Dictionnaire de la fable, ou Mythologie grecque, latine, égyptienne, celtique, persanne, syriaque, indienne, chinoise, scandinave, africaine, américaine, iconologique, etc, Volumen2

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Le Normant, 1801 - 767 páginas

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Página 214 - Dieux , il fe trouvoit dans tous les traités de paix & d'alliance. Tantôt on le voit accompagner Junon , ou pour la garder, ou pour veiller à fa conduite ; tantôt Jupiter l'envoie pour entamer quelqu'intrigue avec une nouvelle maîtreffè.
Página 525 - Lorsqu'il ya dans un village quelque femme ou quelque fille qui n'a pas encore été attaquée par le serpent, elle n'échappe pas à la vigilance intéressée des prêtres. Ils...
Página 471 - ... ils viennent fur la terre demander l'aumône , fous une forme humaine. Au nombre de ces mauvais génies , les Indiens placent les ames de ceux qui ont mal vécu dans le monde. RAULINS : prêtres du royaume d'Arracan. On en diftingue trois ordres , qui font , les Pringrins , les Panjans , & les Xoxom.
Página 505 - Les satyres étaient, chez les païens, des divinités champêtres , qu'on représentait comme de petits hommes fort velus , avec des cornes et des oreilles de chèvre , la queue , les cuisses et les jambes du même animal. Pline le...
Página 9 - Sa salle est la douleur, sa table la famine, son couteau la faim, son valet le retard, sa servante la lenteur, sa porte le précipice, son vestibule la langueur, son lit la maigreur et la maladie, sa tente la malédiction : la moitié de son corps est bleue, l'autre moitié est revêtue de la peau et de la couleur humaine.
Página 154 - Siynie est assise à côté de lui et reçoit les gouttes dans un bassin qu'elle va vider lorsqu'il est rempli. Durant cet intervalle le venin tombe sur Loke, ce qui le fait hurler et frémir avec tant de force que toute la terre en est ébranlée ; c'est ce qu'on appelle parmi les hommes un tremblement de terre.
Página 504 - Tout ne respirait alors que le plaisir et la joie ; les tribunaux étaient fermés , les écoles vaquaient ; il n'était permis d'entreprendre aucune guerre, ni d'exécuter un criminel , ni d'exercer d'autre art que celui de la cuisine; chacun s'envoyait des présents, et se donnait de somptueux repas. Un édit public faisait cesser tous lés travaux, et l'on se retirait sur le mont Aventin , comme pour y prendre l'air de la campagne.
Página 498 - Les samaraths brûlent les corps des morts , à la réserve de ceux des enfans au-dessous de l'âge de trois ans ; mais ils observent de faire les obsèques sur le bord d'une rivière, ou de quelque ruisseau d'eau vive; ils y portent même leurs malades, lorsqu'ils sont à l'extrémité , pour leur donner la consolation d'y expirer. Il n'ya point de secte dont les femmes se sacrifient si gaîment à la mémoire de leurs maris. Elles sont persuadées que cette mort n'est qu'un passage pour entrer...
Página 362 - Médée, pour venger son beau-père et son époux de l'usurpation de Pélias, leur offrit ses services. D'abord elle prit un vieux bélier en leur présence, le coupa en morceaux, le jeta dans une chaudière, et, après y avoir mêlé je ne sais quelles herbes, le retira et le fit voir transformé en un jeune agneau.
Página 129 - Apulée dit que les lares n'étaient autre chose que les âmes de ceux qui avaient bien vécu, et et bien rempli leur carrière. Au contraire, ceux qui avaient mal vécu erraient vagabonds et épouvantaient les hommes. Selon Servius. le culte des dieux lares est venu de ce que l'on avait coutume autrefois d'enterrer les corps dans les maisons, ce qui donna occasion au peuple crédule de s'imaginer que leurs âmes y demeuraient aussi, comme des (renies sccourables et propices , et de les honorer en...

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