Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 14
Página 5
... Peut - être la promesse a pallé fa puissance , Depuis plus de deux ans , il n'eft point revenu . Un étranger , Fatime , un captif inconnu , Promet beaucoup , tient peu , permet à fon courage Des fermens indifcrets , pour fortir d ...
... Peut - être la promesse a pallé fa puissance , Depuis plus de deux ans , il n'eft point revenu . Un étranger , Fatime , un captif inconnu , Promet beaucoup , tient peu , permet à fon courage Des fermens indifcrets , pour fortir d ...
Página 8
... être entre vos mains est - elle demeurée Comme un gage fecret de la fidélité , Que vous deviez au Dieu que vous avez quitté . ZAYRE . Je n'ai point d'autre preuve , & mon cœur qui s'i- gnore , IT Peut ... peut - être en nous , Dieu feul peut ...
... être entre vos mains est - elle demeurée Comme un gage fecret de la fidélité , Que vous deviez au Dieu que vous avez quitté . ZAYRE . Je n'ai point d'autre preuve , & mon cœur qui s'i- gnore , IT Peut ... peut - être en nous , Dieu feul peut ...
Página 9
... Peut être que fans lui j'aurois été Chrétienne , Peut - être qu'à ta loi j'aurois factifié ; Mais Orosmane m'aime , & j'ai tout oublié . Je ne vois qu'Orosmane ; & mon ame enyvrée Se remplit du bonheur de s'en voir adorée Mets - TRAGEDIE .
... Peut être que fans lui j'aurois été Chrétienne , Peut - être qu'à ta loi j'aurois factifié ; Mais Orosmane m'aime , & j'ai tout oublié . Je ne vois qu'Orosmane ; & mon ame enyvrée Se remplit du bonheur de s'en voir adorée Mets - TRAGEDIE .
Página 10
... Peut - être j'en crois trop un penchant fi flateur ; Mais fi le Ciel fur lui déployant fa rigueur , Au fers que j'ai portés eut condamné la vie . Si le Ciel fous mes lois eut rangé la Sirie , Ou mon amour me trompe , ou Zaire aujourd ...
... Peut - être j'en crois trop un penchant fi flateur ; Mais fi le Ciel fur lui déployant fa rigueur , Au fers que j'ai portés eut condamné la vie . Si le Ciel fous mes lois eut rangé la Sirie , Ou mon amour me trompe , ou Zaire aujourd ...
Página 33
... peut - être mes yeux .... Quel ornement , Madame , étranger en lieux ? Depuis quand l'avez - vous ? ZAYRE . Depuis que je respire , Seigneur .... Eh quoi ! D'où vient que votre ame foûpire ? LUSIGNAN . Ah ! daignez confier à mes ...
... peut - être mes yeux .... Quel ornement , Madame , étranger en lieux ? Depuis quand l'avez - vous ? ZAYRE . Depuis que je respire , Seigneur .... Eh quoi ! D'où vient que votre ame foûpire ? LUSIGNAN . Ah ! daignez confier à mes ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!