tibérius) Ses alliances et son caractère, l. 8. p. 26 et suiv. Il entreprend de faire revivre la loi Licinia, 28 et suiv. Oppositions qu'il y trouve, 31 et suiv. Il fait déposer dans l'assemblée du peuple un tribun qui s'étoit opposé à ses desseins, 35 et suiv. Il vient à bout de faire établir la loi, et il est mis à la tête de trois commissaires nommés pour en presser l'exécution, 40. Il devient odieux aux grands, 41. Sa mort, ibid. et suiv.

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Gracchus (Caius) frère de Tibérius: dessein de sa retraite 1. 9. p. 45 et suiv. Il obtient la charge de questeur de l'armée; Il se fait estimer dans cet emploi, 46 st suiv. Il obtient du peuple la charge de tribun, malgré l'opposition des grands, 49. Parallèle de ce tribun avec Tibérius son frère, 50 et suiv. 11 propose différentes loix et fait divers changemens, qui le rendent absolu dans Rome et dans toute l'Italie, 51 et suiv. Il est continué dans le tribunat, sans l'avoir brigué, 54. Le sénat trouve le secret de faire diminuer son crédit, 55 et suiv. 11 est soupçonné d'avoir contribué à la mort de Scipion Emilien, son beau-frère, 60 Ses collégues, jaloux de son autorité, lui font manqnet un troisième tribunat, 63 et suiv. Il est contraint d'armer pour sa défense, 64 et suiv. Sa tête est mise à prix, 67. Sa mort, 68. Les loix des Gracques sont abolies, 69 et suiv.

J.

Jugurtha, qui il étoit, 1. 9. p. 71 et suiv. Ses premières campagnes, 78 et suiv. Son ambition, 73. Il fait poignarder Hiempsal dans son lit, 74. Il gagne une bataille contre Adherbal, et le chasse de ses états, ibid. Il gagne à force d'argent les principaux de Rome, 75 et suiv. Il poursuit Adherbal, l'attaque dans Cirthe, prend la place, et fait mourir ce prince dans les plus cruels tourmens, 76 et suiv. Il trouve dans son argent de nouvelles ressources pour appuyer auprès des grands de Rome ses usurpations, 87 et suiv. 11 est cité à Rome, il y sassiner un autre petits et convaincu d'avoir encore fait asde Massinissa, on lui ordonne de sortir incessamment de la ville, 83. Il amuse les généraux romains; il les attire insensiblement au combat ; il les défait, et fait passer sous le joug ceux qui étoient restés de la bataille, 85 et suiv. Il perd deux batailles contre Métellus, et se voit dépouillé de ses principales forces, 88 et suiv. Il se fait un protecteur et un allié d'un roi voisin, appelé Bocchus, et suiv. Il perd deux batailles décisives contre Marius, 100, 11 est livré par Bocchus aux Romains, 99. Il est traîné à la 'suite du char de triomphe de Marius, puis jeté en prison, où il meurt de faim, ibid et suiv.

L.

Lépidus (M. Emilius) entreprend de se rendre maître du gouvernement, l. 11. p. 177 et suiv. Il est créé premier consul, et se déclare pour le parti du peuple, 173 et suiv. Il lève dans la Gaule-Cisalpine une puissante armée, avec laquelle il vient camper aux portes de Rome, où il est défait par Catulus, ibid. et suiv. 11 se retire dans l'île de Sardaigne et y meurt, 180.

M.

Marius, (Caius ) Sa naissance et son caractère, l. 9. p. 87. Sou tribunat; ibid. Il est envoyé en Numidie en qualité de

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Lieutenant de Métellus, 88. Sa haine contre ce général, son bienfaiteur, 90. Il brigue le consulat et l'obtient, 91 et suiv. 11 prend le commandement des armées contre Jugurtha, 92 et suiv. On le continue duns le consulat, son triomphe, 99. Ses victoires contre les Cimbres et les Teutons, l. 10. p. 102 et suiv. Jaloux de la réputation et du crédit de Métellus, il vient à bout de le faire exiler, 104 et suiv. Il sort de Rome après le reppel de Métellus, et va trouver Mithridate, 111: A son retour il trouve à Rome peu d'amis, et encore moins de considération, 112 et suiv. Sa jalousie contre Sylla, 113 et suiv. Il veut faire ôter à ce consul le commandement des armées contre Mithridate, 121 et suiv. Tumulte arrivé à cette occasion, et massacre de plusieurs citoyens, 122 et suiv. Il est contraint de s'enfuir et de sortir de Rome, 125. 11 est déclaré ennemi du peuple romain, et sa tête est mise à prix, 127. Dangers qu'il essuie dans sa fuite, 134 et suiv. Il envoie offrir ses services à Cinna, et plusieurs soldats romains qui avoient servi sous lui, embrassent le même parti, 137 et suiv. Il rentre dans Rome, où il exerce de cruelles vengeances, 142 et suiv. Sa mort, 146. Marius, fils de Caius Marius, est enveloppé dans la disgrâce de son père, l. 10. p. 127. Sa fuite des prisons de Mandrestal, 136 et suiv. Après la mort de son père, il s'unit étroitement avec Cinna, et exerce dans Rome de nouvelles cruautés, 7. 11. p. 148. Il renouvelle son alliance avec les Samnites, qui se déclarent en sa faveur, 161. Il est fait consul, ibid. Iĺ perd la bataille contre Syila, et s'enferme dans Préneste, 162. Après la prise de cette place, n'ayant pu s'échapper par des conduits souterrains, il se donne la mort, 169. Metellus pousse Jugurtha jusqu'à l'extrémité de ses états, et le dépouille de ses principales forces, 1. 9. p. 89 et suiv. Il laisse avec regret le commandement de son armée à Marius, et revient à Rome recevoir les honneurs du triomphe, 95 et suiv. Metellus (Cécilius.) Pourquoi surnommé le Pieux, l. 10, p. 110 N'ayant pu venir à bout de faire avec succès la guerre à Marius, et voyant les affaires de Rome désespérées, il se bannit de sa patric, et se retire sur les côtes de la Ligurie, 7. II. p. 142 et suiv. Il amène à Sylla un corps considérable de troupes, 157. Il taille en pièces l'armée de Carbon et de Norbanus, 164. Mithridate. Caractère de ce prince et ses conquêtes, l. 10. p. 120 et suiv. Après avoir perdu presque tous ses avantages, il fait la paix avec Sylla, l. 11. p. 151 et suiv. Il reprend les armes et traite avec Sertorius, 184 et suiv.

