Sacrifices ; & comme les pafftons ne s'oublient jamais , il n'y eut point de crime qui n'eût un Dieu Patron. Les adultères reconnurent Jupiter ; les Dames galantes , Venus ; les femmes jaloufes , Junon ; & les filoux , Mercure & la Déefle Laverne. Explication historique des fables - Página 101por Banier (M. l'abbé, Antoine) - 1742Vista completa - Acerca de este libro
| Banier (M. l'abbé, Antoine) - 1715 - 458 páginas
...enfcrs Toutes les divinitez eurent des Temples , des Autels & des facrifices ; ÔC comme les partions ne s'oublient jamais» il n'y eut point de crime qui n'eût un Dieu patron. Les adultères reconnurent Jupiter ; les Dames galantes , Venus -, les femmes jaloufes, Junon ; &lesfilouXj... | |
| Antoine Banier - 1738 - 834 páginas
...Grecs , furent les Déefles de la fanté ; 6c Jafo , de la maladie (a). On établit une Bellone pour la guerre , une Pomone pour les Jardins , des Furies...Temples , des Autels & des Sacrifices ; & comme les pafftons ne s'oublient jamais , il n'y eut point de crime qui n'eût un Dieu Patron. Les adultères... | |
| Banier (M. l'abbé, Antoine) - 1738 - 712 páginas
...Grecs , furent les Déefles de la fanté ; & Jafo , de la maladie (a). On établit une Bellone pour la guerre , une Pomone pour les Jardins , des Furies...Toutes ces Divinités eurent des Temples , des Autels ôc des Sacrifices ; & comme les paffions ne s'oublient jamais , il n'y eut point de crime qui n'eût... | |
| François Sabbathier - 1777 - 558 páginas
...les Grecs , furent les Déefles de la fanté ; & Jafo , de la maladie. On établit une BeHone pour la guerre , une Pomone pour les jardins, des Furies...eut point de crime qui n'eût un Dieu patron. Les adultères reconnurent Jupiter ; les Dames galantes , Vé1 D ïo8' ID nus; les femmes jaloufes, Junon... | |
| François Sabbathier - 1777 - 542 páginas
...Jafo , de la maladie. On établit une Bellone pour la guerre , une Pomor.e pour les jardins, desFuries pour les enfers. Toutes ces divinités eurent des Temples, des Autels & des Sacrifices; & comme les paillons ne s'oublient jamais , il n'y eut point de crime qui n'eût un Dieu patron. Les adultères... | |
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