Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
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... connois que lui , fa gloire , fa puittance : Vivre fous Orofmane eft ma feule efperance , Le refte eft un vain fonge . FATIM E. Avez - vous oublié Ce généreux François dont la tendre amitié 5 Nous promit fi fouyent de rompre notre ...
... connois que lui , fa gloire , fa puittance : Vivre fous Orofmane eft ma feule efperance , Le refte eft un vain fonge . FATIM E. Avez - vous oublié Ce généreux François dont la tendre amitié 5 Nous promit fi fouyent de rompre notre ...
Página 25
... connois les malheurs , avec eux je suis né ; Sans un trouble nouveau , je n'ai pû les entendre , Votre prifon , la fienne , & Céfarée en cendre , Sont les premiers objets , font les premiers revers Qui frapérent mes yeux à peine encore ...
... connois les malheurs , avec eux je suis né ; Sans un trouble nouveau , je n'ai pû les entendre , Votre prifon , la fienne , & Céfarée en cendre , Sont les premiers objets , font les premiers revers Qui frapérent mes yeux à peine encore ...
Página 37
... Connois - tu ton deftin , fçais - tu qu'elle eft ta mere , Sçais - tu bien qu'à l'inftant , que fon flanc mit au jour , Ce trifte & dernier fruit d'un malheureux amour , Je la vis maffacrer par la main forcence , Par la main des ...
... Connois - tu ton deftin , fçais - tu qu'elle eft ta mere , Sçais - tu bien qu'à l'inftant , que fon flanc mit au jour , Ce trifte & dernier fruit d'un malheureux amour , Je la vis maffacrer par la main forcence , Par la main des ...
Página 47
... connois pas , Si ma Religion ne fetenoit mon bras , J'irois dans ce Palais , j'irois au moment même , Immoler de ce fer un barbare qui t'aime , De fon indigne flanc le plonger dans le tien , Et ne l'en retirer que pour percer le mien ...
... connois pas , Si ma Religion ne fetenoit mon bras , J'irois dans ce Palais , j'irois au moment même , Immoler de ce fer un barbare qui t'aime , De fon indigne flanc le plonger dans le tien , Et ne l'en retirer que pour percer le mien ...
Página 48
... connois - moi ; Peut - être que Zaïre eft digne encor de toi : Mon frere , épargne - moi cet horrible langage , Ton courroux , ton reproche , eft un plus grand ou- trage , Plus fenfible pour moi , plus dur que ce trépas , Que je te ...
... connois - moi ; Peut - être que Zaïre eft digne encor de toi : Mon frere , épargne - moi cet horrible langage , Ton courroux , ton reproche , eft un plus grand ou- trage , Plus fenfible pour moi , plus dur que ce trépas , Que je te ...
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Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!