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0.

Opimius, pendant son consulat, se charge de faire casser toutes les loix des Gracques, l. 9. p. 63. Il reçoit du sénat le pouvoir d'armer oontre Caius Gracchus, 64. Il met sa tête à prix, et ruine entièrement son parti, 67 et suiv. Il paye la tête de Caius dix-sept livres et demie d'or, 69 et suiv. Il bâtit

un temple sous le titre de Concorde, ibid. et suiv. Il se laisse
corrompre par l'argent de Jugurtha, et vend à ce prince sa foi
et son honneur, 75 et suiv. Il est cité devant l'assemblée du
peuple, et banni de Rome, 82 et suiv.

F:

Perpenna se retire en Espagne avec les débris des troupes de
Lépidus et de Brutus, l. II. p. 182. Il est abandonné de ses
soldats, qui lèvent leurs enseignes, et le contraignent de se
joindre à Sertorius, 185. Il fait assassiner ce général dans un
festin, 156. Pompée lui fait couper la tête, ibid.

Plébéiens. Ils partagent avec la noblesse tous les honneurs et
toutes les dignités de la république, l. 8. p. 7.

Pompéius, (Cnéius) connu sous le nom du grand Pompée, em-
brasse le parti de Sylla. Ses premiers exploits, l. 11. p. 157
et suiv, Il défait huit légions du parti de Marius, 164. Il taille
en pièces, proche de Clusium, vingt mille hommes du même
parti, 165. Il est envoyé en Espagne contre Sertorius, 181
et suiv. Après quelques mauvais succès, il met fin à cette
guerre, 186 et suiv. En revenant d'Espagne, il défait les restes
du parti de Spartacus, 189. Il obtient le consulat et le triom-
phe, 189 et suiv. Il termine la guerre contre les pirates, 192
et suiv. Il passe en Asie pour prendre le commandement de la
guerre contre Mithridate, l. 1o. p. 136 et suiv. Entrevue avec
Lucullus, qui commandoit les troupes romaines et les re-
proches que ces deux généraux se font réciproquement, 196
et suiv. Il revient à Rome, vainqueur de

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de

Tigrane, l. 13. p. 235 et suiv. Il s'unit étroitement avec César,
et soutient avec chaleur ses prétentions, 141 et suiv. Il devient
ennemi irréconciliable de César, et prend contre lui le com-
mandement des armées, 244 et suiv. Il perd la bataille de
Pharsale, et périt en Egypte, 266 et suiv.

R.

Régulus (Attilius) Son caractère, l. 8. p. 15. Ses victoires sur
les Carthaginois, ibid. Sa pauvreté, 16. Il perd une bataille
contre les Carthaginois, et il est fait prisonnier, 18. Il est
envoyé à Rome sur sa parole, pour y faire des propositions de
paix; il exhorte les Romains à la guerre, puis il retourne à
Carthage, où il périt dans les plus cruels supplices, 19 et suiv.
Romains. Guerre contre les Samnites, 1. 8. p. 5. Première guerre
contre les Carthaginois, 14 et suiv. Ils leur accordent la paix
à des conditions très-onéreuses, 19. La guerre recommence,
22. Ils perdent plusieurs batailles contre Annibal, 23. Ils re-
prennent courage, ibid. Ils défont les Carthaginois en plu-
sieurs batailles, et ruinent Carthage, 24 et suiv. Leurs con-
quêtes en Grèce, en Asie, 25 et suiv. Guerre contre Jugur→
tha, l. 9 p. 79 et suiv.

Rome. Annibal met cette ville à deux doigts de sa perte, l. 8.
P. 20 et suiv.

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