Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 14
Página 15
... c'est à toi d'y souscrire , Je te fais aporter la rançon de Zaïre , Et celle de Fatime , & de dix Chevaliers , Dans les murs de Solime illuftres prifonniers . Leur liberté par moi trop long - tems retardée , Quand je reparoîtrois leur ...
... c'est à toi d'y souscrire , Je te fais aporter la rançon de Zaïre , Et celle de Fatime , & de dix Chevaliers , Dans les murs de Solime illuftres prifonniers . Leur liberté par moi trop long - tems retardée , Quand je reparoîtrois leur ...
Página 30
... c'est donc vous ? c'est vous que je revois ! Martit , ainfi que moi ; de la foi de nos Peres , Le Dieu que nous fervons finit - il nos miseres ? En quels lieux fommes - nous ? Aidez mes foibles yeux . CHATILLON . C'est ici le Palais qu ...
... c'est donc vous ? c'est vous que je revois ! Martit , ainfi que moi ; de la foi de nos Peres , Le Dieu que nous fervons finit - il nos miseres ? En quels lieux fommes - nous ? Aidez mes foibles yeux . CHATILLON . C'est ici le Palais qu ...
Página 36
... c'est moi ; C'est ma seule prison quitaravi ta foi : Ma fille , tendre objet dé mes dernieres peines , Songe au moins , fonge au fang qui coule dans tes veines $ 70 0 Ceft le fang de vingt Rois , tous Chrétiens comme 36 ZAYRE ,
... c'est moi ; C'est ma seule prison quitaravi ta foi : Ma fille , tendre objet dé mes dernieres peines , Songe au moins , fonge au fang qui coule dans tes veines $ 70 0 Ceft le fang de vingt Rois , tous Chrétiens comme 36 ZAYRE ,
Página 37
... C'est le fang des Heros , défenfeurs de ma Loi , C'est le fang des Martirs .... ô fille encor trop chere , Connois - tu ton deftin , fçais - tu qu'elle eft ta mere , Sçais - tu bien qu'à l'inftant , que fon flanc mit au jour , Ce trifte ...
... C'est le fang des Heros , défenfeurs de ma Loi , C'est le fang des Martirs .... ô fille encor trop chere , Connois - tu ton deftin , fçais - tu qu'elle eft ta mere , Sçais - tu bien qu'à l'inftant , que fon flanc mit au jour , Ce trifte ...
Página 42
... c'est à moi d'adoucir Le déplaifir mortel qu'elle a dû ressentir , Quand fur les faux avis des deffeins de la France J'ai fait à ces Chrétiens un peu de violence . Que dis - je ? ces momens perdus dans mon Confeil , Ont de ce grand ...
... c'est à moi d'adoucir Le déplaifir mortel qu'elle a dû ressentir , Quand fur les faux avis des deffeins de la France J'ai fait à ces Chrétiens un peu de violence . Que dis - je ? ces momens perdus dans mon Confeil , Ont de ce grand ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!