Bibliothèque orientale, ou, Dictionnaire universel, contenant tout ce qui fait connoître les peuples de l'Orient;: Mabed Ben Khaled-PourChez Moutard, imprimeur-libraire de la Reine, de Madame, & de Madamde la Comtesse D'Artois, rue des Mathurins, Hôtel de Cluny., 1782 |
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Términos y frases comunes
Abbaffides Abdallah Abou affez ainfi Alcoran appellent Arabes auffi auffi-tôt avoient avoit ayant Bagdet Balkhe Billah C'eft C'eft le nom c'eft-à-dire C'eſt caufe chaffa Chaldée chofes confidérable d'Ali Dieu difent Dynaftie enfans enfuite étoient étoit étoit fils faifoit fans favoir fe trouva fecond felon fes Etats feulement fiége fiens fignifie foit fon fils fon frere fon pere fon regne font fous le regne fouvent fucceffeur fuivant fujet furnommé Gihon Haffan Hamadan Hégire Hiftoriens Iman jufqu'à Khalifat Khalife Khan Khondemir Khorafan l'Alcoran l'an de l'Hégire l'Egypte l'Iraque laiffa Maffoud Mahadi Mahmoud Mahomet Maifon Malek Manfor Marvan Mecque Médine Moavie Moêz Mogols Mohammed Moïfe mort Motavakkel Muful Mufulmanifme Mufulmans n'avoit Naffer nommé Omar Ommiades paffer particuliérement Perfe Perfien perfonne plufieurs Poëte préfent premiere prifonnier Prince Prophete Province puiffant race s'étoit Saladin Samanides Schah Selgiucides Sultan Syrie Tamerlan Tartares titre tréfors troifieme troupes Turcs Vifir
Pasajes populares
Página 483 - Madain , où il reçut des ambafTadeurs de la part des plus grands princes du monde. Ces ambafladeurs lui firent , au nom de leurs maîtres , de très-riches préfens , tant en armes , étoffes précieufes , pierreries & parfums , qu'en efclaves de l'un & de l'autre fexe, qui étoient tous d'une rare beauté. Le roi des Indes lui fit préfent de dix quintaux...
Página 445 - Ciel, de le voir encore aussi eloigné de luy, que s'il ne s'en fut pas approché. Mais ce qui luy causa et donna plus de confusion, fut d'apprendre le lendemain, que cette haute tour avoit été renversée.
Página 487 - ... dans une maladie dangereufe qui l'obligea de penfer à la mort, choifit entre tous fes enfans, fans avoir aucun égard à la prérogative de l'âge, celui qu'il croyoit être le plus capable de gouverner fes états ; & pour cet effet, il préféra Hormus , à caufe de fes belles difpofitions & des rares qualités qu'il avoit découvertes en lui : il voulut lui-même prendre la peine de l'inftruire de tous les devoirs d'un bon prince, & il fit coucher par écrit les bons avis qu'il lui donna.
Página 489 - Roi alors lui impofa filence, & lui dit : » Celui qui a pris le plat ne le rendra pas ; ni celui qui le lui a vu prendre , ne le découvrira pas «. L'année fuivante , le même Officier vint fe préfenter au feftin royal , qui fe...
Página 21 - Tant que Dieu vous confervera la vie pour notre bien , ce fera à nous de faire des fautes '^ & à vous de nous les pardonner...
Página 487 - Nouchirevan étant tombé, en la quarante-huitième année de fon règne, dans une maladie dangereufe qui l'obligea de penfer à la mort, choifit entre tous fes enfans, fans avoir aucun égard à la prérogative de l'âge, celui qu'il croyoit être le plus capable de gouverner fes...
Página 155 - Perfien , au climat troifième , jarlant d'Alexandrie, où ce climat commence,, dit que dans cette ville qu'Alexandre fit bâtir fur le bord de la mer Méditerranée , ce grand prince fit...
Página 446 - Nembrod , pénétra jufqu'à une des membranes de fon cerveau , où groffiflant de jour en jour, il luy caufa une fi grande douleur', qu'il étoit obligé de fe faire battre la tête avec un maillet , pour pouvoir prendre quelque repos, -& qu'il fouffrit- ce fupplice pendant l'efpace de quatre cent ans, Dieu voulant punir par la plus petite de fes créatures, celay qui fe vaûtoit infolemment d'être le Maître de tout.
Página 538 - Efdras en un tel état* qu'il luy parut n'avoir dormi que pendant un jour. Mais ayant ouvert les yeux il connut bientôt, que Dieu avoit opéré un grand miracle en fa perfonne...
Página 66 - Le terme fa» tal de ma vie fe rencontre dans la quatre-vingt-treizième • année de mon âge , 6c c'eft un coup de couteau qui en » tranche le fil. il ne me refte plus qu'à remettre entre les • mains de mon fils la continuation des longs fervices que » je vous ai rendus , en le recommandant à Dieu & à Votre «> Majefté. Tel fut le fort d'un Miniftre à qui Malek-fchah devoit Benel*tbir.