Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
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... pas tremblans . ... Mes maux m'ont affoibli plus encor que mes ans . En s'affeiant . Suis - je libre en effet ? ZAYRE . Qui , Seigneur , Oui , vous l'êtes , CHATILLON . Vous vivez , vous calmez nos douleurs inquiétes TRAGEDIE 29.
... pas tremblans . ... Mes maux m'ont affoibli plus encor que mes ans . En s'affeiant . Suis - je libre en effet ? ZAYRE . Qui , Seigneur , Oui , vous l'êtes , CHATILLON . Vous vivez , vous calmez nos douleurs inquiétes TRAGEDIE 29.
Página 30
... douleurs inquiétes , Tous nos triftes Chrétiens ..... LUSIGN AN . O jour ! ô douce voix ! Chatillon ; c'est donc vous ? c'est vous que je revois ! Martit , ainfi que moi ; de la foi de nos Peres , Le Dieu que nous fervons finit - il nos ...
... douleurs inquiétes , Tous nos triftes Chrétiens ..... LUSIGN AN . O jour ! ô douce voix ! Chatillon ; c'est donc vous ? c'est vous que je revois ! Martit , ainfi que moi ; de la foi de nos Peres , Le Dieu que nous fervons finit - il nos ...
Página 52
... douleur ! OROS MANE ZA YR - E Venez . Où me cacher ? OR OSMANE . Que - dites vous ? ZAYRE . Seigneur . OROSMAN E. Donnez - moi votre main , daignez , belle Zaïre .... ZAYRE . " Dieu de mon pere ! hélas ! que pourai - je lui dire ...
... douleur ! OROS MANE ZA YR - E Venez . Où me cacher ? OR OSMANE . Que - dites vous ? ZAYRE . Seigneur . OROSMAN E. Donnez - moi votre main , daignez , belle Zaïre .... ZAYRE . " Dieu de mon pere ! hélas ! que pourai - je lui dire ...
Página 53
... douleurs , Termine en ces momens fa vie & fes malheurs . OR OSMAN É . Eh bien ! quel intérêt fi preffant & fi tendre , 1101 A ce vieillard Chrétien , votre coeur peut - il pren- dre ? Vous n'êtes point Chrétienne , élevée en ces lieux ...
... douleurs , Termine en ces momens fa vie & fes malheurs . OR OSMAN É . Eh bien ! quel intérêt fi preffant & fi tendre , 1101 A ce vieillard Chrétien , votre coeur peut - il pren- dre ? Vous n'êtes point Chrétienne , élevée en ces lieux ...
Página 54
... douleur .... non , j'oublie à la fois , Et tout ce que je fuis , & tout ce que je dois , Je ne puis foutenir cet aspect qui me tue , Je ne puis .... ah , fouffrez que loin de votre vue , Seigneur , j'aille cacher mes larmes , mes ennuis ...
... douleur .... non , j'oublie à la fois , Et tout ce que je fuis , & tout ce que je dois , Je ne puis foutenir cet aspect qui me tue , Je ne puis .... ah , fouffrez que loin de votre vue , Seigneur , j'aille cacher mes larmes , mes ennuis ...
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Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!