Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
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... Hélas ! puiffe le Ciel fouffrir cet hymenée ! Puiffe cette grandeur qui vous eft destinée Qu'on nomme fi souvent du faux nom de bonheur ,, Ne point laiffer de trouble au fond de votre cœur ! N'est - il A ft - il point en fecret de frein ...
... Hélas ! puiffe le Ciel fouffrir cet hymenée ! Puiffe cette grandeur qui vous eft destinée Qu'on nomme fi souvent du faux nom de bonheur ,, Ne point laiffer de trouble au fond de votre cœur ! N'est - il A ft - il point en fecret de frein ...
Página 24
... hélas ! fumoit encore , Lorfque dans notre azile attaqués & trahis , Et livrés par un Grec à nos fiers ennemis La flâme , dont brûla Sion desesperée , S'étendit en fureur aux murs de Cefarée ; Ce fut - là le dernier de trente ans de ...
... hélas ! fumoit encore , Lorfque dans notre azile attaqués & trahis , Et livrés par un Grec à nos fiers ennemis La flâme , dont brûla Sion desesperée , S'étendit en fureur aux murs de Cefarée ; Ce fut - là le dernier de trente ans de ...
Página 31
... Hélas ! de cette Cour j'ai vu jadis la gloire , Quand Philippe à Bovine enchainoit la victoire , Je combatois , Seigneur , avec Montmorency , Melun , Deftaing , de Nefle , & ce fameux Couci . Mais à revoir Paris je ne dois plus ...
... Hélas ! de cette Cour j'ai vu jadis la gloire , Quand Philippe à Bovine enchainoit la victoire , Je combatois , Seigneur , avec Montmorency , Melun , Deftaing , de Nefle , & ce fameux Couci . Mais à revoir Paris je ne dois plus ...
Página 32
... Hélas ! & j'étois pere , & je ne pus mourir ! Veillés du haut des Cieux , chers enfans que j'implore , Sur mes autres enfans , s'ils font vivans encore : Mon dernier fils , ma fille , aux chaînes réservés Par de barbares mains pour ...
... Hélas ! & j'étois pere , & je ne pus mourir ! Veillés du haut des Cieux , chers enfans que j'implore , Sur mes autres enfans , s'ils font vivans encore : Mon dernier fils , ma fille , aux chaînes réservés Par de barbares mains pour ...
Página 33
... Hélas ! de mes enfans auriez - vous connoiffance ? Ils feroient de votre âge , & peut - être mes yeux .... Quel ornement , Madame , étranger en lieux ? Depuis quand l'avez - vous ? ZAYRE . Depuis que je respire , Seigneur .... Eh quoi ...
... Hélas ! de mes enfans auriez - vous connoiffance ? Ils feroient de votre âge , & peut - être mes yeux .... Quel ornement , Madame , étranger en lieux ? Depuis quand l'avez - vous ? ZAYRE . Depuis que je respire , Seigneur .... Eh quoi ...
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Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!