Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 8
Página 14
... CORAS MIN . Dans la premiere enceinte il arrête ses pas : 4 Seigneur , je n'ai pas cru qu'aux regards de fon mai tre , Dans ces auguftes lieux , un Chrétien pût paroître . OROS MANE . Qu'il paroiffe ; en tous lieux , fans manquer de ...
... CORAS MIN . Dans la premiere enceinte il arrête ses pas : 4 Seigneur , je n'ai pas cru qu'aux regards de fon mai tre , Dans ces auguftes lieux , un Chrétien pût paroître . OROS MANE . Qu'il paroiffe ; en tous lieux , fans manquer de ...
Página 18
... CORAS MIN . Que dites - vous , Seigneur , De ce foupçon jaloux écoutez - vous l'erreur ? OROSMAN E. Moi , jaloux ! qu'à ce point ma fierté s'aviliffe , Que j'éprouve l'horreur de ce honteux fuplice , Moi , que je puiffe aimer comme l'on ...
... CORAS MIN . Que dites - vous , Seigneur , De ce foupçon jaloux écoutez - vous l'erreur ? OROSMAN E. Moi , jaloux ! qu'à ce point ma fierté s'aviliffe , Que j'éprouve l'horreur de ce honteux fuplice , Moi , que je puiffe aimer comme l'on ...
Página 42
... CORAS MIN . Et vous avez , Seigneur , encor cette indulgence ? OROSMAN E. Ils ont été tous deux efclaves dans l'enfance , Ils ont porté mes fers , ils ne fe verront plus ; Zaïre enfin de moi n'aura point un refus : Je ne m'en défens ...
... CORAS MIN . Et vous avez , Seigneur , encor cette indulgence ? OROSMAN E. Ils ont été tous deux efclaves dans l'enfance , Ils ont porté mes fers , ils ne fe verront plus ; Zaïre enfin de moi n'aura point un refus : Je ne m'en défens ...
Página 70
... CORAS MIN . CEtte Lettre , Seigneur Į Poura vous éclaircir , & calmer votre cœur . OROSMAN E. Ah ! lifons , ma main tremble , & mon ame étonnée Prévoit que ce Billet contient ma destinée . Lifons ... >> Chere Zaïre , il eft tems de nous ...
... CORAS MIN . CEtte Lettre , Seigneur Į Poura vous éclaircir , & calmer votre cœur . OROSMAN E. Ah ! lifons , ma main tremble , & mon ame étonnée Prévoit que ce Billet contient ma destinée . Lifons ... >> Chere Zaïre , il eft tems de nous ...
Página 71
Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732 Voltaire. CORAS MIN . Moi , Seigneur ? Je fuis épouvanté de ce comble d'horreur . OROS MANE . Tu vois comme on me traite : CORAS MIN . O trahison horrible ! Seigneur , à cet ...
Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732 Voltaire. CORAS MIN . Moi , Seigneur ? Je fuis épouvanté de ce comble d'horreur . OROS MANE . Tu vois comme on me traite : CORAS MIN . O trahison horrible ! Seigneur , à cet ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!