Temps modernesDidier et cie., 1877 |
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... héros , par les hommes extraordinaires . Dieu dit lui - mesme de ces gens - là qu'il les envoye en sa colere et qu'ils sont les verges de sa fureur . Mais ne prenez pas icy l'un pour l'autre . Les verges ne piquent ni ne mordent d'elles ...
... héros , par les hommes extraordinaires . Dieu dit lui - mesme de ces gens - là qu'il les envoye en sa colere et qu'ils sont les verges de sa fureur . Mais ne prenez pas icy l'un pour l'autre . Les verges ne piquent ni ne mordent d'elles ...
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... héros . C'est lui qui représente le mieux , soit par sa prose , soit par ses vers , les qua- lités et les défauts de cette société brillante et ma- niérée . Il a prodigieusement d'esprit , et il ne se contente pas d'en avoir , il en ...
... héros . C'est lui qui représente le mieux , soit par sa prose , soit par ses vers , les qua- lités et les défauts de cette société brillante et ma- niérée . Il a prodigieusement d'esprit , et il ne se contente pas d'en avoir , il en ...
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... 2 vol . in - 18 , Charpeu- tier , 1855. T. I , lett . Ix , p . 40 ; lett . CLV , p . 401 ; lett . LIV , p . 167 ; lett . cI , p . 295 . et ar E 簪 chercher jusque sous le pôle ce héros qui sembloit 58 HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE .
... 2 vol . in - 18 , Charpeu- tier , 1855. T. I , lett . Ix , p . 40 ; lett . CLV , p . 401 ; lett . LIV , p . 167 ; lett . cI , p . 295 . et ar E 簪 chercher jusque sous le pôle ce héros qui sembloit 58 HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE .
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Eugène Geruzez. 簪 chercher jusque sous le pôle ce héros qui sembloit être destiné à y mettre le fer et à l'abattre . Il fut l'esprit mêlé à ce foudre , qui a rempli l'Allemagne de feu et d'éclairs , et dont le bruit a été entendu par ...
Eugène Geruzez. 簪 chercher jusque sous le pôle ce héros qui sembloit être destiné à y mettre le fer et à l'abattre . Il fut l'esprit mêlé à ce foudre , qui a rempli l'Allemagne de feu et d'éclairs , et dont le bruit a été entendu par ...
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... Ibid . , t . II , p . 271 .. 3 Ibid . , Épître à monseigneur le prince sur son retour d'Al- lemagne , t . II , p . 595 . qui dira plus tard dans l'oraison funèbre du même héros 60 HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE .
... Ibid . , t . II , p . 271 .. 3 Ibid . , Épître à monseigneur le prince sur son retour d'Al- lemagne , t . II , p . 595 . qui dira plus tard dans l'oraison funèbre du même héros 60 HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE .
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Términos y frases comunes
acte admirer âme Balzac beauté beaux Boileau Bossuet Bourdaloue Brébeuf Bruyère Buffon caractère cardinal de Retz charme chose chrétien cœur comédie comique Corneille Dalembert Descartes dessein Dieu dire dix-huitième siècle donne dramatique écrivain éloquence esprit Euvres fable Fénelon Fontaine Fontenelle force génie genre gloire goût grandeur héros hommes humaine Ibid jamais l'abbé l'âme l'art l'éloquence l'esprit l'Esprit des lois l'histoire l'homme laisse langage lettres littéraire Louis XIV Lucain lui-même madame de Sévigné maître Malherbe Massillon ment mérite mœurs Molière monde Montesquieu montre morale mort n'en nature naturel noble œuvres parler Pascal passé passion pensée peuple philosophie plaisir poëme poésie poëte poétique Port-Royal prince prose puissance qu'un Racan Racine raison Rambouillet religion Richelieu rien Rousseau saint sait satire savait Scarron scène Scudery sentiments serait seul sincère style succès talent théâtre Théophile tion tique tragédie traits trouve Vauvenargues vérité vertu vice Voltaire vrai yeux
Pasajes populares
Página 285 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Página 127 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Página 476 - Conscience! conscience! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné , mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal , qui rends l'homme semblable à Dieu! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Página 277 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu.
Página 162 - Qui brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la Cour, Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment, De l'intérêt du Ciel leur fier ressentiment; D'autant plus dangereux dans leur âpre colère, Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère, Et que leur passion dont on leur sait bon gré. Veut nous assassiner avec un fer sacré.
Página 123 - En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme, en regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à lui-même, et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'ya mis, ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant...
Página 125 - Qu'il y voie une infinité d'univers, dont chacun a son firmament, ses planètes, sa terre, en la même proportion que le monde visible...
Página 383 - Le sucre serait trop cher, si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête ; et ils ont le nez si écrasé qu'il est presque impossible de les plaindre. On ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir.
Página 172 - J'entends innocemment : sur son propre désir Quelque rigueur que l'on exerce, Encore y prend-on du plaisir. Volupté, Volupté, qui fus jadis maîtresse Du plus bel esprit de la Grèce, Ne me dédaigne pas, viens-t'en loger chez moi; Tu n'y seras pas sans emploi : J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Página 283 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.