Oeuvres complètes de GilbertLe Jay, 1788 - 232 páginas |
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... portes lui furent fer- mées : il reconnaît avec amertume que ce qui eft imprimé n'est pas toujours vrai ; qu'il ne fallait point croire à l'affiche ; qu'en un mot , ces grands protecteurs de l'humanité , dans leurs livres , étaient fou ...
... portes lui furent fer- mées : il reconnaît avec amertume que ce qui eft imprimé n'est pas toujours vrai ; qu'il ne fallait point croire à l'affiche ; qu'en un mot , ces grands protecteurs de l'humanité , dans leurs livres , étaient fou ...
Página 7
... portes de la gloire : Il en coûte à mon cœur de vous croire méchans ; Mais expliquez , cruels , l'énigme de ma vie , Ou rendez - moi raifon de votre barbarie . Dieu plaça mon berceau dans la poudre des champs , Je n'en ai point rougi ...
... portes de la gloire : Il en coûte à mon cœur de vous croire méchans ; Mais expliquez , cruels , l'énigme de ma vie , Ou rendez - moi raifon de votre barbarie . Dieu plaça mon berceau dans la poudre des champs , Je n'en ai point rougi ...
Página 13
... porte un cœur noble , & d'un œil plein d'effroi , Je dis fur tous les fronts le mépris & l'injure ! Le dernier des mortels eft plus heureux que moi ! Ah ! brisons ces pinceaux ! tombe , lyre inutile ! Périffe un monde injufte ! Et toi ...
... porte un cœur noble , & d'un œil plein d'effroi , Je dis fur tous les fronts le mépris & l'injure ! Le dernier des mortels eft plus heureux que moi ! Ah ! brisons ces pinceaux ! tombe , lyre inutile ! Périffe un monde injufte ! Et toi ...
Página 14
... la pâle indigence M'entr'ouvre lentement les portes du tombeau . Mon génie eft vaincu voyez ce mercenaire , Qui , marchant à pas lourds dans un fentier fcabreux Tombe lous fon fardeau ; long - temps le malheureux 14 ŒUVRES.
... la pâle indigence M'entr'ouvre lentement les portes du tombeau . Mon génie eft vaincu voyez ce mercenaire , Qui , marchant à pas lourds dans un fentier fcabreux Tombe lous fon fardeau ; long - temps le malheureux 14 ŒUVRES.
Página 60
... porte fes hommages Qu'aux pieds des Dieux qu'elles ont faits . OH ! fi tu dois un jour , Protecteur populaire , Me prêter un abri sous l'ombre tutélaire Dont tu couvres tant de mortels ; Oui , je veux à ton char lier la Renommée ; Et ...
... porte fes hommages Qu'aux pieds des Dieux qu'elles ont faits . OH ! fi tu dois un jour , Protecteur populaire , Me prêter un abri sous l'ombre tutélaire Dont tu couvres tant de mortels ; Oui , je veux à ton char lier la Renommée ; Et ...
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Oeuvres complètes de Gilbert, Volumen1 Gilbert (M., Nicolas-Joseph-Laurent) Sin vista previa disponible - 1805 |
Términos y frases comunes
Abel affez affuré afile Ainfi amant Apollon Arts auffi bras brifé c'eft c'eſt Caïn Carthage Ciel Cieux Citoyens couronnés crime d'Abel Didon Dieu Dieux Duc de Lorraine efprit Enée enfans eſt facrée fage fang fans art fans ceffe fans doute fatire fecret fein féjour femble fenfible fent fes yeux feul fiècle filence fils foible foit foleil fommeil fon front font fortune fous fouvent frère fuccès fuis fuit fujet fur fon GILBERT gloire goût guerre haîne hélas Héros homme illuftre immenfe ingrat j'ofe jeune jour juſtice l'Univers laiffe larmes Léopold loix long-temps Lorraine main malheureux maux Meffieurs mœurs Monfieur monftre mort Mufe n'eft n'eſt neuf Sœurs noble obfcur par-tout pefant penfer père peuple Philofophe plaifirs pleurs Poéfie Poëte préfent Prince PSAPHO puiffe raifon refpect refte richeffe rime Rimeurs Rois s'eft ſes ſon talens tendreffe trifte trône vafte vaiffeaux vertus vois voix
Pasajes populares
Página 80 - Mes ennemis riant ont dit dans leur colère : Qu'il meure, et sa gloire avec lui ; Mais à mon cœur calmé le Seigneur dit en père : Leur haine sera ton appui.
Página 41 - Soyez coupables , mais heureux. » Quel bruit s'est élevé ? la trompette sonnante A retenti de tous côtés ; Et sur son char de feu , la foudre dévorante Parcourt les airs épouvantés. Ces astres teints de sang, et cette horrible guerre Des vents échappés de leurs fers, Hélas! annoncent-ils aux enfants de la terre Le dernier jour de l'univers?
Página 27 - J'espère... Tu me fais l'aveu de ton amour. J'ose... Hélas! Est-ce à moi de rappeler un jour, Un jour que je voudrais retrancher de ma vie ? Loin de la retracer, pleurons mon infamie... Mais non, non, je n'ai point alors perdu l'honneur; Non, traître, je le mis en dépôt dans ton cœur : Tu me juras ta foi, je te donnai la mienne, La honte est pour celui qui veut trahir la sienne. Ce nœud, quoique secret, doit être respecté; Les serments font l'hymen, non la solennité.
Página 80 - Tout trompe ta simplicité: Celui que tu nourris court vendre ton image, Noire de sa méchanceté. Mais Dieu t'entend gémir, Dieu vers qui te ramène Un vrai remords né des douleurs; Dieu qui pardonne enfin à la nature humaine D'être faible dans les malheurs. J'éveillerai pour toi la pitié, la justice De l'incorruptible avenir: Eux-même épureront, par leur long artifice, Ton honneur qu'ils pensent ternir.