| 1869 - 1062 páginas
...1700, que ce qui rend les octaves si agréables, c'est qu'on n'y entend jamais de battemens. En suivant cette idée, on trouve que les accords dont on ne peut entendre les battemens sont justement ceux que les musiciens traitent de consonnances, et que ceux dont les battemens se font... | |
| Ernst Mach - 1896 - 354 páginas
...que ce qui rend les Octaves**') si agréables, c'est qu'on n'y entend jamais de battemens. En suivant cette idée, on trouve que les accords dont on ne peut entendre les battemens, sont justement ceux que les Musiciens traitent de Consonances, et que ceux dont les battemens se font... | |
| Ernst Mach - 1898 - 452 páginas
...que ce qui rend les Octaves si agréables, c'est qu'on n'y entend jamais de battemens. "En suivant cette idée, on trouve que les accords dont on ne peut entendre les battemens, sont justement ceux que les Musiciens traitent de Consonances, et que ceux dont les battemens se font... | |
| Charles Lalo - 1908 - 340 páginas
...comple ct la systématise (Psycholo9ie phyriolo9ique, tr. fr., 1, p. 458 et s.). ('} « En suivant cette idée, on trouve que les accords dont on ne peut entendre les ballemens, sont justement ceux que les Musiciens traitent de Consonances, et <fue ceux dont les hallemens... | |
| Henri Bouasse - 1926 - 578 páginas
...même qu'on s'occupa des battements. Un mémoire de Sauveur (1700) se termine ainsi : « En suivant cette idée on trouve que les accords dont on ne peut entendre les battements, sont justement ceux que les musiciens traitent de consonnances, et que ceux dont les battements... | |
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